Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Dim 19 Juin 2011, 19:05
Les familles de patients en état végétatif chronique ou pauci relationnel La position reconnue des proches : un impératif éthique de démocratie du soin éditorial - juillet 2008 (3/4)
Auteur(s) : N. Gegout
Psychologue clinicien, Unité EVC/EPR Maison de Santé Claire Demeure (Versailles) / Clinique du Canal de l'Ourcq (Paris)Membre du groupe EVC/EPR du Centre Ressources Francilien du Traumatisme Crânien.
La pathologie EVC/EPR est en quelque sorte hors du commun. Elle ne s’inscrit pas dans un schéma classique évolutif: une période de soins qui déboucherait sur une amélioration attendue. Chez ces patients, de graves lésions cérébrales peuvent être à l’origine d’un coma. Ils sont sortis de celui-ci mais les blessures de leur encéphale sont définitives. En effet, le handicap de ces patients est majeur. Il faut donc affronter les proches avec ce verdict implacable:«pas vraiment mort, […] mais plus vraiment en vie.» (1) Les limites entre la mort et la vie semblent abolies. Le traumatisme familial lié à l’accident entraîne un déséquilibre familial majeur, un remaniement de tous les liens.
Étiologie et Prévalence
Il existe trois étiologies possibles aux états végétatifs chroniques et pauci relationnels: 1 - Les traumatismes cranio-cérébraux. 2 - Les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques ou ischémiques. 3 - L'anoxie cérébrale le plus souvent liée à un arrêt circulatoire, plus rarement à une asphyxie.
Au-delà d’un délai variant selon la pathologie causale (3 mois pour les causes médicales et supérieur à 1 an pour les traumatismes), l’espoir d’une évolution vers un retour à la conscience normale est minime.
En France, en l’état actuel des connaissances, la prévalence des personnes en EVC ou en EPR est estimée à 2,5 pour 100000 habitants, soit environ 1500 personnes (cf. circulaire du 3 mai 2002).
État Végétatif Chronique ou Permanent : EVC ou EVP
Il existe chez ces patients la récupération des «rythmes nycthéméraux». Les yeux sont ouverts, on observe le clignement spontané des paupiéres, une motricité oculaire, des mouvements de bâillement, de mâchonnement et de grincement de dents. La déglutition est parfois possible. La motricité est pauvre, réduite à quelques mouvements stéréotypés ou réflexes, en extension ou en flexion: elle n’est jamais finalisée. Aucune manifestation des fonctions supérieures n’est observée. Le malade ne parle pas, n’exécute pas les ordres, ne répond jamais de façon adaptée aux différentes stimulations; il n’a aucune activité gestuelle coordonnée et finalisée. L’état végétatif chronique ne peut être affirmé avant un délai d’environ un an aprés l’accident pour les traumatisés crâniens et de trois mois aprés une pathologie non traumatique.
État Pauci Relationnel : EPR
Le patient en EPR manifeste, de façon fluctuante mais clairement identifiable, une perception de ce qui se passe dans son environnement. Il peut répondre à la demande par un code oui/non verbalement ou gestuellement. Une expression verbale intelligible est également possible. On reléve une motricité volontaire, une manipulation d’objets et des manifestations affectives appropriées (sourires, pleurs). C’est le fait que ces manifestations soient fluctuantes qui caractérise l’EPR. Le patient n’est plus en EPR s’il a la possibilité de communiquer de façon interindividuelle et/ou s’il peut utiliser deux objets différents dans un but fonctionnel.
Comment va donc s’organiser la prise en charge de patients si atypiques et de leurs familles dans le paysage de la santé en France?
Pour préciser un peu notre propos, les modes de prise en charge que nous allons évoquer se font au sein de petites unités dédiées à ces patients. L’ouverture des unités d’accueil répond aux exigences du cahier des charges formalisé en annexe de la circulaire DHOS/02.DGS/SD5D/DGAS n° 2002-288 du 3 mai 2002. Les personnes en EVC ou en EPR sont majoritairement jeunes (moins de 60 ans le plus souvent). Il était donc nécessaire d’apporter une réponse globale et adaptée à la prise en charge de ces patients lourdement handicapés. Les Agences Régionales d’Hospitalisation ont autorisé des ouvertures de lits spécialisés dans la prise en charge des EVC, sous forme d’unités de 6 à 8 lits, à dimensions humaines en s’efforçant de répondre à des besoins de proximité. La circulaire préconise l’ouverture d’une unité de 6 à 8 lits pour tout bassin de population de 300000 personnes. L’objectif des soins est d’offrir aux patients un bien être physique et psychique, de leur prodiguer des soins prolongés afin d’éviter les complications et la douleur. Rappelons bien que les patients ne sont pas en soins palliatifs. A leur entrée, ils sont stabilisés. Les lésions qui déterminent leur admission dans ces services n’évoluent pas systématiquement de maniére létale. L’ambition du projet de vie en unité EVC/EPR ne suppose aucune équivoque: procurer au patient des conditions d’existence optimales, dans le respect et le maintien de sa dignité.
«Le patient en état végétatif est un être humain à part entiére, il n’est ni mort, ni mourant.» Ce truisme énoncé par le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE) rappelle l’absolue nécessité de lutter contre l’exclusion sociale dont peut être victime l’individu en EVC ou EPR.
Les problématiques des familles
La prise en charge de la famille du patient en EVC/EPR au sein d’une unité d’accueil est complexe. Les équipes soignantes se trouvent confrontées à des personnes dans une extrême souffrance. Le traumatisme originel du blessé induit un traumatisme familial qu’il leur faut gérer. La confirmation de l’EVC maintient la famille dans un déséquilibre destructeur qui crée une situation de grand isolement. C’est tout un ensemble qui est traumatisé. Il semble donc maintenant primordial de se pencher sur ce qui se joue dans la famille du patient en EVC/EPR. Sans porter aucun jugement, il convient de faire état d’observations et d’en tirer des éléments d’analyse et des interprétations.
Les attitudes des familles
Le désarroi semble être la premiére réaction. Il est engendré par la brutalité de l’événement et par le sentiment d’impuissance. La situation génére des soupçons envers le corps médical. La famille se trouve confrontée à de nombreuses incertitudes. La perte de confiance dans le discours médical va entraîner un espoir qui pourra être illimité. En effet, il leur est difficile d’entendre le discours médical fluctuant annonçant d’une part la mort, et d’autre part un possible retour à la vie. Cet écart va donc laisser une place à l’irrationnel et engendrer l’espoir illimité. Cela peut expliquer l’agressivité des familles envers le corps médical, accusé de ne pas avoir fait ou dit ce qu’il fallait. Les familles sont plongées dans un état de stupeur qui les rend imperméables à toute explication. Cela peut provoquer une négation de la réalité, substituant des représentations imaginaires à une vérité intolérable.
Cette stupeur représente un véritable écueil pour les soignants qui cherchent à renouer une relation avec les proches. Les membres de la famille peuvent évoluer différemment : espérance pour certains – questionnement pour les autres. De là découlent deux réactions: un resserrement des liens familiaux et sociaux ou une extrême solitude de certains membres de la famille.
Ensuite, on observe un premier changement de la famille, le « premier deuil », lié à la découverte d’une nouvelle personne et donc à la disparition de l’ancienne. Pris en charge par le monde médical, l’individu devient un malade que les proches ne reconnaissent plus et qui leur échappe.
Rivée à son espoir d’amélioration, déchirée entre la charge émotionnelle trop lourde que représente le patient et le désir de ne pas couper tout lien, la famille va transposer son sentiment de culpabilité en agressivité dirigée contre l’équipe soignante. Celle-ci devient une surface de projection de toutes ces émotions. Une agressivité qui se nourrit des soupçons et de la méfiance apparus dés la réanimation.
Se sentant abandonnée, désespérant de la médecine, la famille finit par exercer une pression trés forte sur les médecins. Cela peut contraindre l’équipe médicale à employer des moyens démesurés, parfois à engager des traitements que l’on peut juger inappropriés. L’inadéquation entre la vision de la famille du patient et de la prise en charge et celle de l’équipe peut amener à une rupture totale des échanges entre les deux. À tout cela s’ajoute le fait qu’une unité EVC/EPR a une symbolique trés forte. En effet, elle signe, pour la majorité des patients, la fin du parcours de rééducation. A partir de là, les soins sont plus axés sur le confort que sur la récupération, chose parfois insupportable pour certaines familles.
Dans la famille des patients, la mére est souvent le personnage central, l’interlocuteur privilégié de l’équipe. Voyons maintenant les différentes attitudes de la mére. C’est la mére qui donne au patient EVC sa place d’enfant, qui l’y impose et l’y maintient et ceci bien souvent aux dépens des autres membres de la famille. Elle réenfante, retrouve au fond d’elle-même le don de la vie. Elle réinvente de toute piéce un être qu’elle avait porté pendant 9 mois. Elle en fait « sa chose » dont elle seule devine les besoins et peut s’occuper pleinement. Elle retrouve une relation primaire et intense avec un être qui ne parle pas. Ces différentes attitudes lui permettent de prendre soin de cette «nouvelle personne». La régression semble être son principal moyen de défense.
La famille, souvent abandonnée, peut parfois compter sur le soutien de l’entourage… Ou pas. Si la famille arrive à survivre dans ce schéma, il en va autrement du tissu social. La lassitude, la perte d’espoir, la non reconnaissance de cette « nouvelle » personne entraînent un espacement des visites de la famille lointaine, des amis et des collégues. Cette lassitude de l’entourage est renforcée par la gêne de la famille confrontée au regard des autres sur leur proche. Les liens se distendent et la famille s’enferme de plus en plus. L’isolement, un tumulte de sentiments contradictoires, conduisent certaines familles à s’écarter radicalement de l’évidence médicale.
Comment apporter de l’aide à ces familles?
Ce qui semble être le plus important dans ces situations, c’est la nécessité de donner le maximum de points de repére aux familles, de leur garantir une certaine stabilité à tous les niveaux: discours, équipes, fonctionnement de l’unité,…, cela pour tenter de stabiliser à nouveau la cellule familiale. Le juste milieu est difficile à atteindre car cette «rigidité» du cadre peut être difficile à vivre pour la famille. Le personnel médical et paramédical se tient à la disposition des familles pour tout probléme concernant le patient. Il est capital que le discours soit cohérent entre tous les membres de l’équipe. Le psychologue voit les familles réguliérement sur rendez-vous ou de maniére plus informelle. Un groupe de parole pour les familles et les proches peut aussi être mis en place. La famille participe aussi à la prise en charge du patient, en apportant à l’équipe soignante la connaissance de la personnalité et du vécu antérieur du patient. A la suite du premier congrés national sur les états végétatifs et pauci relationnel (2) en janvier 2008, des recommandations ont été données par les professionnels pour améliorer la qualité de la prise en charge des familles:
• Favoriser un accueil formalisé de la famille • Favoriser la réassurance de la famille • Respecter le rythme psychologique des familles • Favoriser les rencontres informelles entre les familles et l’équipe soignante • Mettre en place des synthéses en présence de la famille • Être attentif aux questions subjectives des familles • Mettre en place des groupes de paroles pour les familles
Éthique et EVC/EPR
On ne peut ignorer que l’EVC représente « une situation limite », une situation à la limite de la vie et de la mort. Du point de vue de l’éthique médicale (en Europe occidentale), il existe un consensus, à une ou deux exceptions prés, qui affirme que l’état végétatif ne doit pas entraîner la fin de la nutrition et de l’hydratation, qui sont considérés comme des soins de base. A l’inverse, il n’y a pas lieu de « s’acharner » pour prolonger la vie en cas de maladie mettant en jeu le pronostic vital. Il n’a pas lieu de s’obstiner de «maniére déraisonnable» (3). Il y a donc derriére la prise en charge de ces patients des enjeux éthiques majeurs et trés complexes qui induisent un lourd questionnement.
Le questionnement:
• Quelle attitude adopter à l’égard des personnes en EVC? • Quel regard la société et le monde médical portent-ils sur elles ? • S’agit-il d’êtres pleinement humains qui, à ce titre, méritent d’être soignés et traités dans le plus grand respect ? • A-t-on plutôt affaire à de simples corps qui ne conservent d’humains que les apparences ? • Quelle qualité de vie peuvent avoir ces patients ?
Les différentes réflexions
Ces questionnements induisent des réflexions éthiques et la mise en avant de difficultés réelles. La prise en charge de ces personnes est éprouvante. Au plan médical, elle met en évidence les limites de la technique. Au niveau des soins, elle épuise les énergies. Les proches et les soignants œuvrent dans une relation qui ne leur offre quasiment pas de retour. Toutefois, c’est précisément en raison de sa dignité humaine que la personne a le droit fondamental d’être soignée. Cependant, d’autres positions existent : étrangers à la communication, les patients en EVC/EPR ne sont plus humains. La mort du néo-cortex serait assimilée à la mort cérébrale. Pour d’autres, ce ne serait que des corps vivants poursuivant un destin biologique autonome,… Cette situation extrême nous améne donc à nous interroger sur ce qui fait la spécificité de l’être humain. Il semblerait que ce qui appartient à l’essence de la personne humaine est le fait de subsister dans une nature rationnelle. « […], la personne humaine se définit par ce qu’elle est non par ce qu’elle fait. Cette approche conduit à reconnaître et à protéger la dignité humaine de tout individu de l’espéce humaine, sans vouloir établir de critéres excluants qui, en définitive, ouvrent les portes à l’arbitraire et à l’injustice» (4).
Conclusion
«Ni mourants ni déjà morts», les patients en EVC ou EPR appartiennent à la communauté humaine. Totalement dépendants, privés de toute capacité d’expression verbale, sans que l’on puisse affirmer qu’ils sont inconscients, ils ont droit à un respect d’autant plus grand qu’ils sont entiérement démunis. Leur famille est soumise à une épreuve extrêmement lourde, aggravée par la difficulté liée à la compréhension de la nature de l’état végétatif chronique. Dés la phase initiale, l’information donnée et la maniére de la transmettre vont revêtir une importance primordiale. De là, découlent les réactions ultérieures. Le médecin aura la tâche d’expliquer et de vérifier ce qui a été compris, de pondérer ses dires en fonction de ce que sont capables d’entendre ses interlocuteurs à un instant T. Cela exige une trés grande disponibilité de la part de toute l’équipe. Cette recherche de communication permet d’établir une relation de confiance sans laquelle la famille serait plongée dans un total désarroi et risquerait d’adopter les attitudes les plus irrationnelles. Les familles ont besoin d’un soutien attentif, requérant une compétence professionnelle, tout spécialement sur le plan psychologique ce qui ne dépend pas uniquement du psychologue mais de toute l’équipe soignante.
Références :
(1) F. Petitpré (ergothérapeute à l’hôpital Maritime de Berk): «Pas vraiment la mort, mais non plus vraiment la vie» in Espace éthique, La lettr,e 15-16-17-18, Hiver 2001-2002.
(2) Retrouver sur le site du CRFTC: crftc.org, l’intégralité des recommandations dans la rubrique formations - Prise en charge en unité EVC-EPR
(3) Loi n° 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie. « […] actes ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable. Lorsqu’ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris».
(4) «Les personnes en état végétatif persistant sont-elles des légumes ?» In Dossiers de l’institut Européen de bioéthique, oct. 2006, N°6
Invité Invité
Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Sam 16 Juil 2011, 12:10
Vous êtes ici sur un site de témoins de NDE (Near-Death-Experiences), encore appelées « expériences de mort imminente » (EMI) ou « expériences de mort-retour (EMR), et de témoins d’ECM (expériences de conscience modifiée).
Nous vous y souhaitons une cordiale bienvenue.
Vous trouverez sur ce site un certain nombre de témoignages que vous pouvez lire en cliquant sur les prénoms dont la liste figure à gauche de la page d’accueil sous "Témoignages NDE", "Témoignages ECM" et "Témoignages Mort et Survivance".
Vous trouverez également un forum, une bibliographie, des liens avec d’autres sites traitant des mêmes sujets, ainsi que les dernières nouvelles concernant les domaines qui nous intéressent ici.
Amis témoins qui visitez ce site, n’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions, besoin d’une écoute, d’un soutien, d’une information. Vous pouvez également partager votre témoignage en cliquant sur « Comment témoigner », toujours à gauche de la page d’accueil. Nous vous en remercions par avance car, plus notre liste de témoignages sera longue, plus nous deviendrons crédibles et plus nous aurons de chance d’être respectés dans notre vécu. Votre témoignage restera de toute façon anonyme (vous pouvez choisir n’importe quel prénom à votre convenance).
Ce site s’adresse également aux personnes en deuil qui aimeraient partager et trouver un soutien. N’hésitez pas à nous contacter.
Je tiens à ajouter que le site de Notre Expérience est indépendant de toute église, secte, philosophie ou école spirituelle. Comme son nom l’indique, il s’agit ici d’expériences personnelles et uniquement de cela. Les opinions éventuellement exprimées par les témoins au cours de leur récit leurs appartiennent et n’engagent en rien la responsabilité du site. A chacun d’exercer son discernement.
Je vous souhaite une bonne lecture, enrichissante, et me réjouis par avance de tout nouveau témoignage qui ne manquera pas de nous parvenir.
Avec toute mon amitié à vous tous, amis internautes.
Martine
Janvier 2007
Serena
Nombre de messages : 279 Date de naissance : 06/02/1961 Age : 63 Localisation : France Date d'inscription : 06/07/2007
Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Sam 16 Juil 2011, 15:04
Bonjour Marie,
un grand merci pour ton lien que je vais mettre dans mes marque-pages....
Nombre de messages : 133 Localisation : Belgique Date d'inscription : 05/02/2008
Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Lun 18 Juil 2011, 15:24
HARRY POTTER A FAIT UNE NDE !! Dans le dernier film en ce moment au ciné, "Harry Potter et les reliques de la mort, 2ème partie".
Ceux qui ont lu le livre le savent déjà, ceux qui ne l'ont pas lu et ont l'intention de voir le film, ne lisez pas ce qui suit !
Au moment de l'affrontement final avec Voldemort, Harry Potter comprend qu'il possède un fragment de l'âme de Voldemort en lui depuis leur 1ère rencontre lorsqu'il était tout bébé. Pour vaincre le seigneur des ténèbres, il doit donc d'abord mourir lui-même sinon Voldemort survivrait en lui. Bref, il comprend cela et fait face à la mort, il se rend et Voldemort le tue. Harry atterrit dans un espace blanc qu'il compare à la gare de King's Kross "mais en beaucoup plus propre et sans trains", il rencontre Dumbledore qui lui explique en quelques mots où il se trouve, il lui dit qu'il a le choix de "prendre un train qui l'emmènera plus loin" ou de retourner poursuivre sa vie. Dumbledore lui dit aussi "n'aie pas pitié des morts, aie pitié des vivants, c'est eux qui sont à plaindre" Harry débarrassé du fragment de l'âme de Voldemort décide de vivre car sa tâche n'est pas finie, il doit vaincre le seigneur des ténèbres pour ramener la paix dans le monde des sorciers.
Pendant le film, Harry et ses amis recherchent aussi "les reliques de la mort", objets de légende censés rendre celui qui les possède "maître de la mort" et que Voldemort veut récupérer pour devenir immortel. D'après la légende, la mort elle-même les a offerts à 3 frères qui l'avaient vaincue, mais ces objets détenaient un tel pouvoir qu'ils ont suscité la convoitise et la haine, et la mort a bien vite repris 2 des 3 frères. Il s'agit d'une pierre de résurrection (qui rend la vie, mais sans âme. Le frère qui l'avait reçue a ressuscité sa fiancée mais désespéré de la voir froide et sans coeur s'est suicidé), d'une baguette de sureau (la baguette magique la plus puissante du monde, le frère qui l'a reçue a défié d'autres sorciers et a été assassiné pendant son sommeil) et d'une cape d'invisibilité (le 3ème frère l'a mise sur lui et la mort ne l'a retrouvé qu'à un âge avancé où il l'a accueillie comme une vieille amie). Harry les trouve: il a hérité de la cape d'invisibilité par son père, il découvre la pierre de résurrection juste avant de mourir (il la jette par terre) et prend la baguette de sureau à Voldemort lors de l'affrontement final (il la casse en 2 et s'en débarrasse).
Je trouve cela très symbolique: Harry n'a pas besoin de ces objets pour être "maître de la mort" puisqu'il a fait une NDE et est revenu, il sait donc que notre âme est immortelle. Il ne garde que la cape d'invisibilité, qui m'évoque la possibilité d'être invisible pour les êtres qui vibrent à des fréquences plus élevées ...
Cet ultime rebondissement dans l'histoire m'a ravie, ainsi que de voir ce thème des NDE traité dans un film très populaire de manière crédible. Les gens vont peut-être s'habituer à cette réalité grâce au film ...
Invité Invité
Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Mar 30 Aoû 2011, 17:59
Il y a les vivants, les morts, et il y a l’entre-deux. On l’appelle état végétatif chronique et ceux qui s’y trouvent sont parfois péjorativement qualifiés de “légumes” par ceux qui jouissent de tous les attributs de la vie. D’où le débat qui surgit de manière récurrente (et vive) pour savoir si l’on peut ou non les “débrancher” des appareils qui les alimentent. Une étude qui vient d’être publiée par la revue Cognition montre que, d’une certaine façon, les personnes en état végétatif chronique sont considérées comme… plus mortes que les morts eux-mêmes.
En introduction, les auteurs, chercheurs en psychologie de l’université du Maryland et de Harvard, écrivent que “les morts ont une certaine présence dans nos perceptions et nos pensées, qu’on les voie comme des fantômes, des habitants du paradis ou de l’enfer, ou comme des souvenirs. Par contraste, une personne en état végétatif chronique (EVC) semble généralement perçue comme n’ayant pas de présence du tout – le patient en EVC est simplement vu comme un corps soutenu par des machines, dénué de capacité mentales. Ces images antagonistes suggèrent que, même si l’EVC peut, sur le plan biologique, être catalogué entre la vie et la mort, il est possible que les patients en EVC soient, curieusement, perçues comme plus mortes que les morts, avec des capacités mentales moindres que celles des morts.”
A priori, il peut sembler étrange que l’on trouve aux morts des capacités mentales, mais il faut compter avec les forces de l’esprit que les vivants peuvent leur attribuer. C’est ainsi que l’étude a proposé un sondage aux résultats étonnants. Les chercheurs ont inventé une petite histoire dans laquelle un personnage nommé David a un accident de voiture au cours duquel il est gravement blessé. Dans le scénario A, il se rétablit parfaitement. Dans le scénario B, il meurt. Dans le scénario C, il entre dans un état végétatif, qui est décrit sans ambiguïté ainsi : “Tout le cerveau de David a été détruit, à l’exception de la partie qui lui permet de continuer à respirer. Ainsi, alors que son corps est techniquement toujours en vie, il ne se réveillera jamais.” Chacune des quelque 200 personnes sondées a reçu un fiche résumant un des trois scénarios. On lui a ensuite posé six questions sur l’esprit de David (qui, je le rappelle, est soit guéri, soit mort, soit en EVC) : peut-il influencer l’issue d’une situation, faire la différence entre le bien et le mal, se souvenir des événements de sa vie, avoir des émotions et des sentiments, être conscient de ce qui l’entoure et avoir une personnalité ? Les sondés devaient noter chaque question de -3 (“Pas du tout d’accord”) à 3 (“Tout à fait d’accord”), en passant par 0 (“Ni d’accord ni pas d’accord”).
Il y a au moins un résultat rassurant : c’est le David guéri de ses blessures et en pleine possession de ses capacités mentales qui obtient le score le plus élevé, avec en moyenne 1,77. En deuxième position, arrive… le David mort, avec un résultat faiblement négatif (-0,29). Bon dernier est le David en EVC, avec -1,79, plus mort que les morts. Pour affiner les résultats, les chercheurs ont réalisé deux autres sondages. Dans le premier, ils se sont aperçus que les personnes croyantes et/ou croyant à la vie après le trépas plaçaient l’esprit des décédés nettement au-dessus de zéro et reléguaient dans les limbes spirituelles les patients en EVC. Les non-croyants quant à eux estimaient que les cadavres et les personnes en EVC disposaient des mêmes capacités mentales… faibles mais pas nulles. Dans le dernier sondage, les personnes interrogées ont clairement dit qu’elles préféraient la mort à l’EVC, ce qui est finalement logique avec le reste.
Les auteurs de l’étude rappellent que d’autres recherches ont déjà montré que “mettre l’accent sur le corps d’humains vivants normaux tend à les dépouiller de leur esprit et que la nature biologique des patients en EVC pourrait de manière similaire conduire les gens à les “démentaliser”. En d’autres mots, les patients en EVC pourraient être vus comme des corps sans esprit tandis que les morts pourraient être vus comme des esprits sans corps.” Une hypothèse qui s’appuie sur le fait que l’on a fréquemment une vision dualiste des êtres, en les considérant soit comme des corps, soit comme des esprits, mais pas comme un assemblage indissoluble des deux.
Depuis 2006, d’étonnantes expériences ont prouvé que certains patients en EVC étaient parfaitement conscients. Lorsqu’on leur demandait d’imaginer jouer au tennis ou de se promener par la pensée dans leur appartement, deux zones bien différentes de leur cerveau s’”allumaient” en IRM, les mêmes qui s’activaient lorsqu’on soumettait des personnes saines au même exercice mental. Un résultat que, jusqu’à preuve du contraire, on aura du mal à obtenir avec des morts.
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Dim 11 Sep 2011, 21:11
"Si les gens prenait conscience de cette part divine qui leur est inhérente, ils seraient en paix."
Invité Invité
Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Mar 10 Avr 2012, 20:30
Anita a été diagnostiqué début 2006 avec un cancer en phase terminale qui la fera tomber dans le coma, - les médecins ont dit à sa famille qu'elle était à quelques heures de la mort -. Pourtant, après son expérience de NDE, elle sera "documentée" par les médecins comme complètement guérie.
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Sam 03 Nov 2012, 16:13
Et si la physique quantique expliquait les expériences de mort imminente ?
Les expériences de mort imminente surviendraient lorsque l'âme s'échapperait du système nerveux pour entrer dans l'univers selon des experts en physique quantique. Des scientifiques estiment que les expériences de mort imminente surviennent lorsque l'âme, formée par des substances quantiques, s'échappe du système nerveux pour entrer dans l'univers.
Les expériences de mort imminente passionnent les scientifiques comme le reste de la population. Il y a encore trois semaines, l'histoire d'Eben Alexander, ce grand neurochirurgien qui racontait son expérience de vie après la mort dans le livre Proof of Heaven ("Preuve du paradis") faisait la Une de nombreux journaux. Mais une question demeure : comment et quand est-ce qu'arrive ces expériences de mort imminente ? Selon deux scientifiques éminents, le Dr Stuart Hameroff et le physicien Roger Penrose, une expérience de mort imminente arrive lorsque les substances quantiques qui forment l'âme quittent le système nerveux pour se rendre dans l'univers. Cette théorie se rapproche donc de l'hypothèse de l'esprit quantique, qui suggère notamment que des phénomènes quantiques, comme l'intrication et la superposition d'états, sont impliquées dans le fonctionnement du cerveau, et surtout dans l'émergence de la conscience. L'essence de nos âmes seraient donc contenus dans une structure appelée microtubules.
Selon les deux experts, la conscience serait donc une sorte de programme pour un ordinateur quantique contenu dans le cerveau et qui persisterait dans l'univers après la mort d'une personne, expliquant donc les perceptions, les impressions des hommes et femmes qui vivent des expériences de mort imminente. Les âmes des êtres humains seraient plus que la simple interaction des neurones dans le cerveau : elles seraient issus de la fabrication même de l'univers et existeraient depuis le commencement des temps.
Stuart Hameroff expliquait ainsi dans un documentaire : "Disons que le cœur cesse de battre, le sang s'arrête de circuler, les microtubules perdent leur état quantique. L'information quantique dans les microtubules n'est toutefois pas détruite, elle ne peut pas être détruite, elle est juste redistribuée et se dissipe dans l'univers. Si le patient est 'ressuscité', qu'il revient à la vie, l'information quantique peut revenir dans les microtubules and le patient d'expliquer qu'il a eu une expérience de mort imminente. Mais si le patient n'est pas réanimé et meurt, il se peut alors que l'information quantique s'échappe du corps, peut-être indéfiniment, en tant qu'âme.
Si de nombreux scientifiques critiques cette théorie, le Dr Hameroff estime que les recherches menées en physique quantique, qui montrent notamment que les effets quantiques jouent un rôle dans de nombreux processus biologiques comme l'odorat, la navigation des oiseaux ou la photosynthèse, commencent à valider sa théorie.
Lu sur The Daily Mail et partagé par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Ven 16 Nov 2012, 10:13
Citation :
vendredi 16 novembre 2012 Le cadre du jeu cosmique (1/2) Voilà une suite à l'article écrit par Mike Adams après la lecture du livre écrit par le neurochirurgien qui a fait une NDE.
Deuxième partie demain. Certains sujets sont abordés de manière un peu trop "soft" à mon sens, mais l'ensemble est cohérent.
Le cadre du jeu cosmique : comment toutes ces choses fonctionnent au-delà du royaume de la matière
(NaturalNews) J'ai reçu quantité de réponses suite à ma critique du livre ''Une preuve du paradis''. Il semblerait y avoir une réelle faim de connaissances sur la vie après la mort, la vraie nature de la conscience, la structure de la réalité, la rédemption. Paradis et enfer et autres sujets connexes. Ces deux derniers jours, j'ai entendu parler de douzaines de lecteurs qui ont été captivés par la matière du thème et l'article lui-même a été posté sur des sites web aussi divers que SpiritDaily.com et DavidIcke.com.
Tout cela m'a pris par surprise, parce que je pensais à coup sûr que ma discussion sur ce sujet effraierait une bonne partie de mon audience, faisant chuter la fréquentation de mon site. Mais je ne me faisais aucun souci : le message de ''Une preuve du paradis'' avait besoin d'être publié et il sonnait juste à mes croyances et découvertes sur la conscience, le Créateur et la nature de la réalité. J'ai donc fait passer l'histoire, tout en me disant que ce serait peut-être une forme de suicide professionnel. Mais cela n'a jamais été la peur de perdre des lecteurs qui influence mes éditoriaux, alors pourquoi commencer aujourd'hui ?
Dans les heures qui ont suivi sa publication, il est devenu clair que cet article allait devenir viral ! M'attendant à être assailli d'insultes et d'accusations, j'ai été au contraire frappé par l'épanchement de gens qui avaient vécu des NDE semblables. Les uns après les autres, les gens m'ont raconté leurs propres connexions avec le monde spirituel et comment ils savaient qu'il y avait une autre vie que le royaume de la matière. Ils voulaient en savoir plus...
Je me suis retrouvé inondé de questions. Comment fonctionne réellement la conscience ? Quel est le but de la vie ? Pourquoi le monde semble si infesté du mal ? Existe-t-il une vie intelligente au-delà de la Terre ?
Je n'ai pas toutes ces réponses, bien sûr, parce que je ne suis pas Dieu et je ne suis sûrement pas non plus un étudiant universitaire en théologie. Mais je suis un chercheur intelligent et un explorateur de la réalité et j'ai passé pas mal d'années à lire et réfléchir sur des concepts clé de la philosophie, dont de nombreuses centrées sur les questions de conscience, libre-arbitre, Dieu et but de la vie. Je commence donc à collecter un vague canevas de réponses possibles à ces questions – une sorte de guide abrégé pour des règles de jeu cosmique.
C'est ce que vous allez lire ci-dessous : j'ai rassemblé l'ébauche d'une compréhension concernant ces sujets, présentée ici non pas comme un fait absolu mais comme un brouillon de travail qui sera développé et affiné au fur et à mesure de la mise en lumière d'informations supplémentaires.
Le but de ces informations est de vous donner un aperçu concis des ''règles basiques cosmiques'' pour que vous puissiez, en substance, accomplir une évolution personnelle en tant que participant au grand jeu cosmique et vous éviter d'être embarqué dans une vie mauvaise qui condamne votre âme à une damnation éternelle. Rappelez-vous : notre univers a été placé ici par le Créateur comme une sorte de terrain d'entraînement pour des âmes comme la vôtre et la mienne. Nos choix guidés par le libre-arbitre détermineront le succès ou l'échec dans ce grand défi cosmique.
Humains et âmes
• Nous existons en tant qu'êtres conscients habitant un corps physique pour une durée finie de temps connu comme ''vie humaine.''
• Notre conscience existe en dehors du cerveau et interfère pourtant avec ce dernier pour vivre grâce aux perceptions et systèmes d'un corps humain.
• Nos âmes conscientes sont originaires d'une réalité plus élevée, multidimensionnelle dans laquelle nous avons été d'accord pour vivre un voyage en tant qu'être humain sur la planète Terre et nous sommes par conséquent ''liés'' à un corps humain particulier tel qu'il s'est formé dans le ventre de notre mère.
• Au moment de notre mort physique, nos âmes se ''détachent'' de notre corps physique et nous démarrons l'expérience d'une hyper-réalité sans les limitations des sens terrestres et du cerveau. L'au-delà est ''des milliers de fois plus RÉEL'' que la vie sur Terre, selon ceux qui l'ont expérimenté. Ils ont décrit la vie terrestre comme une ''existence fantôme'' comparée à la réalité de l'au-delà.
• Nos âmes semblent individualisées ici sur Terre, mais en réalité nous sommes connectés à tout dans l'univers (une idée également confirmée par la mécanique quantique).
Une simulation
• Notre univers connu est une réalité simulée créée par Dieu, en même temps qu'un nombre infini d'autres univers également créés par Dieu.
• Le Big Bang a été créé par Dieu dans le but de permettre à notre univers physique de s'expanser et de fournir de ce fait un cadre qui supporte la vie. Le TEMPS a aussi été créé dans le Big Bang. Notre vécu de l'écoulement du temps est une propriété de cet univers particulier. Au-delà de cet univers, on peut traverser le temps aussi facilement que nous changeons vous ou moi de position dans le monde physique.
• Il y a d'innombrables civilisations sur des planètes, pas juste sur celles de notre propre univers, mais au sein d'un nombre infini d'autres univers aussi. Certaines sont plus avancées que le nôtre. Le Créateur n'a manifestement pas créé la vie que sur une seule planète. Il a créé des univers entiers de galaxies grouillants de vie. Présence du mal sur Terre
• La Terre est infestée d'une plus grande densité de mal que la plupart des autres royaumes habités. Ceci rend la vie sur Terre en tant qu'humain plus éprouvante qu'une vie ailleurs où le mal n'est pas aussi dominant. Le but de ce mal est de mettre au défi notre nature profonde et notre libre-arbitre. Sans le mal autour de nous, il n'y aurait aucun choix difficile et donc aucune évolution personnelle possible.
• La présence du mal sur Terre est ce qui fait du ''voyage terrestre'' l'un des plus difficile de l'univers. Ici, la plupart des âmes ratent le test personnel et sont aspirés par le mal. Le rôle de nombreuses églises et dirigeants spirituels a été de tenter de ''sauver des âmes'' (Hum, hum, notion à revoir à mon sens) littéralement de la poursuite d'une vie d'égoïsme et de mal qui finira pour ces âmes par un bannissement vers une vie infernale dans l'au-delà.
• L'expérience de la vie humaine est, essentiellement, un ''exercice d'entraînement'' pour déterminer notre vraie personnalité. Grâce au libre-arbitre, Dieu veut que vous découvriez et viviez qui et quoi vous êtes réellement, sans être obligé de faire quoi que ce soit par un pouvoir supérieur.
Faire le compte de vos actions
• Chacun de vos actes ici sur Terre est enregistré et observé par le Créateur. Il n'y a pas de secrets. Même les choses que vous pensez faire en secret sont totalement connues du Créateur. ''Dieu vous observe'' est vrai au sens littéral, sauf qu'il ne regarde pas physiquement avec des globes oculaires. C'est plutôt que le Créateur ''connaît'' instantanément toute chose. De nombreuses personnes qui sont mortes temporairement et ont expérimenté l'au-delà ont brièvement décrit leur incursion dans le magasin cosmique de connaissance illimitée. Dans les cercles New Âge, ce concept est parfois appelé ''mémoire akashique''.
• Après la mort du corps physique, notre âme consciente ''sort de ce rêve simulé'' qu'est la vie humaine et rejoint une autre dimension d'où elle est issue. À cet endroit, nos actes sur Terre sont jugés selon le critère d'une pratique de l'AMOUR par la défense de la vie, la compassion etc.
• Ceux jugés avoir vécu une vie selon le mal voient leurs âmes envoyées dans un ''enfer'' littéral (le purgatoire) où l'absence de l'écoulement du temps fait que vivre en enfer semble comme une damnation éternelle. Au purgatoire, les âmes subissent une peine effroyable en étant séparées de l'amour éternel de l'univers.
• Ceux jugés avoir vécu dans l'ensemble une vie d'amour voient leurs âmes hissées vers un ''paradis'' où le savoir, la sagesse et la créativité semblent illimités. Vous pouvez poser des questions à l'univers, communier avec Dieu et saisir des choses bien au-delà des limites du cerveau humain.
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Traduit par Hélios par Hélios
infomysteres Membre actif
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Ven 16 Nov 2012, 13:11
Très intéressant Ambre. Merci pour ce partage.
Juste quelques commentaires, car il y a des détails où je ne suis pas tout à fait d'accord...
Citation :
Le Big Bang a été créé par Dieu dans le but de permettre à notre univers physique de s'expanser et de fournir de ce fait un cadre qui supporte la vie. Le TEMPS a aussi été créé dans le Big Bang. Notre vécu de l'écoulement du temps est une propriété de cet univers particulier. Au-delà de cet univers, on peut traverser le temps aussi facilement que nous changeons vous ou moi de position dans le monde physique.
A part le mot Big Bang et expansion qu'il faut retirer de cette phrase, je suis d'accord avec tout le reste. Il n'y a pas besoin d'imaginer une expansion quelconque pour fournir un cadre de vie. Quand on sait sur quoi est basée scientifiquement cette idée d'expansion de l'univers, ça laisse perplexe...
Citation :
Sans le mal autour de nous, il n'y aurait aucun choix difficile et donc aucune évolution personnelle possible.
Pas d'accord ou alors avec une nuance. Les choix difficiles accélèrent l'évolution. Ils n'en sont pas la cause. Sans ces choix il y aurait une évolution tout de même. Pour faire simple, il existe 2 grands moyens d'évoluer (dans le sens d'élargir son champ de conscience): - Soit en suivant une ligne directrice sans libre arbitre (donc sans choix personnel), juste en se laissant guider au fil de l'eau. Certains mondes sont basés sur ce principe. - Soit en utilisant le libre arbitre (donc avec choix personnel), et donc en créant nous-mêmes des causes qui se répercuteront nécessairement par des conséquences (selon la loi de cause à effet). C'est le choix fait par les humains entre autres. Et dans ce deuxième cas, il y a aussi deux solutions possibles: rester près de la ligne directrice pour faire en sorte que tout se déroule paisiblement. C'est ce qui se passe pour la majorité des mondes. Et l'autre choix est de s'éloigner de la ligne directrice (ce qui est rendu possible grâce au libre arbitre). Et dans ce cas, cela crée la souffrance telle qu'on la connait sur Terre. Je ne suis pas certain que nous ayons fait le bon choix en choisissant de vivre ça. Mais à partir du moment où le libre arbitre s'exerce, chacun doit en assumer les conséquences... La souffrance que vit la Terre n'est pas nécessaire pour évoluer. On aurait pu s'en passer si on n'avait pas commis des actes qui ont créé cette souffrance comme un moyen de retrouver la ligne directrice...
Citation :
Le rôle de nombreuses églises et dirigeants spirituels a été de tenter de ''sauver des âmes'' (Hum, hum, notion à revoir à mon sens)
Originellement, le but des églises et dirigeants spirituels a été de sauver des âmes (même si dans la pratique il s'est avéré qu'au nom de ces mêmes églises, rien n'a été fait dans ce sens...). Le mot "sauver des âmes" peut effectivement être revu. Car les âmes sont liées éternellement à une conscience universelle (que chacun appellera comme il veut : Dieu, entre autres). Par contre une personnalité est rattachée à une âme. Et dans des cas très rares (mais pouvant arriver) ces personnalités peuvent se détacher de ces âmes. Donc il est sans doute plus juste de dire que le but des dirigeants spirituels est (ou plutôt "devrait être") d'éviter que les personnalités se retrouvent "sans âme".
Citation :
Grâce au libre arbitre, Dieu veut que vous découvriez et viviez qui et quoi vous êtes réellement, sans être obligé de faire quoi que ce soit par un pouvoir supérieur.
Dieu (que je préfère appeler « conscience universelle ») ne veut rien ! Il « est » et laisse les Esprits s’exprimer comme bon leur semble (donc en utilisant leur libre arbitre). Chaque Esprit est donc libre de faire ce qu’il veut ! Il y a juste une chose à ne pas oublier : c’est qu’il doit assumer la conséquence de ses choix. Ceci n’est pas une punition ! C’est juste que chaque cause crée une conséquence !
Citation :
Après la mort du corps physique, notre âme consciente ''sort de ce rêve simulé'' qu'est la vie humaine et rejoint une autre dimension d'où elle est issue.
Cela manque de précision. Car lors des NDE, les gens se retrouvent dans le plan astral. Mais ce n’est qu’une étape pour aller dans des plans plus subtils (mental et causal). Ceux qui sont dans le plan astral sont « morts » pour les gens physiquement sur Terre. Mais ils ne le sont pas réellement pour ceux qui sont sur les plans supérieurs.
Citation :
À cet endroit, nos actes sur Terre sont jugés selon le critère d'une pratique de l'AMOUR par la défense de la vie, la compassion, etc. … Ceux jugés avoir vécu une vie selon le mal voient leurs âmes envoyées dans un ''enfer'' littéral … Ceux jugés avoir vécu dans l'ensemble une vie d'amour voient leurs âmes hissées vers un ''paradis''.
On sent ici une connotation religieuse (ou plutôt des enseignements religieux « déformés » de leur sens originel). Je comprends ces phrases comme contradictoires. Déjà, ça dit que l’AMOUR et la compassion règnent. Et ensuite ça dit que les méchants vont en « enfer ». Si c’est le cas, ou est la compassion ? Dire à quelqu’un « je t’aime, je compatie à ce que tu es mais tu vas aller « bruler » en enfer ! ». Je trouve ça un peu « limite » ! J’aimerai autant que la personne ne m’aime pas plutôt qu'elle me dise des choses pareilles ! Je vais essayer de résumer en quelques mots mon idée sur ces sujets : Le plan astral est un plan basé sur les émotions, les sensations et les désirs. C’est pour ça que le « corps astral » est aussi appelé « corps émotionnel ou corps des sensations ». Donc, partant de là, dans le plan astral, les désirs et sensations se réalisent instantanément. C'est-à-dire sans avoir besoin de faire des actes nécessitant de l’énergie comme c’est le cas dans le plan physique. Donc, une fois dans ce plan astral, chacun vit en fonction des « ses désirs et croyances ». Il crée sa propre réalité émotionnelle. Il pourra donc vivre un enfer ou un paradis ou ce qu’il veut… Mais le plan astral n’est qu’une étape dans la transition après la mort. Ce plan est encore un plan basé sur des illusions (car chacun y vit en fonction de ses désirs, sensations et émotions). La « vraie » mort a lieu une fois arrivée dans le plan mental inférieur. C’est là, que l’âme vivra une vie paisible et basée sur la compassion (et quel que soit ce qu’elle a fait durant son séjour terrestre). C’est une phase de « repos » pour l’âme pour digérer et prendre conscience de chacun de ses choix faits antérieurement. Cette vie paisible a également une fin, car une fois « le repos du guerrier » terminé, l’âme retrouve son corps mental supérieur (aussi appelé causal). C’est ce corps qui « enregistre » tout le vécu des âmes lors de leur séjour terrestre.
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Dim 18 Nov 2012, 19:00
Comment définir la mort, le sommeil, et l’état d’éveil ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Endymion endormi Par Jsf, 18 novembre 2012
La connaissance de soi demande de comprendre pourquoi l’état de conscience diffère au cours de notre vie, et alterne quotidiennement entre l’état de sommeil, et l’état d’éveil qui est aussi une forme de « rêve éveillée » – à moins que ne survienne un bref instant de conscience de soi. Pour comprendre comment surviennent ces moments de conscience de soi, et qu’est-ce qui entraîne l’alternance de différents degrés d’être, nous allons revenir sur les enseignements du christianisme ésotérique.
Selon Mouravieff en effet, il existe quatre niveaux de conscience : « La Conscience – dite absolue - et ses trois dérivées : Conscience du Moi réel, Conscience de veille, et Subconscience« . Il y revient ensuite plus en détail :
1) la subconscience est la conscience crépusculaire du corps. Sa force ne dépend pas du niveau culturel de l’individu. Souvent les êtres primitifs ou élémentaires ont une conscience de leur corps plus forte que les intellectuels; 2) la conscience de veille est la conscience diurne de la Personnalité. Les cas pathologiques mis à part, son ampleur et sa force se développent avec le développement culturel de l’individu; c’est la conscience subjective du Moi; 3) la conscience du Moi réel est la conscience de l’Individualité, autrement dit, c’est la conscience objective du Moi individuel; 4) la conscience est la conscience absolue et la conscience de l’Absolu. (Source : Gnôsis, t.1, p.21-22) A chacun de ces états de conscience correspond un Moi différent. Nous ne sommes pas une unité sans l’harmonie cohérente de tous ces Moi qui agissent à des niveaux (des corps) différents. Mouravieff explique en quoi l’harmonie correspond à l’alignement de ces Moi à la volonté spirituelle la plus élevée. Ainsi, sans cet alignement, les hommes sont gouvernés par le Moi du corps (physique), lequel est relié à la subconscience (l’action/réaction, les pulsions, etc). Mais avec un juste alignement, c’est le Moi de la Personnalité (l’âme) qui peut s’activer et s’exprimer, jusqu’à ce que le Moi réel (de l’esprit) puisse à son tour éclairer l’ensemble de ces corps. Mouravieff rappelle que le Travail sur soi consiste d’abord à remporter la lutte permanente qui existe entre le Moi de la Personnalité et le Moi du corps :
Lorsque l’homme conflue et, par conséquent, s’oublie, il est tout simplement entraîné par l’un des courants psychiques qui passe en lui, mais il n’est pas conscient de cela; il croit agir, alors qu’en réalité il est emporté, étant plongé dans le sommeil mental. Lorsqu’il pratique le tresvénié, c’est-à-dire lorsqu’il est présent, et tant que cet état dure, il se rend compte qu’il est emporté. Mais c’est tout. Il continue cependant à être emporté. C’est néanmoins un grand progrès, car cela lui permet de se concentrer sur l’idée : JE SUIS. Par là, il fera le premier effort pour s’attacher au permanent tout en se détachant du temporel. Avec la formule JE SUIS, l’homme fera pour la première fois un effort de résistance au ou aux courants psychique qui l’emportent et dont il n’est autrement que le jouet. C’est par cette sorte d’efforts conscients qu’il commencera à bâtir sa cage — son futur poste de commandement. (Gnôsis t.1, p.130)
L’état naturel du Moi du corps est ainsi l’état de sommeil (subconscience). A noter que la lutte contre le sommeil du Moi du corps est différente selon le terrain génétique et les facteurs trans-générationnels du corps (Gurdjieff le mentionne avec l’essence). Comme l’activité du Moi du corps appartient au tissu même de la réalité illusoire, il obéit donc aux mêmes lois. Lorsque le Moi de la Personnalité s’active et se consolide, il prépare le terrain pour la venue de l’esprit, dont la présence immobile, vivante et éternelle peut effrayer. Le Moi de la Personnalité est couramment nommé l’âme. C’est l’ensemble du « câblage émotionnel » qui constitue une espèce d’engramme qui perdure dans le temps, au-delà du corps physique. La Personnalité est également un corps, de nature énergétique, qui également meurt. C’est ainsi que lorsqu’une personnalité n’est plus alimentée par la vie dans un rapport d’apprentissage dynamique, elle perd de sa réalité, se morcèle, et dégénère. Mouravieff décrit bien cette situation intermédiaire de l’âme, prise entre les pulsions du corps et l’influx spirituel. Le centre émotionnel, de par cette situation, créé continuellement des images :
Lorsque le centre émotif est plongé dans un sommeil profond, il rêve. Il rêve aussi bien dans la journée, en pleine activité, que pendant la nuit. Le centre émotif conçoit des rêves en utilisant sa capacité innée de créer des images. Si, en les élaborant, il s’inspire d’idées venant du centre intellectuel, il peut créer des images de grandeur, pour compenser les échecs ou demi-échecs de la vie. S’il s’inspire d’impulsions provenant du centre moteur, il se voit en déplacement sur terre, sur mer ou dans les airs. Sous l’influence des éléments innés provenant des films précédents, il peut revivre ces films, par fragments. A l’aide d’impulsions provenant du centre sexuel et qui passent par le centre moteur, le centre émotif a des rêves érotiques qui peuvent donner une impression totale de réalité. Par contre, s’il fait des rêves avec l’aide directe et pure du centre sexuel, il crée, qu’il le connaisse ou non, des images idéales de son être polaire, fondées sur l’expérience de sa vie actuelle ou sur des expériences précédentes. (p.162)
Le centre émotionnel supérieur est souvent perçu depuis la Personnalité comme le féminin spirituel, ou le féminin sauvage. Voir le livre de Mohammad Ali Amir-Moezzi et Michel Cazenave.
Le centre émotionnel – la Personnalité, l’Âme – est ainsi soumise aux vents et marées de toutes les influences extérieures, qu’elles proviennent de la subconscience ou du Moi réel....
suitesur NOT
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Ven 08 Fév 2013, 08:26
Bonjour, je vous propose ce très bon livre que je suis en train de lire: Un médecin face à l’invisible Gérard Vigneron
De la Grèce antique à la physique quantique, un passionnant voyage qui traverse le voile du monde des apparences. Confronté, dans l’exercice de sa profession de médecin généraliste et dans sa vie, à des événements paranormaux inexplicables par la science, le Dr Vigneron s’est lancé dans une grande enquête au-delà des frontières de la connaissance actuelle. Comme le rappelle judicieusement Patrice van Eersel dans sa préface, ce qui importe, ce sont les faits. Et même s’ils ne font pas partie de la culture officielle, ces faits, pour bizarres qu’ils paraissent, restent des faits. Il est bien sûr facile de les nier, mais on peut écouter aussi ce qu’ils ont à nous dire. Cette quête a mené le Dr Gérard Vigneron dans le monde entier. À partir des constatations de son expérience quotidienne, qu’il s’agisse d’expériences de mort imminente ou médiumniques, de diverses formes de télépathie ou des dons de guérison, l’auteur témoigne de faits objectifs tout en réfléchissant aux innombrables fils invisibles qui forment la trame de notre univers. Il nous propose ainsi une carte pour nous repérer dans ces mondes étranges grâce à une méthode anthropologique qui a fait ses preuves : « l’observation participante ». Un livre d’une grande rigueur qui nous éclaire sur des façons de penser l’impensable et de réfléchir à l’improbable. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Sam 10 Mai 2014, 22:46
Dr Jean-Jacques Charbonier a écrit:
Sortie du dernier livre de Raymond Moody et Eben Alexander " L'évidence de l'après-vie " aux éd. Guy Trédaniel le 12 mai. Accompagné d'un DVD. Préface
La vie nous réserve parfois de belles surprises.
Il y a à peine quelques semaines, si un médium m’avait annoncé qu’il me serait un jour demandé d’écrire la préface du dernier livre de Raymond Moody et d’Eben Alexander, je l’aurais tout simplement envoyé sur les roses en le prenant pour un abominable charlatan ou un méchant plaisantin. Maintenant encore, en observant ma plume glisser sur le papier, je n’ose vraiment y croire. Car oui, j’ai décidé d’abandonner les touches du clavier et celle de mon dictaphone pour rédiger ce texte. L’instant est pour moi solennel ; historique même. Rendez-vous compte un peu : Raymond Moody et Eben Alexander ! Les deux hommes qui ont réussi l’impossible ou tout le moins l’improbable : faire bouger les lignes des paradigmes eschatologiques de nos sociétés Occidentales profondément ancrées dans le béton des dogmes de la pensée matérialiste réductionniste. Des sauveurs. N’ayons pas peur des mots ; des héros. Mes deux héros. Les réunir pour une discussion sur l’évidence d’une après-vie est un moment unique et rare à savourer en silence et rédiger ces lignes d’introduction devient donc…un plaisir de gourmet.
J’ai eu la chance de croiser trop brièvement ce couple hors norme en France lors d’un colloque où nous intervenions pour présenter les résultats de nos recherches sur les expériences de mort imminente, mais nos courts échanges et nos poignées de mains me suffirent pour percevoir la sincérité et le charisme qui animent ces deux incroyables médecins. Mes confrères américains ont, par leur prise de position révolutionnaire sur la mort et le fonctionnement de la conscience, réussi à mettre en émoi l’ensemble de la communauté médicale et à déchainer les médias du monde entier. Autant dire que ces deux là devaient fatalement se rencontrer. Cette rencontre était jusqu’à ce jour inédite. C’est dire l’importance de ce livre et de cet enregistrement filmé qui feront sans nul doute date dans le registre de la grande aventure des NDE.
Les docteurs Moody et Alexander forment un duo aussi étonnant que détonnant ; leur dialogue est un torrent de vie, d’émotion et d’amour. Dès les premières pages du livre ou les premières minutes du film qui l’accompagne, nous sommes pris, totalement scotchés, suspendus à leur propos. Une sorte d’état de grâce. Quand l’éminent professeur de neurochirurgie d’Harvard parvient à dire l’indicible et à penser l’impensable, nous sommes nous aussi transportés avec lui sur les ailes d’un papillon géant qui nous amène visiter d’autres dimensions. Nous le suivons volontiers dans son fabuleux voyage. Et quel voyage ! Face à lui, celui qui est aujourd’hui mondialement reconnu comme étant le père des NDE jubile. Depuis cinquante ans que l’auteur du fameux livre La vie après la vie travaille sur le sujet en recueillant des milliers de témoignages, c’est, de son propre aveux, la toute première fois qu’il lui est donné d’entendre une histoire aussi fascinante que celle-là. Nous sommes avec eux, assis dans un des fauteuils du confortable salon de la maison du Dr Alexander où se déroule l’entretien, mais aussi ailleurs, bien loin de là, totalement emportés par cet incroyable récit de guérison miraculeuse. De quoi être époustouflé en tournant chaque page.
On apprend que si le petit Eben priait quelquefois dès son plus jeune âge, sa spiritualité naissante fut vite noyée par l’esprit scientifique de son éducation. Plus tard, sa brillante carrière de professeur en neurochirurgie ne fit que renforcer son esprit rationaliste résolument matérialiste ; le cerveau était pour lui un organe sécréteur de conscience, point à la ligne. Oui mais voilà, le 10 novembre 2008 à 4 h 30 du matin, tout bascule. Une méchante bactérie emporte l’éminent spécialiste du cerveau dans un état de sidération cérébrale exceptionnel - 1 cas sur 10 millions - pour reproduire à la perfection un état de coma dépassé réputé irrécupérable. L’épisode dure 7 jours. Et ces 7 jours sont de toute évidence 7 bonnes raisons de croire à l’au-delà !
Après avoir traversé le monde vu du ver-de-terre, celui que l’on pense définitivement condamné fait un séjour stupéfiant dans une sorte de Paradis. Qu’il croise dans ce monde merveilleux des âmes, des chiens, des villageois et un être divin lui révélant la nature de l’amour inconditionnel du créateur est, certes très impressionnant, mais pas trop surprenant pour celui qui comme moi est rompu à entendre des récits d’expériences de mort provisoire (EMP). Par contre, au cours de ce singulier voyage, une information capitale est révélée. Elle atteste de façon formelle que le passage dans l’au-delà est bien réel et ne peut être le fruit d’une simple hallucination. Le grand malade que les réanimateurs pensent condamné ne découvrira l’inconcevable identité de la magnifique jeune fille qui le guide de l’autre coté du voile que plusieurs mois après son coma. Et on est totalement abasourdi d’apprendre enfin qui est la mystérieuse femme qui se cache derrière ce si joli visage. Parmi tant d’autres, un fait troublant m’interpelle dans ce récit : le pouvoir de la prière et de la relation télépathique qui s’instaure d’une bien curieuse façon entre une dénommée Holly et le praticien qui avoue avec regret n’avoir jamais compris le travail de guérison spirituelle durant toute sa vie de neurochirurgien. Cette dernière confidence m’encourage à poursuivre le travail que j’ai débuté avec certains groupes de prières ainsi qu’avec des médiums pour évaluer les possibilités télépathiques des personnes plongées dans le coma ou soumises à des anesthésies générales.
Le Dr Eben Alexander tire un certain nombre de conclusions de son aventure. Celles-ci sont validées par le Dr Raymond Moody qui est à ce jour, et de l’avis général, le plus grand spécialiste mondial des NDE. Mais je ne vais pas les divulguer ici. Je préfère laisser au lecteur le plaisir de cette stupéfiante découverte. Celui-ci ira de surprise en surprise et sera, comme la plupart de ceux qui ont lu cet ouvrage, submergé jusqu’aux larmes par l’émotion. Non, je ne dévoilerai rien. Mais ce que je peux tout de même dire, c’est que les enseignements révolutionnaires que l’éminent miraculé déduit de cette épopée sont en parfait accord avec le résultat de mes recherches sur la conscience ainsi qu’avec la modélisation que je propose pour tenter d’intégrer ce qui est classiquement rejeté par la médecine hospitalière. Et tout cela, bien sûr, me remplit de joie.
On découvre avec délice que l’ancien professeur de philosophie devenu psychiatre, fortement impressionné et ému par l’aventure de son célèbre confrère, parvient de ce fait à mieux comprendre son propre cheminement : nous avons été missionnés pour diffuser le message. Je pense que nous avons signé cela avant même de venir au monde, lui dit-il en évoquant leurs parcours respectifs. Contrairement à Alexander, Moody préfère l’approche philosophique à celle de la physique quantique. Question de tempérament, de culture et de sensibilité. Le plus important est de constater que les auteurs de cette conversation sont en parfaite synergie sur le thème de l’après-vie.
Ce livre et ce film sont donc « d’utilité publique ».
Ils permettent le temps d’un battement d’aile de papillon de faire changer le monde dans la bonne direction ; celle qui nous conduit sur le chemin de la connaissance qui est surtout et avant tout le chemin du partage, de la tolérance et de l’amour.
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Mar 14 Oct 2014, 19:32
Atlantico.fr a écrit:
Expériences de mort imminente : la plus grosse étude jamais menée confirme que l’état de conscience continue après l’arrêt du cœur!
Des chercheurs de l'université de Southampton ont découvert que les patients victimes d'arrêts cardiaques étaient toujours conscients quelques minutes après l'arrêt du cœur... prouvant ainsi qu'il y a une vie après la mort. "Le cœur ne repart pas. Heure de la mort : 17h34." Cette expression largement reprise dans les séries médicales pourrait en réalité être totalement erronée. Le phénomène d'expérience de mort imminente (EMI ou near-death experience), cette série de visions ou de sensations conséquences d'une mort clinique ou d'un coma avancé, intrigue depuis plus d'un siècle. Les symptômes sont déjà connus : la sensation de s'échapper de son corps, le sentiment de paix et de sérénité, la vision complète de sa vie ou encore l'apparition d'une lumière blanche. La science est allée plus loin. Depuis six ans une équipe de chercheurs de l'université de Southampton (Royaume-Uni) étudie des patients en arrêt cardiaque pour analyser leur expérience de mort imminente. "Pour la plupart des gens, quand vous pensez à la mort, soit vous l'êtes, soit vous ne l'êtes pas, commente le docteur Sam Parnia, professeur adjoint à l'université de New York et à l'initiative des recherches sur la "ressuscitation" à Southampton. Mais nous, nous avons prouvé qu'il y a bien un moment de mort : il commence quand le cœur s'arrête et se poursuit un peu dans le temps". Selon les résultats de l'étude qui viennent d'être publiés, il y a bien une vie après la mort. L'équipe de chercheurs a découvert qu'il y a un moment "d'éveil", de conscience, même après que le cœur ait cessé de battre. Les scientifiques ont pour cela étudié 2 060 cas d'arrêts cardiaques dans quinze hôpitaux du Royaume-Uni, d'Autriche et des Etats-Unis. Sur les 330 personnes qui ont survécu, 140 ont témoigné avoir eu des moments conscients avant d'être réanimés. Un sur cinq a déclaré avoir eu une sensation (...)lire la suite sur Atlantico Le mystère des Expériences de Mort Imminente L'expérience de mort imminente due à une décharge d'ondes cérébrales ? ; Un lien entre anorexie mentale et autisme ? Une lumière blanche et dorée, le sentiment de renaitre : ce monde incroyable et pourtant très réel de l'expérience de mort imminente
AMBRE
Nombre de messages : 5418 Date de naissance : 14/08/1962 Age : 61 Localisation : Belgique Date d'inscription : 25/05/2007
Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Ven 31 Oct 2014, 10:42
Citation :
Le suicide et l'Au-Delà
Que se passe-t-il dans l'au-delà pour une âme qui s'est suicidée pendant sa vie terrestre ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Mer 19 Nov 2014, 23:43
Les bizarres conséquences électromagnétiques des NDE
Par Buck Rogers, Waking Times
Traduit par Hélios
Les débats autour des NDE (near-death experience, expérience aux frontières de la mort) sont habituellement centrés sur les questions concernant l'après-vie et ce qui se passe pour la conscience quand elle emprunte l'emblématique tunnel de lumière. Les sceptiques, bien entendu, les envisagent sous l'angle scientifique, se demandant si le patient est réellement mort ou si la recherche est légitime et ce genre de choses.
Ce dont on parle moins fréquemment, pourtant, c'est ce qui passe pour les gens après une NDE et quels changements se produisent aux plans psychologique et physiologique. Il existe des milliers d'exemples archivés de NDE qui offrent un témoignage sur la possibilité d'une vie après la mort, mais qu'en est-il de la vie après une expérience aux frontières de la mort ?
Citation :
"Quatre-vingt pour cent environ de gens ayant expérimenté un état aux frontières de la mort ont déclaré que leur vie avait changé à jamais. Un examen plus poussé montre malgré tout l'émergence de surprenantes dimensions. Les gens ayant vécu cette expérience ne revenaient pas avec uniquement un enthousiasme accru pour la vie et une vision plus spirituelle. Ils manifestaient des différences psychologiques et physiologiques spécifiques d'une ampleur jamais vécue auparavant."P.M.H. Atwater, Docteur es Lettres.
Citation :
Phyllis, Marie, DeKeyser Atwater, docteur es lettres, chercheuse, est l'auteur de "Dying to Know You : Proof of God in the Near-Death Experience". C'est une chercheuse de réputation mondiale sur les NDE qui a vécu elle-même trois NDE.
Citation :
Après avoir interviewé pour son étude des milliers de personnes ayant expérimenté une NDE, elle est allée plus loin que la simple curiosité de ce qui se passe dans l'au-delà, elle a recherché les conséquences des NDE chez les gens et a découvert de curieux effets. Les conséquences les plus courantes sont :
Des changements dans la personnalité, les personnes deviennent souvent plus aimantes, plus calmes et sans jugement ou sont conduites vers des changements majeurs de vie, comme un divorce, une séparation d'avec la famille et les amis ou un pouvoir d'attraction accru auprès des autres
Une augmentation notable des capacités intuitives et médiumniques, une communication avec les esprits, les plantes et les animaux par exemple
Un revirement pour le sens des priorités de la vie
Un sentiment d'intemporalité et de non-dualité
Une sensibilité à la lumière et au bruit
Des changements d'attitude envers la santé, le bien-être et la spiritualité
En dehors de ces conséquences notables, la recherche de Atwater a révélé un autre effet plus bizarre, le fait que de nombreuses personnes subissent des changements plutôt remarquables dans le champ électromagnétique de leur corps. Cette "électrosensibilité", comme on la nomme, peut amener des situations intrigantes, effrayantes et même dangereuses pour certains des survivants de NDE les plus sensibles.
Citation :
"Dès le début de ma recherche sur les états aux frontières de la mort en 1978, j'ai remarqué constamment qu'une grande majorité des expérimentateurs (ceux qui faisaient aussi bien partie de mon étude que pendant une conversation extérieure avec eux) racontaient qu'ils devenaient plus sensibles aux champs électriques et magnétiques – perturbations, équipement, appareils, bracelet-montres – après leur épisode de NDE."
Citation :
Ce changement physiologique étrange et durable est vécu par la majorité de ceux qui vivent une NDE. Ceux qui expérimentent une électrosensibilité après une NDE parlent d'une "interférence" avec tout ce qui concerne l'électronique dans leur environnement. Quelques exemples :
Les lumières qui se mettent à clignoter en entrant dans une pièce et surtout dans le cas d'une situation intense
Les ordinateurs et autres appareils électroniques qui tombent en panne quand ils s'en approchent
Les ampoules qui explosent
Des dérèglements dans les appareils d'enregistrement entraînant des photos et vidéos insolites ou déformées
Les piles des montres qui sont rapidement déchargées ou les montres qui s'arrêtent sans aucune raison
Le sentiment d'être "vidé" en s'approchant de tout appareil électronique
Recevoir des chaînes de télévision ou de radio qui ne devraient pas être captées dans un endroit donné
Se sentir plus "connecté" à l'électronique et pouvoir s'en servir mieux qu'avant la NDE
Une extrême sensibilité aux manifestations terrestres comme les orages, les séismes, et les tornades
Pour ceux qui vivent ces phénomènes, l'interférence physiologique avec l'environnement devient partie intégrante de la vie de tous les jours et ils apprennent à faire les choses de différentes manières pour minimiser tout ce qui pourrait être nocif aux gens ou à l'électronique dans leur entourage.
Citation :
"Pas de problème pour porter une montre – mon mari non plus. Mais impossible de faire avancer les aiguilles, même si notre vie en dépendait. Ce n'est pas seulement pour les montres avec nos nouvelles bizarreries électriques, mais nous avons chacun notre influence particulière sur d'autres objets électriques.
Citation :
Les ordinateurs – pas facile. Si une trop grande quantité de l'énergie enfermée ne s'est pas dissipée avant de toucher le clavier, mon ordinateur s'arrête et ne se remet à fonctionner que lorsque j'enlève mes mains ou toute autre partie de moi qui touche l'ordinateur. Dès que j'arrête de le toucher, il se remet en service et me fait savoir qu'il s'est mis en sécurité...Si j'éprouve une émotion intense, pendant que je tape sur le clavier, il s'interrompt. Une fois mes émotions calmées, il repart sans aucune erreur.
Citation :
Toute cette bizarrerie va aussi se manifester avec les téléphones portables, en fait avec n'importe quel téléphone. Et pas forcément le mien. J'ai causé plus d'une fois des coupures sur le téléphone de mon fils. Il me dit alors, "Maman, arrête ça !" et je calme mes pensées et cette satanée chose se remet en marche". Cathy L. Jones, après le vécu d'une NDE
Citation :
Dans son livre, The Body Electric : Electromagnetism and The Foundation of Life, publié en 1985, le chirurgien Robert O. Becker a amené un nouvel éclairage sur la dimension électromagnétique de l'être humain, en présentant ses découvertes qui démontraient la nature conductrice du cerveau, de la peau, des cellules et du corps tout entier. Dix ans plus tard, un autre travail de pionnier dans l'étude du corps humain électromagnétique fut publié par Albert Roy Davis et Walter C. Rawls dans leur livre, Magnetism and its Effects on the Living System, qui révélait la nature polarisée du corps humain.
Le scientifique russe Semyon Kirlian a propulsé cette étude plus loin en créant une technique de haut voltage aujourd'hui célèbre, pour photographier les champs électromagnétiques humains, qu'on appelle maintenant photographie Kirlian. Plus tard, K. Korotkov, un russe également, a mis au point une manière de mesurer le Chi, la force vitale de toutes choses, comme l'explique la médecine chinoise.
Beaucoup de gens soulèvent la question des dangers de l'industrialisation électromagnétique de notre monde, déclarant qu'une interférence avec les fonctions électromagnétiques naturelles du corps peut affecter sérieusement la santé, alors que les sceptiques prétendent qu'il n'y a que peu de risque à la quantité de radiation électromagnétique apportée par les réémetteurs, la wi-fi, les "compteurs intelligents" et ainsi de suite. Le phénomène électrosensibilité, si on l'étudie de plus près, pourrait donner un nouvel aperçu sur la réelle flexibilité du corps électromagnétique de l'homme, et le lien entre l'énergie du corps et la dimension spirituelle de l'existence.
Le subtil corps énergétique est une réalité tangible pour les nombreuses personnes qui pratiquent la méditation, le yoga ou les arts martiaux. Il est remarquable qu'il y ait une telle connexion entre les NDE qui impliquent habituellement une lumière blanche brillante, radiante et des changements dans l’électrosensibilité. Une NDE est considérée par beaucoup comme une expérience "spirituelle", l’électrosensibilité qui en ressort pourrait donc valider les expériences de nombreux sages et mystiques du monde qui pensent que la vie et l'esprit sont faits d'énergie. Ceci pourrait-il indiquer après tout que notre univers est fondé sur la physique de l'électricité ?
Citation :
"Depuis la plus infime particule jusqu'à la plus grande formation galactique, un réseau de circuits connecte et unifie tout dans la nature, organisant les galaxies, stimulant les étoiles, donnant naissance aux planètes et, sur notre propre monde, contrôlant le climat et animant les organismes biologiques. Il n'existe aucun îlot isolé dans un univers électrique". David Talbott et Wallace Thornhill, Thunderbolts of the Gods
SOURCE
Invité Invité
Sujet: Expériences de Mort Imminente (EMI) + «hors du corps» (OOB) Jeu 20 Nov 2014, 20:55
Citation :
* Des changements dans la personnalité, les personnes deviennent souvent plus aimantes, plus calmes et sans jugement ou sont conduites vers des changements majeurs de vie, comme un divorce, une séparation d'avec la famille et les amis ou un pouvoir d'attraction accru auprès des autres
* Une augmentation notable des capacités intuitives et médiumniques, une communication avec les esprits, les plantes et les animaux par exemple
* Un revirement pour le sens des priorités de la vie
* Un sentiment d'intemporalité et de non-dualité
* Une sensibilité à la lumière et au bruit
* Des changements d'attitude envers la santé, le bien-être et la spiritualité
Citation :
Traduction :
Citation :
Bonjour! Je voudrais poser une question rapide, je cherche des réponses sur la question de la « lumière au bout du tunnel » connu pendant ou après la mort du corps.
Citation :
Les informations et explications sur les Expériences de Mort Imminente (EMI) et les expériences « hors du corps » (OOB : ‘Out Of Body’ -OBE) et les autres phénomènes associés au Corps Astral ont été couverts en 2002, pendant l’atelier de « La Danse pour » (en particulier, la danse pour la liberté, en France).
Le Corps Astral est une partie de l'anatomie du Corps de Lumière. Depuis 2005/2006, nous avons progressivement étudié les nombreux autres aspects de notre anatomie personnelle : la matière noire du corps, le corps spirituel, le corps de plasma, etc. Nous avons également étudié la Lumière de Vie et la lumière morte, et l'importance de Son. « La lumière au bout du tunnel » est un phénomène du Corps de Lumière, (…). Dans les documents plus récents, nous avons découvert en détail les distorsions présentes dans le Corps de Lumière (y compris le corps astral). Voilà pourquoi nous sommes passés à l'activation d'autres parties de notre anatomie multidimensionnelle.
La Terre est maintenant la Terre Aurora [= la Terre de l’Aube], ce qui (…) provoque les difficultés de Corps Mental de D-3 à former et à utiliser le véhicule du Corps Astral de D-4. (…)
Le « tunnel sombre » que les gens rapportent dans les NDE est la perception du passage du Corps Mental à travers la densité-1 [= D1, D2 et D3] verrouillée (= une serrure ou sceau entre le corps mental et le corps astral ou 'avion'). La « lumière au bout du tunnel » est la perception de l’Archétype de plan d’Âme de la D-5 dans l'anatomie du Corps de Lumière (vous êtes à la recherche d’une partie de votre propre anatomie quand vous voyez la lumière).
Il est intéressant de se renseigner sur le Corps de Lumière, mais quand on vise l'expansion de la Conscience dans une perspective Kristique, il est recommandé de se concentrer sur le Corps de Plasma qui a été libéré en Janvier 2012 (…)
Citation :
Si je me souviens bien, la « lumière au bout du tunnel » est une traduction de la perception de passer de la 4ème dimension à la 5ème dimension.
Concrètement, les personnes qui vivent cela se verront « activer » le 5ème brin d’ADN donnant accès à la 5ème dimension (sur un Arbre à 12 dimensions).
Les transformations dont les témoignages, plus haut, font mentions sont les conséquences directes de ces changements énergétiques ou de fréquences car il y a passage à un « diapason supérieure ».
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Dim 01 Mar 2015, 17:52
Jocelin Morisson a écrit:
Je suis heureux de vous annoncer la parution cette semaine de mon livre "L’expérience de Mort Imminente – Une enquête aux frontières de l’après-vie", dans la collection Expériences Extraordinaires aux éditions de La Martinière. J’ai voulu présenter un état des connaissances sur ce phénomène à partir de témoignages peu connus, récents et anciens, pour montrer l’universalité qui se dégage de ces vécus. Je m’appuie également sur les dernières données scientifiques.
Jocelin Morisson est journaliste scientifique depuis plus de 20 ans et a collaboré à de nombreuses revues et magazines (Inexploré, Nexus, Le Monde des religions, Nouvelles Clés, La Vie, VSD hors série). Il est également auteur et coauteur de plusieurs ouvrages sur le thème des états modifiés de conscience et de la parapsychologie scientifique, dont Intuition et 6e sens (2013) et La Voyance (2014) aux éditions de La Martinière.
Stéphane Allix est le fondateur de l'INREES (Institut de recherche sur les expériences extraordinaires) et du magazine Inexploré. Il est également l'auteur et l'animateur de la série de documentaires "Enquêtes extraordinaires" sur M6. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Jeu 16 Avr 2015, 10:18
L'Expérience de mort imminente Jocelin Morisson interviewé par Orianne Faisandier Jeu 16 Avr 2015 20:50 - 22:50 SUR Salamandre TV [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je propose ces commentaires pour réflexions:
Bonjour Orianne et Jocelin: j ai une question à vous soumettre que je vais avoir un peu de mal à formuler par écrit: Une NDE/EMI , est elle comparable à une catharsis spontanée selon vous? Ce tunnel , dont on parle et dans les nde et dans la méthode du tunnel en catharsis ne sont t elle pas à mettre en rapport? Si dans ce tunnel (dans les deux cas) les portes sont des chakkras, est il possible alors qu' une nde ,soit un processus cathartique qui nous est imposé par nos corps à bout de souffle? Une réflexion aussi: tous les témoignages de NDE positive relève d' un retour à la VIE assisté médicalement avec pour donne commune des drogues médicales et chimiques en milieu hospitalier! L' expérience de NDE négative, bien que ce terme"NDE" ne me convienne plus aux vues de ce que j' énonce plus haut (étant un terme scientifique), a en ce qui me concerne été SPONTANEE et donc sans drogue médicale, ni psychotrope, ni alcool, avec un retour à la VIE CONSCIENT!
-Pensez vous qu' il soit juste de programmer sans le consentement de la personne son retour à la vie? -Comment expliquer la différence de la perception de ce que nous vivons dans cet état modifié de la conscience? merci de nous partager vos réflexions et témoignages!
Je ne suis pas assez loin dans les recherches , mais je vous propose aussi ceci en réflexion car le mot Daath me fût présenté :
Le mot Da’ath se traduit littéralement par « connaissance », mais il porte également le sens d’union et de relation, comme dans le verset « Adam connut sa femme Ève » ; וְהָאָדָם יָדַע אֶת־חַוָּה (Genèse, 4, 1). Ainsi, la Kabbale représente souvent Da’ath comme un principe de connaissance gnostique – une connaissance expérimentale et empirique plutôt qu’épistémologique – une union du sujet et de l’objet… Ne dit-on pas qu’expérimenter Dieu, c’est connaître Dieu ? Da’ath est le nœud entre l’intellect pur et les émotions.
Des trois « cerveaux » de l’intellect, Da’ath constitue la partie subjective, la capacité de l’esprit à appliquer une compréhension abstraite aux événements matériels de la vie.
La Kabbale explique ainsi que Da’ath est le point d’union entre la Sagesse (Hokhmah) et l’Intelligence (Binah), non émanée, comme les autres Sephiroth, elle agit comme un principe unifiant et liant pour l’Arbre en son ensemble. Là où les autres Sephiroth sont perçues comme des « récipients » de la Lumière, Da’ath est l’approximation la plus proche de ce que serait cette Lumière : « Da’ath est la Lumière de Hokhmah » (Zohar).......Au sujet de Da’ath, Gareth Knight écrit :
« Les Abysses sont le vide entre la force et la forme ; et le lieu où la transmutation advient est la Sephirah occulte Da’ath – qui signifie Connaissance. ....Dans la continuité du courant de la magick contemporaine, peu s’amusent à se frotter à Da’ath, et encore moins sur le scène occulte francophone. Cependant, Frater kAzim s’y est essayé et nous a ainsi offert un excellent travail décrit dans son texte « L’Abysse et les Psychotropes » qui est, je pense, à la base de son système personnel « Aloha » :
« Lorsque l’on entreprend de passer outre l’expérience de la noirceur et de l’éclatement de Daath il est capital de pouvoir rassembler en soi toute Sa Lumière afin de triompher du démon Chorozon. Pour cela un ensemble de gestes et de visualisations sont donc au préalable possibles en mettant en scène la géométrie sacrée et la prononciation d’une clé kabbalistique. La première partie de ce travail expliquera donc la construction d’un vaisseau énergétique, et la seconde le chargement de ce véhicule spatio-abyssale par le mot de pouvoir Aloha, tout ceci dans le but de franchir Daath grâce à l’invocation du Saint ange Gardien. »
Quant à nous, il se peut bien que nous ayons échoué à traverser nos propres illusions, la moindre n’étant pas la prétention de décrire l’étendue symbolique et kabbalistique de Da’ath en quelques pages.(Spartakus FreeMann, février 2011 e.v. ) Dans Spiritualité de la Kabbale, Virya écrit à son sujet :
« Da’ath est la science, le savoir ou plus exactement la Gnose de Dieu, elle est l’équilibre entre la Sagesse et l’Intelligence, entre l’intuition et la cogitation.
Dans l’homme Daath se place entre les deux hémisphères du cerveau, c’est pour cela que dans la Bible il est écrit : « Et c’est pourquoi je demande à ceux qui recherchent l’Éternel qu’ils contemplent et méditent, et qu’ils l’aient comme un souvenir entre leurs yeux ».
Dans la conscience humaine Daath est l’acquisition définitive d’une nouvelle richesse de l’être qui servira à mieux s’attacher et se diriger vers la vraie source de Sagesse, la Hockmah Ilaah (Sagesse suprême)...... Dion Fortune ne nous dit pas autre chose, lorsqu’elle écrit :
« Daath, la mystérieuse, l’invisible Séphire, qui n’est jamais marquée sur l’Arbre, est associée, dans le système occidental, avec la base du cou, le point où l’épine dorsale rencontre le crâne, celui où le développement du cerveau eut lieu chez nos premiers ancêtres. Daath est ordinairement considérée comme représentant la conscience d’une autre dimension ou celle d’un autre niveau ou plan ; elle évoque essentiellement l’idée d’un changement de clef » (La Cabale Mystique). … La Connaissance de Daäth , ou de la Mort [1], relève de la nature du secret de la Dualité représentée par l’ombre ou le double magique par lequel l’homme vainc la mort et pénètre par la Porte de Daäth afin d’explorer le Royaume de Choronzon, le Désert de Set » (Nightside of Eden, page 8). « Daäth… parfois appelée « fausse sephirah »… est la porte de sortie vers les espaces extérieurs au-delà, ou derrière, l’Arbre lui-même » (cité par Frater M.E.D., Sword of Horus, p. 166).
enfin , pour ceux que cela intéressent, j 'ai ouvert un post sur Daath qui n 'est pas selon moi, sans rapport avec les NDE-EMI :
En Yesod se trouve Gabriel, l’ultime vecteur de la Grâce divine, le messager, le dispensateur de la Connaissance (Yesod correspond à Daath, et Daath, porte de l’Ineffable, est aussi appelée la Connaissance cachée). Gabriel est aussi psychopompe, c’est-à-dire qu’il accueille et dirige les Ames de ceux qui, par décès ou par “méditation”, pénètrent dans les mondes supérieurs. Pour information, Gabriel est l’Hermès de la mythologie grecque, Hermès Trismégiste, Trois fois Maître (initiateur, vecteur de la Connaissance), en vertu des trois pilliers de l’Arbre. Le terme hermétique vient de là et désigne la Connaissance cachée ne pouvant être révélée qu’au moment approprié et aux Hommes prêts à la recevoir....
A noter aussi les liens entre Thyroïde, Pinéale, Etmoide, Chaine Tryptophane etc...: concernant les associations de Daath dans le système typhonien, Frater M.E.D, dans Sword of Horus, cite Grant : « La glande thyroïde, dans la région du larynx, correspond au Visudha Chakra (qui est attribuée à Daäth). Cette glande, lorsqu’elle s’active, augmente la sensitivité et rend l’individu hypersensible aux sensations physiques, astrales et mentales. Si cette glande est surstimulée, il y a danger de mégalomanie ».
Voir aussi la page de Karen Le Drian sur la Glande Pinéale et la chimie de la conscience qui m a beaucoup apporté dans mes recherches : « L’objectif central d’Intégration II – Le mystère de la glande pinéale –
La Chimie de la Conscience consiste à se concentrer globalement sur le rôle essentiel, et majoritairement occulté par la médecine et ses spécialités, joué par l’antenne principale de la conscience primordiale humaine : la glande pinéale. Cet ouvrage dévoile à la fois les compréhensions actuelles la concernant, mais aussi celles, plus méconnues, relatives à ses divers dérivés de synthèse endogènes et à ses mécanismes biochimiques complexes, dont résulte une réaction métabolique : la chaine tryptophane, synthétisée grâce à la molécule de la conscience, la sérotonine, et à son précurseur, la tryptamine. Ainsi contre toute attente, l’épiphyse représente littéralement une mini-usine à composés hautement psychoactifs, dont la réactivation permet de tendre vers le seul éveil spirituel véritablement authentique : l’éveil paradoxal ou le quatrième état. ici
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Jeu 26 Mai 2016, 09:22
Philippe Solal 23 mai 2016 a écrit:
LES OVNIS ET LES EXPÉRIENCES DE MORT IMMINENTE
Pour bien comprendre le sens et la portée de l’article qui suit, il faut d’abord réécouter les dix premières minutes du témoignage de la NDE du jeune homme qui se trouve plus bas.
Dans ce témoignage, l’experienceur raconte que lorsqu’il a quitté son corps, au moment de sa NDE, il pouvait suivre l’infirmière qui s’occupait de lui, suivre son parcours le long du couloir, en traversant les murs, naviguer à son gré par la seule conscience, en traversant et longeant les faux plafonds, aller en avant et en arrière ou de haut en bas sans que ce mouvement de sa conscience ne butte contre la moindre résistance.
A 7’26, il dit avoir été aspiré par un tube ou un tunnel, et connaître ce moment où, avant de voir une petite tache de lumière qui va ensuite s’agrandir, la conscience semble transiter à grande vitesse sans subir les effets que nous connaissons dans le monde physique lorsque nous subissons une brusque et puissante accélération.
Tout ce qui dit ce témoin correspond à ce que l’on rapporte du déplacement des OVNIS dans nos espaces matériels. Les témoins décrivent des OVNIS qui peuvent aller en avant ou en arrière, monter ou descendre au milieu des nuages sans respecter aucune des lois du mouvement physique : aucun effet de la force centrifuge, des virages à angle droit incroyables, des circonvolutions absolument multidirectionnelles, des accélérations fulgurantes suivies de brusque arrêt sur place absolument impensables pour nous. Les mouvements des OVNIS sont les MÊMES que les mouvements que la conscience des experienceurs de NDE fait lorsque celle-ci sort du corps physique. De la même manière, les OVNI ont déjà été vus traversant des montagnes ou entrer dans des lacs sans en éprouver la résistance et s’évaporer ensuite comme par magie, exactement comme le moi désincarné traverse les murs de la chambre d’hôpital où se trouve son corps physique.
Cette similitude si frappante permet de penser que si le mouvement des OVNIS et celui de la conscience sortie hors du corps sont les mêmes, c’est parce que l’OVNI EST une conscience qui se déplace. Mais pour pouvoir se déplacer dans notre monde physique tout en étant vue par les humains incarnés, cette conscience doit revêtir un « habit » qu’elle puise dans le propre matériel psychique du ou des témoins. La conscience désincarnée va alors chercher dans les images mentales du témoin (images-souvenirs) celle qui lui permettra d’apparaître, de se manifester visuellement dans le monde physique.
En fonction des périodes, elle choisira une image-souvenir issue de la SF, de la publicité ou d’un roman, etc, que le témoin a emmagasiné dans sa propre mémoire. Parfois, ce sont des images issues du tréfonds de l’inconscient du témoin qui sont utilisées, images souvent cauchemardesques. Cette conscience qui s’habille et qui ensuite se déplace en se jouant des lois du mouvement physique, c’est la conscience d’un défunt, celle d’une âme désincarnée.
La conscience du moi incarné est le canal et il offre (à son insu) le support visuel de la manifestation. Le Soi ou toute autre âme du monde transcendant (puisque les âmes, dans ce monde là, ne sont pas individuées) est la source de ce qui se manifeste, l’agent véritable. Mais si ce processus est possible c’est parce qu’en réalité aussi bien le monde physique (celui du moi) que le monde transcendant (celui du Soi ou des autres âmes) est uniquement un univers mental. La seule différence entre les deux mondes est une question de densité d’information et d’ouverture du champ de conscience.
Le monde physique possède, en effet, une densité d’information forte, qui le manifeste comme « matière » aux yeux du moi incarné. Son paramétrage mathématique en fait un monde de résistance et de contraintes (les lois de la physique). Le champ de la conscience est extrêmement réduit et toute information passe par le filtre des 5 sens, selon un ordre séquentiel et partiel (perception de l’espace et du temps). Dans le monde de la transcendance, au contraire, le champ de conscience est grand ouvert.
Les experiencers de NDE disent qu’ils peuvent voir un objet par toutes ses faces simultanément (en haut, en bas, devant, derrière, etc.). Plus encore : ils revoient tous les instants de leur vie, seconde après seconde, en une seule et même vision panoramique. 50 ans d’existence donnés d’un coup ! Cette expérience de la conscience que nous ne pouvons pas imaginer, en tant que moi conscient, nous fait comprendre rétrospectivement combien le corps est une prison, une « cage » où le Réel nous est voilé, où il est amoindri, réduit dans la perception consciente.
Mais il y a plus : la sortie du corps de la conscience marque le retour vers la lumière c’est-à-dire vers le Royaume. Matière et lumière s’opposent alors comme s’opposent la pesanteur et la grâce, l’expérience de la contrainte et celle de la liberté, la dualité par rapport à la non-séparation. L’entrée dans le tunnel, marque, pour la conscience, le retour dans le monde de la lumière où, véritablement, tout n’est QUE lumière.
L’experienceur est accueilli par sa part de lumière (son Ange, son Soi, son âme éternelle) qui connait tout de lui. Désormais, le moi désincarné peut choisir l’apparence qu’il aura, en puisant là aussi dans les images qui composent les souvenirs de lui-même, par exemple l’apparence physique qu’il avait dans sa jeunesse. Ce corps éthérique est ce que les religions appellent « le corps glorieux », un corps visible, immatériel et éblouissant de lumière. C’est cela la suprême liberté : pouvoir se déplacer comme on veut, où l’on veut dans le monde physique comme dans le monde numinal en s’habillant de l’apparence que l’on veut, au gré de nos pensées et de nos souvenirs.
C’est là aussi la manière dont les OVNIS se forment. De même que le moi désincarné choisit son apparence éthérique dans les images mentales emmagasinées durant sa vie terrestre, de même il choisit la forme sous laquelle il apparaitra en puisant dans les images mentales des témoins, en choisissant par exemple telle image de vaisseau spatial ou d’extraterrestre. Le psychique (domaine du moi) nourrit ainsi le spirituel (domaine du Soi) en image-support de manifestation.
Tout le processus que je viens de décrire est celui que nous raconte les experiencers de NDE. Il n’est pas issu de ma fantaisie et montre que la problématique OVNI et celle des NDE sont intimement liées, un lien de cause à effet entre les deux facettes de notre être : notre part de matière et celle de lumière.
L’âme n’a plus la possibilité, en principe, d’agir sur la matière puisqu’elle n’en éprouve plus la résistance, sauf lorsqu’elle décide de tomber au niveau de la densité du moi. De quelle manière parvient-elle à retrouver (pour une durée souvent très brève) cette densité ? Je l’ignore. Mais lorsqu’elle y parvient, la forme-pensée qu’elle produit se matérialise, peut se faire prendre en photo, laisser des traces au sol et être accrochée par un radar.
Lorsque la conscience désincarnée reste à l’état éthérique, elle échappe totalement à la matérialité. Elle peut apparaître alors comme une entité qui flotte sur le sol au lieu de marcher sur lui, sans être assujettie aux lois de la pesanteur. Elle pourrait marcher sur l’eau ou sur le dôme des églises, comme on l’a vu faire pour certaines apparitions mariales en Egypte. Grâce à ce jeu sur la densité, l’âme possède une matérialité intermittente, souvent très brève. Lorsqu’elle se manifeste comme une pure lumière (sphère ou orbe), elle n’a pas d’habillage archétypal. Elle se manifeste sans forme, comme pure lumière.
Ce jeu des densités explique à mon sens pourquoi une âme qui a quitté son corps (et les organes de perception qui lui sont liés) peut continuer à voir de la lumière, à entendre de la musique, à sentir des parfums etc., alors qu’elle n’a plus d’organe corporels des sens, et cela même pour un moi qui, durant son incarnation, était aveugle ou sourd de naissance. La réponse est fascinante : c’est parce que tout l’univers est mental, tout est psychique, aussi bien dans le monde densifié de la matière que celui de la lumière. Nous n’avons pas besoin des sens pour percevoir, nous avons besoin de recevoir de l’information, substrat fondamental de tout ce qui nous apparaîtra ensuite sous l’aspect « matière ».
Les sens corporels ne nous font pas accéder au Réel : leur vraie fonction est d’en RÉDUIRE l’accès, de nous en fournir une petite partie, car toute perception est en réalité nouménale : elle se fait dans un esprit, entre esprits, avec l’esprit, par et pour l’esprit.
Philippe Solal 25 mai 2016 a écrit:
OVNIS ET ÉCHELLES DE DENSITÉ DE LA MATIÈRE
J'ai conscience que l'approche qui est la mienne ouvre un dialogue avec la métaphysique et la théologie, et exclut tout dialogue avec la physique. En spiritualisant à ce point les rapports matériels (et la nature du phénomène OVNI), les manifestations apparaissent alors comme de la magie en lieu et place de la technologie. Tout se passe comme si la technologie (la nôtre, humaine, qui se soumet aux lois de la physique) n'était qu'un succédané, une imitation de la magie qui se joue des lois de la physique en travaillant sur l'esprit.
C'est aller un peu vite en besogne, et, qu'il me pardonne d'en faire état ici, c'est ce que m'a rappelé avec justesse Philippe Guillemant hier au téléphone. Si on peut identifier des contraintes physiques dans ce que les témoins nous décrivent du comportement des OVNIS, alors on ne peut pas rayer d'un trait de plume la composante physique pour une spiritualisation à tout crin. Or des contraintes physiques il y en a au moins UNE et ce fil il faut le tirer. Attention: je ne parle pas seulement ici des effets physiques (effets de l'OVNI sur l'environnement et les témoins), je parle de contraintes physiques liées au déplacement de l'OVNI, quelque chose qui l'oblige à prendre en compte les lois de notre densité matérielle.
Je reprend ma question: ces contraintes existent-elles ? Ont-elles été repérées ? La réponse est oui au moins pour un cas : la descente en mouvement de chute en feuille morte si caractéristique de certaines observations. Philipe Guillemant me dit qu'elle correspond à une contrainte physique et je n'ai aucun problème à l'admettre, ce qui signifie que dans certains cas la manifestation est bien soumise aux lois de notre physique même si elle peut ensuite s'en émanciper. Ce point à une importance considérable et je vais essayer de l'expliciter ici.
Dans un post précédent, j'ai essayé de mettre l'accent sur la similitude entre les mouvements de la conscience décorporée dans les cas de NDE qui nous sont rapportés par les témoins, et ceux décrits dans les observations d'OVNI. Ce rapprochement est capital : les OVNIS adoptent des mouvements qui sont aussi libres que ceux de la conscience dans son périple lors d'une NDE : omnidirectionnalité, absence de contraintes liées à la force centrifuge, à la décélération, à l'accélération, etc. Et c'est assez "logique" puisque l'âme ne se meut plus alors dans notre densité physique.
Comment alors concilier ce fait avec les contraintes physiques dont je viens de parler (chute en mouvement de feuille morte) que l'on constate dans certaines observations d'OVNI ? Cela parait contradictoire, sauf...si l'on admet qu'il existe deux modes de manifestation, deux modes d'insertion des OVNIS dans notre densité matérielle. Un cas, célèbre entre tous, permet d'illustrer cette solution possible, cas que j'ai déjà précédemment évoqué : le cas de Fatima.
Fatima semble présenter, en même temps, ces deux modes d'insertion. Les 3 bergers (et eux seuls) voient la Vierge lumineuse. Leur vision est du même type que celle des experiencers de NDE. Elle passe uniquement par l'esprit, d’esprit à esprit (puisque les experiencers de NDE n'ont plus d'organe des sens). Il s'agit d'une connexion spirituelle au sens fort du terme, "spirituelle" signifiant ici: "par l'esprit".
Mais le reste de la foule, les milliers de personnes assemblées autour des bergers et qui ont vu la "danse du soleil", ne bénéficient pas de cette connexion. C'est bien par leurs sens qu'ils ont vu un disque argenté tourner sur lui-même, s'approcher et reculer d'eux, émettre des lumières irisées, et sécher totalement leur vêtement (il venait de pleuvoir) en un rien de temps. Pour la description précise de cette observation, j'ai repris celles qui furent données dans la presse à l'époque et à laquelle on pourra se reporter. Le disque argenté (c'est l'expression utilisé par un témoin) a subi des contraintes physiques et a eu un impact physique sur l'environnement (séchage des vêtements). Autrement dit, il s'est bien matérialisé dans notre densité physique, le temps de sa manifestation. Ce n'est pas ici une pure connexion esprit à esprit mais une matérialisation qui sollicite les sens des témoins. Cela complique du même coup l'étude de ce phénomène tout en nous donnant de nouvelles clefs.
Ainsi, en fonction des cas, le phénomène peut : - soit ne pas se densifier physiquement, tout en se manifestant dans la conscience des témoins. Dans ce cas, il se joue totalement des lois de la physique puisqu'il n'en est pas tributaire (il n'est pas "densifié"). Dans ces cas, ce qui se manifeste peut être par exemple une entité qui glisse sur le sol sans toucher terre, qui peut traverser les murs ou les montagnes etc. On pourrait dire que la manifestation est "éthérique".
-soit se densifier, devenir matérielle et obéir aux lois de la physique qui deviendraient pour l'OVNI (au moins de manière intermittente) un système de contrainte. C'est ce qui s'est passé avec le disque argenté de Fatima, et c'est ce qui se passe pour tous les OVNIS qui peuvent laisser des traces au sol ou être accrochés par un radar.
La source du phénomène peut donc jouer sur des NIVEAUX de densification : du plus éthérique au plus matériel. Ce constat dissipe bien des obscurités et permet de rendre compte d'une complexité jusque là inextricable. Toutes les observations ne se situent pas à la même échelle de densification.
Maintenant la question se pose: avons-nous affaire à des extra-terrestres qui, ayant maîtrisé la densification de la matière, se font passer pour des figures de la foi ? Ou avons-nous affaire à des âmes transcendantes qui se font passer pour des extraterrestres ? Question cruciale, question à un million de dollars. Jusqu'à une époque récente, la réponse que je proposais était celle qui privilégiait la source exobiologique (extra-terrestre). Oui mais voilà : il y a le récit des experiencers de NDE qui constitue un matériau d'analyse nouveau à notre disposition, toujours plus riche depuis l'explosion de ces témoignages. Le récit des NDE rattache la source à notre âme, dont on sait qu'elle est partie prenante dans ce qui se manifeste puisqu'elle fournit les images mentales de ce qui va apparaître, dans la forme où cela apparait.
Si notre âme est le canal, si de l'information circule entre le moi et le Soi, si le Soi est en contact avec le plan qui est celui auquel accède les experiencers de NDE (plan de toutes les âmes), alors c'est bien la seconde solution qui est la bonne. L'origine de ce phénomène, qui peut jouer avec sa propre densification N'EST pas exobiologique mais transcendante. L'adjectif "transcendant" ne désigne pas un autre univers matériel et physique mais un au-delà de l'univers auquel nous sommes dès la naissance RATTACHES par notre propre esprit (le moi) qui en constitue la pointe incarnée.
C'est parce qu'il existe cette filiation entre le moi et le Soi que la solution est de nature transcendante et non pas exobiologique. Sans cette filiation, la logique voudrait qu'on conjecture que l'origine du phénomène se trouve chez les habitants d'une autre planète, chez d'autres entités exobiologiques qui nous visitent grâce à leur maitrise de la densification dans la matière. Mais il y a cette filiation, ce lien, attesté par le fait que le phénomène utilise les lois d'expression de notre inconscient dans les RR3 et RR4 (sa grammaire), et qu'il connait absolument tout de nous-même et de nos moindres pensées.
Cette filiation, cette intimité, cette proximité, cohérente avec le récit des experiencers de NDE après leur décorporation démontre pour moi que l'origine du phénomène est à chercher dans un ordre de réalité qui nous transcende et auquel nous appartenons sans le savoir, dès la naissance. Ce savoir nous sera acquis après notre décorporation, c'est-à-dire au moment de notre mort terrestre.
PS : Jouer sur les niveaux de densité de la matière, se mouvoir par la seule pensée, utiliser nos propres images mentales pour se manifester, passer par le canal de notre propre conscience, utiliser la grammaire absurde de l'inconscient (expression par symboles et rébus) dans ses scénarios de rencontres rapprochées et tout cela dans un Réel qui est purement mental (idéalisme) ! Ce n'est pas un coffre fort que le phénomène OVNI nous demandait de percer, c'est une citadelle quasi imprenable !
AMBRE
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Dim 29 Mai 2016, 09:35
Philippe Solal 28 mai 2016 a écrit:
LE CERVEAU COSMIQUE
L'exercice auquel je vais me livrer ici concerne la nouvelle vision du Réel à laquelle mes recherches me conduisent. L'exercice est périlleux, sauf si on garde en mémoire qu'il s'agit ici d'une "vue d'artiste" comme on dit, c'est-à-dire d'une représentation analogique, et elle ne peut être que telle puisqu'il s'agit de se figurer l'Invisible.
La représentation à laquelle je suis arrivé ressemble fort à l'image d'un cerveau (si l'on se place dans une analogie naturelle) ou à celle d'un circuit informatique (si l'on se situe dans le registre technologique) :
1. Le Réel est Esprit ce qui signifie que tout ce qui en manifeste la vie est lié à des processus mentaux. L'Esprit est unité, et ce caractère invite à le nommer l’Un. Mais de cette Unité émane des foyers de conscience qui, sur l'image présentée ici, sont connectés étroitement entre eux et avec L’Unité-Source. Ces foyers de conscience sont les âmes éternelles que la tradition orientale nomme les Soi. Les âmes, étant directement connectées à l'Amour divin, possèdent la Connaissance totale et sont à un degré d'unité élevé. Elles vivent dans un plan d'existence qui est celui de la lumière, laquelle est manifestation directe de l’Esprit.
2. Les « moi » sont une émanation des Soi, leur partie incarnée dans la matière. La Relation du moi au Soi est fondée sur l'Oubli par le moi de sa connexion au Soi, et par là, de son lien avec l’Un. Ce voile d’oubli occulte toutes les Connaissances dont le Soi a accès par sa connexion avec l'Un.
3. Le plan d’existence du moi est la matière, qui se définit par un niveau d’organisation et de densité de l’information spécifique. Le monde de la matière est inversé par rapport au monde de la lumière, comme le sont un objet et son image dans un miroir. De ce fait, le monde matériel est l’image inversée du monde numineux, et leur relation est en miroir.
4. Cette inversion peut se détailler comme suit : - Le monde matériel est mû par l’intérêt, la volonté de puissance et l’illusion de l’ego. Les phénomènes se donnent à voir comme objectifs et régis par le mécanisme de la matière (règne du hasard). Aussi bien vis-à-vis des choses que des autres consciences, le moi est placé dans l’illusion de la séparation, de celle du temps et de l’espace, qui en réalité n’existent pas.
- Le plan de la lumière est mû, inversement, par l’Amour inconditionnel, la non-séparabilité, l’absence d’espace et de temps, la liberté créatrice de l’âme.
5. Le Soi envoie de l’information au moi par divers moyens : - Par l’entremise des rêves que fait le moi - Par l’entremise de la conscience d’un médium - Par contact "télépathique" direct avec le moi - En se densifiant et en se manifestant à partir des propres images mentales du moi qui jouent alors le rôle de signifiant (fantôme, spectre, Djinns, OVNI, pseudo-extraterrestre, cryptide, Dame blanche, etc.)
6. La vie de l'Esprit se compose ainsi de strates d'informations qui forment des niveaux de densité ou plans de réalité différents. Ce qui circule entre ces plans est uniquement de l’information, comme à l’intérieur d’un vaste réseau neuronal ou informatique.
7. L'échange d'informations qui circule entre tous les Soi forme le plan de la lumière, plan totalement spirituel. L'échange d'informations qui circule entre l'ensemble des Soi vers l'ensemble des moi forme le monde matériel qui est pensé collectivement par nos âmes. Le monde terrestre est ainsi le rêve collectif de nos âmes éternelles, sous l’inspiration de l’Un.
8. Le principe de la vie, dans ce cadre, n’est pas la cellule mais l’esprit. La cellule n’est qu’un principe illusoire, celui de l’illusion matérialiste. L’Esprit est vivant parce qu’il est en interaction spirituelle constante avec le plan des Soi et celui des moi. Ses interactions utilisent des figures archétypales, la figure de la mère (la Vierge) ou du Fils (Jésus) ou des anges (le Soi) pour se manifester dans le registre non exclusif des figures de la foi chrétienne.
9. Le Soi (et à travers lui toutes les âmes du plan de lumière) interagit spirituellement avec le moi, mais le moi peut aussi remonter à la source de son être, par divers moyens : - La méditation et la reconnexion avec la guidance du Soi, via en particulier l’ordre symbolique des synchronicités - Les états modifiés de conscience pratiqués par le chamanisme et les écoles des mystères de l’Antiquité où le moi peut se connecter avec les âmes désincarnées autres que son propre Soi (les âmes des défunts). - La médiumnité, privilège de ceux chez qui le canal de la conscience a été ouvert pour pouvoir recevoir de manière constante les informations du Soi et du monde des âmes (clairvoyance, clair-audience etc) - La pureté d’une pratique spirituelle dont la perfection morale met le moi en osmose avec la perfection d’amour du plan de la lumière. Dans ce cas, l’inversion produite par la relation en miroir entre les deux plans disparait, puisque le moi expérimente alors dans le monde de la matière ce qui est la vie du monde de la lumière. Cette osmose met le moi dans un état qualifié d’état de sainteté.
10. Le plan de la matière permet à l’âme de faire l’expérience de l’individualité. Son moi incarné est dans une condition d’apprentissage, celui de l’Amour inconditionnel. La vie terrestre est ainsi, par essence, une épreuve. Le moi qui s’est désincarné n’est plus dans l’apprentissage mais dans l’expérience effective de l’Amour, lorsqu’il accède au plan de lumière.
11. Le phénomène d’expérience de mort imminente (EMI ou NDE) est l’expérience anticipée et partielle par le moi, de son passage d’un plan d’existence à l’autre.
12. Le « tunnel » que parcours l’experiencer est le cordon symbolique qui le relie à la Source dont il émane et dont il constitue la pointe oublieuse : son âme. En réinvestissant toutes les connaissances qu’il avait jusque là oubliées, le moi se réarticule au Soi et atteint un niveau d’unification supérieur.
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Mer 08 Juin 2016, 09:32
Philippe Solal 8 Juin 2016 a écrit:
Sur le lien entre le moi et l'âme lors d'une NDE J’ai revu hier l’intégralité du témoignage de Marie de Solemne. La vidéo est longue mais très instructive (voir post ci-dessus). Je pense que quand l’experienceur ressent qu’il possède toutes les connaissances, son âme (c'est l'entité qui l’accueille) le connecte directement à elle, comme un neurone mineur se connecterait à un neurone majeur (principal). L’âme a emmagasiné toutes les connaissances acquises depuis le début des temps car elle était en prise avec toutes les autres âmes et donc tous les autres "moi" qui ont existé sur Terre. Il faut donc là vraiment penser les choses en “réseau”, selon l'imagerie de connexions en réseau. Cette connexion est brève et dès que l’âme déconnecte son propre moi d’elle-même, ce dernier oublie instantanément ce qu’il avait perçu d’un seul coup. Ce processus est fantastique. Cela signifie que l’âme sait tout: elle est comme le “livre vivant” où toute l’information sur tout ce qui s’est passé depuis que le monde est monde, a été consignée. Elle est la Mémoire du Réel. Cela correspond aussi assez bien à ce que dit Dolorès Cannon sur ce qu'elle appelle le "Super-Conscient" ou "Super-ego". Ici, il est utile de se représenter le rapport du "moi" au Soi en utilisant des analogies fondées sur le rapport du moi au corps : Le Soi est au moi, comme le moi est à sa propre main corporelle. La main est le prolongement du moi conscient. De même, le moi conscient est le prolongement du Soi et sa pointe oublieuse. Il est comme son stylet ou son stylo puisqu'il écrit la vie du Soi dans une histoire individuelle (l’existence du moi). Nous sommes tous, en tant que "moi", reliés par nos âmes respectives. C’est à ce niveau là que nous sommes reliés, intriqués, car les âmes ne forment qu’un seul tissu conjonctif, une “âme collective” peuplée de pensées individuelles. Le monde des âmes transcende l’opposition de l’individuel et du collectif: il est l’un et l’autre à la fois. PS: la description de ce processus nous rapproche de plus en plus du fonctionnement de l'Esprit (seule Réalité) sur le mode d'un gigantesque Cerveau Cosmique.
Citation :
Sur le lien entre le moi et l'âme lors d'une NDE (II) La phase de “connaissance totale” des expérienceurs (que Socrate évoquait déjà dans Le Phédon !) montre que le moi se connecte à l’âme qui possède toutes les connaissances. L'âme possède toutes les connaissances car elle est elle-même connectée à toutes les autres âmes et donc (par leur truchement) à toutes les pensées des "moi" ayant déjà vécus sur Terre. Le moi n'étant que la pointe incarnée d'une âme. Il n’y a pas, d’après ce modèle, la pensée d’un seul homme ayant existé qui ne lui soit pas parvenue, qu’elle n’aie pas enregistrée dans sa mémoire. Elle est comme un disque dur renfermant toutes les connaissances de l'univers. C'est exactement ce que disent percevoir les sujets ayant fait une NDE. Or comment s’appelle un fonctionnement où une partie (un “Soi”) possède la même quantité d’informations que tous les Soi (toutes les âmes) ? Cela s’appelle...un fonctionnement HOLOGRAPHIQUE Or nous savons que notre cerveau matériel est structuré de manière holographique (Bohm, Pribram). Cela tend à montrer une nouvelle fois que l’Esprit, seul réel, possède au niveau des échanges d’informations qui se déroulent en son sein un fonctionnement qui est similaire à celui de notre cerveau. Mais ne nous y trompons pas : c’est le cerveau matériel qui est à l’image du fonctionnement de l'Esprit et pas l’inverse ! Une nouvelle fois, les deux plans (spirituels et matériels) sont mis en miroir l'un de l'autre. L'un (la matière, le cerveau) est le reflet de l'autre (l'Esprit et les âmes)
Citation :
Sur la notion de médiumnité Lorsque les âmes qui composent le monde des esprits veulent communiquer avec le monde du moi incarné, elles utilisent généralement la voix d'un médium, car les âmes n'ont plus la parole (qui est l'apanage et le privilège de l'homme) mais possèdent seulement l'exercice de la pensée. Grâce au medium, les âmes communiquent avec le moi incarné sans entrer dans l'ordre de la manifestation, sans entrer dans le champ du visible. Mais il existe un autre moyen pour elles de communiquer avec le moi, en passant cette fois-ci par la manifestation phénoménale. A cet effet les âmes utilisent des images mentales qui appartiennent au psychisme de ceux qui vont voir l'apparition. Toute la sémiologie OVNI (vaisseaux et occupants compris) vient de là, provient de cet emprunt. Et dans ce cas, c'est le témoin LUI-MÊME qui joue le rôle de médium, mais totalement à son insu, car c'est grâce au canal de ses propres souvenirs, de son propre fond d'image psychique, que la manifestation peut se produire et être perçue.
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Sujet: Re: NDE, DEFINITIONS DE LA MORT , l Euthanasie...:Témoignages Ven 30 Sep 2016, 16:02
Je souhaite partager avec vous un film documentaire exceptionnel intitulé "En Conscience" Un documentaire d’Anthony Chene
Ce film est une réussite sur au moins trois plans :
. La beauté des images et des paysages. . La qualité des intervenants. . La profondeur et les implications des témoignages et des analyses qu’il contient.
« En Conscience » nous propose une réflexion sur cinq thèmes fondamentaux :
.1) La conscience n’est pas matérielle. Elle n’est pas le produit de l’activité électrochimique du cerveau. Elle n’est pas de ce monde. Sa vraie « patrie » est hors de la matière.
.2) Cela implique que la mort n’existe pas. Seul le corps cesse de vivre, mais la conscience change de monde à la fin de notre passage sur terre. Elle aborde une autre vie avec d’autres objectifs à réaliser.
.3) Nous sommes venus sur la Terre pour apprendre et évoluer spirituellement. C’est la seule raison pour laquelle nous sommes incarnés dans un corps physique qui représente une limitation pour la conscience. Le monde matériel nous donne l’occasion unique d’expérimenter des situations complexes qui se déroulent comme « au ralenti » (lourdeur de la matière) afin que nous comprenions les enchaînement (causes et effets) qui relient nos actions et les effets de ces actions sur les autres et notre environnements. La Terre est une école.
.4) Le monde est en train de changer. Une ouverture s’opère dans les consciences au niveau planétaire. Les nouveaux paradigmes scientifiques vont intégrer la dimension spirituelle de l’être humain. Nous abordons une nouvelle phase de l’évolution de l’Humanité.
.5) Malgré les difficultés et les épreuves liées à notre incarnation dans un corps physique, l’univers dans lequel nous évoluons avec ce corps est riche de potentialités insoupçonnées. Il est beau et fascinant. Notre corps est l’instrument qui permet de saisir la beauté de la Terre.
Ce film - qui provoque une sorte d’éveil de notre conscience - offre l’occasion (rare de nos jours) de comprendre les vrais enjeux de la condition humaine. Il permet aussi de situer cette condition dans un ensemble plus vaste ou tout est vie et conscience. Il transforme notre façon d’appréhender l’Univers et la place que nous y occupons.
Daniel Robin du collectif Vertical-Project.
Synopsis :
Depuis la nuit des temps, des individus ont vécu des expériences de mort imminente, des phénomènes d’expansion de conscience, ou encore des sorties hors du corps. Nous sommes allés à la rencontre de quelques-unes de ces personnes qui ont accepté de témoigner : qu’ont-elles vécu ? Qu’ont-elles vu ? En quoi ces expériences étaient bien différentes de simples rêves ou d’hallucinations ? Nous avons également interrogé des psychiatres, des psychologues en milieu hospitalier, et d’autres spécialistes pour tenter de percer la réalité de ces phénomènes. Que disent ces expériences sur notre conscience et sur la structure de la réalité ? Comment prendre conscience de la véritable nature de notre être ? Un documentaire d’Anthony Chene.
Intervenants :
- Olivier Chambon (Docteur psychiatre). - Jean-Jacques Charbonier (Médecin anesthésiste-réanimateur). - Sylvie Déthiollaz (Docteur en biologie moléculaire, directrice de l’ISSNOE). - Eric Dudoit (Docteur en psychologie et psycho-pathologie). - Marc Boucher de Lignon, Nicole Dron, Philippe Raboud (témoins d’expériences de mort imminente). - Akhena, Claude, Tara (témoins d’états modifiés de conscience).
VERTICAL PROJECT "Soyez acteur du changement que vous voulez voir dans le monde" Gandhi
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Sujet: Au-delà de l'impossible Sam 28 Jan 2017, 19:29
Philippe Guillemant JANVIER 2017 a écrit:
Les informations en question du dit Tesla, via mes post-marques à la lecture du livre "Au-delà de l'impossible" de Didier Van Cauwelaert. p 114: L'information quantique est votre conscience p 114: elle peut résider dans des corps qui résident dans des univers parallèles p 114: La conscience est plus proche de la musique que du calcul p 117: L'espace-temps dans son ensemble est dynamique p 119: Le big-bang est une fontaine blanche due au grand rebond p 126: Vous allez comprendre que l'espace-temps n'est qu'une illusion p 127: Le big-bang n'est pas le début de l'univers, encore moins sa création p 128: L'effet avant la cause... La physique voit apparaître l'existence de la causalité rétrograde p 274: Rien n'existe physiquement avant que vous ne l'observiez p 288: L'arbre de vie - le futur à branches p 301: Vous êtes les cellules de l'univers... Vous êtes les neurones de Dieu
Et si nous avions la preuve absolue que la conscience, après la mort, continue à transmettre des sentiments et des informations ? Et si cette preuve nous était apportée par les deux plus grands génies de la science ? C'est l'incroyable aventure dans laquelle s'est trouvé plongé Didier van Cauwelaert, suite au succès des deux tomes de son Dictionnaire de l'impossible. Avec ses enquêtes minutieuses, tout son humour, sa passion du merveilleux et sa distance critique, Didier van Cauwelaert nous livre une aventure à couper le souffle. Un véritable jeu de piste qui nous entraîne du savoir sans fin des civilisations disparues aux dernières découvertes de la physique, du mode d'emploi de l'espace-temps aux secrets d'une énergie inépuisable, non-polluante et gratuite qui, demain, pourrait être mise à la disposition de l'humanité. C'est toute notre vision du monde et de l'avenir qui bascule enfin dans le sens de l'espoir, au fil des confidences et des révélations en provenance (apparente) d'Albert Einstein et Nikola Tesla – deux esprits toujours libres que ni la censure des vivants ni le silence de la mort n'auront réussi à faire taire.
Didier van Cauwelaert qui s'intéresse depuis longtemps aux manifestations supra-naturelles, nous livre ici un témoignage stupéfiant. Imaginez-vous à votre réveil, à l'aube, et voir près de votre lit, un fantôme, ou plus exactement deux fantômes successivement, celui d'Albert Einstein et celui du génial inventeur Nikola Tesla. Nikola Tesla, moins connu que Albert Einstein, était un inventeur serbe, né en Croatie en 1856 et émigré aux Etats-Unis où il travailla pendant longtemps pour Edison avant de collaborer avec l'entreprise Westinghouse. Tesla est connu pour son travail sur les moteurs à courant alternatif, son travail sur les ondes scalaires, et sa découverte (masquée après sa mort dans des circonstances étranges) d'une source d'énergie illimitée et gratuite pouvant bénéficier à toute l'humanité. Cette expérience de se retrouver avec deux illustres visiteurs venus de l'au-delà, c'est ce que vit Geneviève Delpech, veuve du célèbre chanteur qui nous a quittés il y a peu de temps. Geneviève Delpech est medium et peintre et ce qu'elle va vivre va la bouleverser pour toujours (et il y a de quoi..) Ce ne sont pas seulement des visions d'ectoplasmes (qui en plus laissent des traces numériques par images et messages sous forme de textos..) c'est aussi le contenu de leurs messages qui est stupéfiant: Mme Delpech n'est pas du tout scientifique et les messages qu'elle reçoit vont être analysés par des physiciens, astro-physiciens de grand renom ( Christophe Galfard, Jean-Pierre Luminet, Xuan Thuan Trinh..) qui reconnaissent de grandes équations célèbres et ne remettent pas en cause le contenu des messages. Nikola Tesla va être particulièrement prolixe en reprenant les grandes lignes de son oeuvre et, fait plus troublant encore, en annonçant les avancées que va faire prochainement l'humanité (ainsi le premier voyage dans l'espace-temps aurait lieu en 2239).. il est à noter que ces messages de l'au-delà interviennent au moment où l'on vient de découvrir les ondes gravitationnelles, prédites par Einstein et qui font apparaître une fracture dans l'espace-temps liée à l'existence de trous noirs. Bref tout cela est captivant et propre à remettre en cause des choses fondamentales, qui sait? Vous ne lâcherez pas ce livre de la nuit.. et il laissera des traces, pas seulement numériques.. Didier van Cauwelaert nous entraîne avec brio dans un voyage étonnant, il nous fait rêver tout en nous rappelant les grandes lignes de l'oeuvre de deux scientifiques géniaux : Einstein et Tesla. Plus qu'un témoignage, c'est aussi un voyage scientifique et ... vers le supra-naturel. De quoi laisser perplexes ou sceptiques de nombreuses personnes.. quoi qu'il en soit ces textos de l'au-delà ont été photographiés, archivés, les images parvenues ont été conservées aussi. Un récit plus que stupéfiant et qui laisse sans voix.