Nombre de messages : 5418 Date de naissance : 14/08/1962 Age : 61 Localisation : Belgique Date d'inscription : 25/05/2007
Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Jeu 07 Juin 2012, 21:44
Prométheus...
Prometheus est un film de science-fiction horrifique américain produit et réalisé par Ridley Scott, sorti en 2012. Il met en scène Noomi Rapace, Michael Fassbender et Charlize Theron dans les rôles principaux. Le film se déroule à la fin du xxie siècle et suit l'équipage du vaisseau Prometheus qui part explorer une planète lointaine indiquée sur des pictogrammes archéologiques ; ils espèrent obtenir des réponses sur les origines de l'humanité mais auront à faire face à un danger qui pourrait mettre en péril toute l'espèce humaine. Ce film était prévu à l'origine comme une préquelle d'Alien (1979), le deuxième long métrage du réalisateur Ridley Scott, cependant le scénario de Prometheus a évolué en projet original indépendant de la saga Alien, même s'il est très inspiré de celle-ci et se déroule dans le même univers. http://fr.wikipedia.org/wiki/Prometheus_(film)
Je viens de le voir!
C 'est à voir...
ainsi que ceci 1 h qui en vaut le détour!
Prometheus, bien avant Adam et Ève. Il est notre père biologique à tous.
et le site de Pierre http://www.incapabledesetaire.com/
et l'analyse d 'Alex Jones en prime! https://www.youtube.com/watch?v=Qotb6fvtAGo
AMBRE
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Mer 11 Juil 2012, 11:36
Décodage ésotérique de "I, Pet Goat II"
J'ai publié récemment la vidéo virale de I Pet Goat II.
L'admin de Vigilant Citizen nous en fait un décodage rapide mais assez complet.
Symbolisme ésotérique de la vidéo virale ''I, Pet Goat II''
Par Vigilant Citizen
9 juillet 2012
''I, Pet Goat II'' est une vidéo d'animation informatisée chargée de silencieux messages et d'un symbolisme ésotérique. Le film ne comporte aucun dialogue, et chaque symbole raconte un élément d'une histoire qui couvre des domaines historiques, politiques, de conspirationnisme occulte et de spiritualité. Nous allons voir la signification ésotérique derrière le ''I, Pet Goat II'' viral.
Produite par l'équipe de production canadienne Heliofant, I, Pet Goat II est un court film d'animation qui est rapidement devenu viral sur internet. Louée pour ses effets visuels et son imagerie intéressante, la vidéo a pourtant laissé une interrogation sur la signification de son symbolisme. Politique, conspirationnisme et opérations sous fausse bannière sont mélangés à de la spiritualité ésotérique et à du symbolisme occulte dans cette énigme aux effets hypnotiques. Voici la vidéo :
/!\ I Pet Goat II par Heliofant - HD par JaneBurgermeister
Après avoir vu la vidéo, il y en a beaucoup qui pourraient dire quelque chose du style ''Que diable ai-je donc vu ?''. L'histoire est quelque peu non-linéaire et il y a de nombreux éléments cryptés et énigmatiques dans le film. Je ne veux pas prétendre à un décodage complet de toute la trame bourrée de symboles de la vidéo, mais pas mal de messages sont facilement compréhensibles grâce à un symbolisme plutôt lourdement appuyé. En général, le film semble concerner le climat politique et social de la dernière décennie – avec les présidents-marionnettes, le terrorisme sous fausse bannière et les sorciers du contrôle mental. Ensuite, avec à la suite une figure du Christ, nous abandonnons toute tristesse pour entrer dans une nouvelle ère lumineuse. En bref, l'histoire parle du triomphe de l'illumination spirituelle sur les forces de l'ombre. Regardons le film et certains de ses nombreux détails. I, Pet Goat II
La première scène est déjà pleine de symbolisme.
La vidéo commence par une scène intéressante : une chèvre dans une caisse qui semble faire partie d'un camp de détention (FEMA). La chèvre a un code-barre sur la tête avec en dessous les chiffres 6 6 6. SiI, Pet Goat parle de libération des forces de l'ombre, cette première scène semble dépeindre l'opposé exact. Cette chèvre représente-t-elle ceux qui ont été ''mis en boîte'', munis d'un code-barre et ayant subi un lavage de cerveau par un système corrompu ? L'usage du pronom ''I'' (Moi) dans le titre implique que la chèvre pourrait être, en fait, le spectateur lui-même.
Le spectacle de marionnettes qu'est la politique
Dans la première partie de la vidéo, un montreur de marionnettes caché contrôle George ''Dubya'' Bush dans une classe. Quand les avions ont frappé le World Trade Center en septembre 2001, Bush se trouvait à l'intérieur d'une classe à lire le livre My Pet Goat aux enfants. Le plancher maçonnique en forme d'échiquier de la classe pourrait signifier que toute cette comédie comportait une composante rituelle.
Bush fait des claquettes, présente un visage effrayant et dit des trucs incohérents pour garder les masses ignorantes de la vérité.
Au-dessus de Bush il y a un dessin intéressant qui montre l'évolution de l'humanité depuis le poisson, vers le singe et vers un homme tenant une arme. Quelle est l'étape finale de l'évolution ? L'homme illuminé, représenté par des rayons de soleil autour de sa tête.
Bush porte un bonnet d'âne, ce chapeau conique qu'on donnait aux élèves ''plus lents'' pour les humilier. Quand Bush est montré faisant le pitre, il se transforme en Obama, homme distingué et séducteur portant une coiffe de diplômé. Il commence gentil et aimable, mais il se met à se moquer de l'audience. Alors qu'il est apparu comme la réponse parfaite à l'idiotie de l'ère Bush, un fait demeure : il n'est qu'une autre marionnette contrôlée par le même montreur de marionnettes. Alors que presque toute l'audience est totalement ignorante de ce qu'il se passe, une fillette ne se laisse pas avoir.
Alors que les masses semblent sourdes, bêtes et aveugles (et prisonnières de barbelés), cette petite fille réalise que ''cette pomme n'est pas la sienne et la laisse tomber''. Obama est inquiet du réveil de cette fillette.
Nous sommes ensuite emmenés dans le monde extérieur froid et enneigé qui entoure l'école. Sur un mur, il y a un graffiti avec un important message derrière.
Sur le mur de l'école se trouve un graffiti qui dit Psaume 23.
Le verset biblique auquel se réfère le graffiti semble prédire le voyage dans lequel s'apprêtent à embarquer les spectateurs.
<BLOCKQUOTE>Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien. Il me fait reposer dans les verts pâturages, il me conduit vers des eaux tranquilles, il redonne du sens à mon âme. Il me guide sur les sentiers de la justice par Son Nom. Même si je marche dans la vallée de l'ombre de la mort je ne craindrai aucun mal, car tu es avec moi ; ta houlette et ton bâton, voilà mon réconfort. Tu dresses devant moi une table en présence de mes adversaires. Tu oins ma tête d'huile ; ma coupe déborde. Ta bonté et ton amour m'accompagneront avec certitude tout au long de ma vie et je reviendrai dans la maison du Seigneur pour toujours.</BLOCKQUOTE> <BLOCKQUOTE>- Psaume de David 23</BLOCKQUOTE> Un monde en décrépitude
Le monde extérieur est sombre, froid et littéralement tombe en ruine. C'est triste, gangrené et tout tremble et se désagrège.
À un moment, deux tours – réminiscence du WTC – s'écroulent. Nous apprenons ensuite que c'était un travail programmé de l'intérieur.
Ben Laden porte un badge de la CIA, laissant entendre qu'il était un outil du gouvernement américain pour promouvoir son agenda. Le croissant de lune, symbole associé à l'Islam, est renversé, ce qui peut être un moyen de dire que toute ces trucs d'Al Quaïda est une perversion et une exploitation de l'Islam.
Pendant que du pétrole fuit de partout, une étoile à 6 branches apparaît sous la statue de la Liberté, renommée par les auteurs du film ''Lady of Helotry'' (''helotry'' signifie servage ou esclavage = Notre-Dame de l'esclavage).
L'étoile à 6 branches (connue aussi sous le nom d'étoile de David) qui apparaît sous Notre-Dame de l'esclavage est-elle un moyen de dire que les US sont fortement influencés par Israël ?
Alors que le monde s'écroule, de nombreuses institutions désuètes disparaissent ou sont détruites.
Cette mosquée est détruite par des avions de combat.
Cet ouvrier latino se noie, avec son marteau et sa faucille – représentant la disparition du marxisme dans les pays du tiers monde. Sur le site officiel d'Héliofant il est dit : ''Après des années d'exploitation économique et une dégradation de l'environnement, Juan ''Pepito'' a franchement un sentiment de noyade.''
Le contrôle des masses
Le monde est sous le charme d'un magicien noir nommé Drako. Selon les auteurs du film, Drako est : <BLOCKQUOTE>''Un sorcier, une main invisible et un esprit de folie qui cherche encore plus de pouvoir par fourberie, mensonges, empoisonnements, événements sous fausse bannière, guerres, et des montagnes de structures bureaucratiques et légales pour pomper l'énergie des terriens. Il craint la lumière du jour comme il craint la vie tout court et fonctionne dans l'ombre. Son plus grand pouvoir est sa main-mise sur l'émission de monnaie.''</BLOCKQUOTE>Cela fait-il penser à ceux que nous appelons Illuminati ? Oui, c'est exact. De la même manière que les Illuminati cherchent à faire un lavage de cerveau aux enfants dès leur naissance, Drako se préoccupe de cet enfant à naître nommé Ludovic.
L'oeil reptilien de Drako guette la naissance de Ludovic.
Dans la tradition ésotérique, le symbole de l'oeuf entrelacé d'un serpent est connu comme l'oeuf orphique. En bref, il représente la graine latente de vie et le potentiel infini de la création. En d'autres mots, alors que cet enfant semble désespéré, il possède toujours le pouvoir d'atteindre son plein potentiel.
Quand l'oeuf a éclos et que l'enfant est né, Drako prend littéralement le contrôle de son esprit d'une manière effrayante et parasite.
Drako a sur son menton une pyramide et l'oeil-qui-voit-tout qu'on trouve sur le billet d'un dollar américain. Il représente non seulement le fait qu'il contrôle la monnaie, mais il représente aussi les Illuminati. Sous l'oeil de Drako il y a la phrase ''Ordo Ab Chao'' – qui veut dire l'ordre à partir du chaos, le slogan favori de l'élite occulte. Le type a également un seul œil ouvert. Ne pourrait-il mieux représenter les Illuminati ?
Le libérateur Au milieu de ce chaos, un personnage émerge avec le pouvoir de tout rendre juste.
Navigant sur une barque de cérémonie égyptienne, Jésus Christ semble être en transe.
Le personnage ressemblant au Christ possède un troisième œil peint juste sur la glande pinéale, ce qui ramène au concept de l'illumination spirituelle. Le triangle au-dessus de l'oeil représente la divinité et cette illumination met en contact avec sa propre nature divine. Les symboles sur le front du Christ sont en totale opposition avec la pyramide sur le menton de Drako. Alors que les deux personnages portent des symboles semblables sur leur visage, le Christ les porte ''droits'' et Drako les porte renversés/inversés, signifiant qu'il (et les Illuminati) a corrompu ces anciens symboles. Nommé par les auteurs de la vidéo ''Le Feu de la Vérité'', le personnage du Christ ne signifie pas que c'est Jésus Christ lui-même, mais une représentation du concept du Christ intérieur comme défini par les gnostiques. Selon ce courant ésotérique de la chrétienté, le Christ intérieur est le potentiel en chacun pour atteindre la divinité par l'illumination spirituelle. Sur le site d'Héliofant, le Feu de la Vérité est décrit ainsi : <BLOCKQUOTE>C'est TOI !!! quand tu résides dans la conscience de ton fils avec le Divin et la fraternité de l'humanité !!!''</BLOCKQUOTE>Quand la figure de Christ souffle le Feu de la Vérité sur le monde, certains personnage opprimés ou en détresse reviennent à la vie, comme Ludovic, l'enfant enfermé dans l'oeuf. De même, Aali, un petit garçon musulman qui semblait meurtri et mort, ressuscite.
Le petit Aali se relève des gravats de la mosquée détruite, tournoyant en tenue traditionnelle derviche.
Le petit garçon exécute l'ancien art du tournoiement soufi, qui est pratiqué par les derviches soufis de l'ordre de Mevlevi. Les derviches constituent un ancien courant ésotérique de l'Islam.
<BLOCKQUOTE>''Les mystères de la foi islamique sont aujourd'hui détenus par les derviches – des hommes qui, en renonçant aux mondanités, ont résisté à l'épreuve des mille et un jours de tentation. On croit que Jelal-ud-din, le grand poète et philosophe persan soufi, aurait fondé l'ordre de Mevlevi, ou ''derviches tourneurs'' dont la signification exotérique des mouvements est le déplacement des corps célestes et dont la signification ésotérique résulte dans l'établissement d'un rythme qui stimule les centres de la conscience spirituelle dans le corps du danseur.''</BLOCKQUOTE> <BLOCKQUOTE>- Manly P. Hall, The Secret Teachings of All Ages (enseignements secrets de tous les âges)</BLOCKQUOTE>
Derviches tourneurs
La renaissance du garçon musulman en un derviche tourneur signale qu'il y a un lien entre lui et le Christ intérieur : les deux représentent l'initiation dans les écoles ésotériques, qui ont toutes le même but – le contact avec la divinité par l'illumination spirituelle. D'autres religions avec des courants ésotériques souterrains telle que l'hindouisme (représenté par Shiva qui danse) sont également représentées dans le film. Quand la figure du Christ sort de la cathédrale, le bâtiment (gardé par une gargouille d'apparence mauvaise) tombe en morceaux derrière lui.
Dans cette nouvelle ère d'illumination spirituelle, des monuments construits par l'homme deviennent inutiles et désuets. Ils se désagrègent donc et disparaissent.
Alors que le jour fait place à la nuit, la figure christique ouvre ses yeux ardents et navigue vers le soleil. Des fleurs de lotus, symboles d'illumination spirituelle dans la philosophie orientale, apparaissent derrière lui, confirmant aux spectateurs que le chemin vers la liberté est vraiment spirituel. En Conclusion
I, Pet Goat II a reçu de larges félicitations pour ses prouesses techniques et son scénario original. Malgré l'absence de narration ou de dialogue, une histoire élaborée nous est délivrée à l'aide du plus ancien et universel langage : le symbolisme. Par symboles, le film s'arrange pour délivrer une critique acerbe de la civilisation occidentale actuelle, pour décrire ses nombreux maux et même pour prédire son inévitable chute. Le plus important, un décodage profond du symbolisme du film révèle un puissant message d'illumination spirituelle basé sur les anciens Mystères. Alors que l'aspect ésotérique du film pourrait ne pas être compris par tout le monde, il se trouve au cœur du film et est présenté comme la solution ultime contre le mal et la corruption du monde actuel. La conclusion du film est donc très personnelle : soit VOUS devenez une chèvre domestique avec un code-barre 666 sur le front, soit VOUS devenez une figure christique avec un troisième œil sur le front. Cette notion d'illumination personnelle est définitivement gnostique et est courante dans la plupart des écoles ésotériques de pensée de toutes les civilisations.
D'accord ou non avec la conclusion spirituelle du film est une question de foi personnelle, mais il est néanmoins certain que ceux derrière I, Pet Goat II sont ''dans le savoir'' de tout ce qui est occulte, ésotérique et même conspirationniste. Chaque scène possède en arrière-plan une profonde histoire sous-jacente – qu'elle soit historique, politique ou spirituelle – ce qui prendrait des pages et des pages de mots pour tout expliquer à fond. Voilà où réside le pouvoir des symboles : ils peuvent simplement être admirés pour leur esthétisme ou bien ils peuvent, pleinement compris, révéler une histoire profonde de l'humanité, de Dieu et de tout ce qui existe entre les deux.
SOURCE
Traduit par Hélios
par Hélios
AMBRE
Nombre de messages : 5418 Date de naissance : 14/08/1962 Age : 61 Localisation : Belgique Date d'inscription : 25/05/2007
Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Jeu 02 Aoû 2012, 09:34
La tempête qui arrive...
« Il y a une tempête à venir M. Wayne. Vous et vos amis feraient mieux de fermer les écoutilles. Parce que quand cela va frapper, vous allez tous vous demander comment vous avez pensé que vous pouviez vivre si largement, et laisser si peu pour le reste d'entre nous. »
Cet article qui contient des tonnes d'informations qui doivent être vérifiées, certes, mais plus on s'intéresse aux faits qui concernent cette tuerie d'Aurora, plus il est probable que tout cela ait été organisé par le "gars des vues"!
De nouveaux faits entrent à la vitesse "grand V" sur les blogs concernant toute cette mystérieuse affaire. Ce qui est intéressant ici, c'est de faire le rapprochement entre le scénario de Batman et une possible stratégie de création de guerre civile aux États-Unis. Déclenchée par des groupes populaires et subversifs suite à une série d'actions de dénonciation des "banksters", tenus responsables des corruptions et des injustices de ce monde, la révolution civile provoquerait l'anarchie et toutes sortes d'hostilités contre les autorités, nécessitant la mise en place de la loi martiale. La population croyant se libérer de ses chaînes, croyant participer à rétablir la justice, obéirait finalement avec justesse à l'agenda de ceux qu'elle dénonce et se refermerait alors le verrou de sa propre prison !
Cet article est du journalisme d'enquête qui mérite que l'on s'attarde aux faits présentés. Ils concernent la tuerie d'Aurora, la connexion entre James Holmes et son père Robert Holmes, en lien avec le travail (scientifique) de ce dernier qui est, entre autres, de développer des logiciels informatiques (dont des logiciels en lien avec le DARPA), le lien avec le scénario de guerre civile déclenchée par la dénonciation de la corruption de l'élite économique dans le dernier film de "Batman" par Bane (le leader d'un mouvement de protestation, de dénonciation et de terrorisme domestique) à l'aide d'un logiciel de traçabilité des fraudes financières de l'élite.
EXTRAIT
Citation :
"La vérité est peut être plus étrange que la fiction, quand on regarde les histoires qui entourent l'histoire principale de ce que l'on appelle le lavage de cerveau, le seul « écrou » James Holmes qui ouvre le feu dans une salle de cinéma à Aurora au Colorado et ses connexions à la fois en neurosciences et en tant que « super soldat », ou les expériences de « Soldat de performance de pointe », avec un père qui travaille pour une compagnie de logiciels qui analysent la fraude pour les entreprises.
Selon son profil LinkedIn, le père de James Holmes, le Dr Robert Holmes, a reçu un doctorat en statistiques en 1981 de l'Université de Californie à Berkeley, et a travaillé en étant basé à San Diego pour HNC Software, Inc de 2000 à 2002. HNC, qui est connu sous le nom d'un « réseau neuronal », et à la DARPA, à partir de 1998, où il a travaillé sur le développement de « réseaux de neurones CORTRONIC», qui permettent aux machines d'interpréter des stimuli sonores et visuels pour penser comme des humains."
Traduction Folamour, Reproduction libre à condition de citer la source ainsi que celle de la traduction.
Informations complémentaires :
AMBRE
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Ven 26 Oct 2012, 22:35
Cloud Atlas
les acteurs du dernier Wachowski restent marqués par le tournage...Mis en ligne le 10 septembre 2012
Citation :
Découvrez 6 minutes de Cloud Atlas, un film d'une ambition démente au casting dingue. Attention les yeux !
"Cloud Atlas" fait partie des films que l'on attend avec impatience. D'une part parce qu'il intrigue, encore plus depuis la diffusion de la bande annonce en fin de semaine dernière, d'autre part parce qu'il est co-réalisé, avec l'Allemand Tom Twyker, par Andy et Lana Wachowski, les auteurs de la trilogie "Matrix", qui n'ont pas franchement brillé depuis. Ajoutez à tout cela un casting vertigineux qui comprend Tom Hanks, Halle Berry, Jim Broadbent, Hugo Weaving, Susan Sarandon, Hugh Grant, Jim Sturgess ou encore James d'Arcy...
Adaptation du roman de David Mitchell publié en 2004, "Cloud Atlas" était présenté dimanche en avant-première au Festival international du film de Toronto avec une grande partie de son casting dont certains ne se remettent toujours pas d'avoir été rendus méconnaissables par des tonnes de maquillage. "J'ai adoré travailler avec Hugh Grant, on ne savait pas que c'était lui jusqu'au moment où il a dit (avec un fort accent anglais) Oh fuck off", a plaisanté Jim Broadbent au cours de la conférence de presse qui a suivi la projection. De son côté l'acteur anglais déclare qu'"on leur étalait du plastique sur la figure pendant des heures", tous les jours pendant le tournage.
Selon l'acteur Hugo Weaving, ses collègues de plateau Halle Berry, Doona Bae, Keith David, Susan Sarandon, David Gyasi, James D'Arcy, Zhou Xun et Ben Whishaw changeaient de races et de sexe dans des rôles multiples et "n'étaient plus reconnaissables" sous leur épais maquillage. Susan Sarandon, qui interprète un homme dans le film, a déclaré : "Quand je regardais dans la glace, je ne pouvais même pas me voir moi-même, c'est la vraiment première fois que ça m'arrive". "C'est une expérience surprenante de ne pas me reconnaître du tout", a-t-elle ajouté.
"Je n'ai entendu qu'une seule plainte, elle venait de Jim Sturges... à cause d'une barbe gluante qui lui avait poussé sur la figure pendant la durée du film. A la fin de la journée, il a dit : S'il vous plaît, enlevez-moi cette chose du visage", a raconté Tom Hanks. Concernant le film, l'acteur, dont c'est la première apparition dans un long métrage de science-fiction, déclare que les personnages de l'histoire "ont à choisir entre la cruauté et la gentillesse et leur décision va changer le monde à partir du moment où elle est prise", explique Tom Hanks. Il conclut que jouer dans ce film "en valait totalement la peine, ne serait-ce que pour voir Hugh Grant en cannibale".
"Cloud Atlas" raconte le récit de plusieurs personnages sur plusieurs siècle : un voyageur réticent qui traverse le Pacifique en 1850 ; un musicien déshérité menant une vie précaire en Belgique durant l'entre-deux-guerres ; un journaliste aux nobles sentiments qui suit un gouverneur de Californie nommé Reagan ; un vaniteux éditeur qui fuit ses créanciers mafieux ; un dîner génétiquement servi dans le couloir de la mort ; et Zachary, un jeune habitant du Pacifique témoignant du crépuscule de la civilisation et de la science...
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Sujet: Les Nécromitons et le livre "Necronomicon" Dim 09 Déc 2012, 01:38
Le "Necronomicon" de Lovecraft et tous ces livres que vous ne lirez jamais
Ce lundi 20 août, l'écrivain H. P. Lovecraft fêterait ses 122 ans. Ce maître de l'horreur est l'inventeur d'un livre fictif, le "Necronomicon": nombreux sont persuadés qu'il existe vraiment! Pareille mise en abyme a été pratiquée par bien d'autres romanciers...
Inventeur du Necronomicon, H. P. Lovecrat aurait eu 122 ans le 20 août 2012. Droits réservés.
Howard Phillips Lovecraft est l'un des plus grands auteurs de la littérature fantastique du XXème siècle. Il est l'inventeur d'un véritable univers au sein duquel trône un mystérieux livre, le Necronomicon, qui n'a jamais existé. De la même manière, d’autres auteurs ont inventé des livres fictifs. Véritable mise en abyme, le lecteur lit un livre qui parle d’un livre. Et malheureusement, il ne le lira jamais!
Lovecraft : Le Necronomicon
Selon Lovecraft, le Necronomicon aurait été écrit aux alentours de 730, à Damas, par « l’arabe fou » Abdul Al Azred. Il s’agit en fait d’un recueil de textes fictifs inventé par Howard Phillips Lovecraft pour alimenter ses nouvelles d’horreur autour du mythe de l’ancien dieu maléfique, Cthulhu.
Très peu de détails sont donnés par Lovecraft sur le Necronomicon. Et pour cause, quasiment tous les exemplaires sont censés avoir disparus et quiconque le lit devient fou. De rares vers, tirés du livre nous donnent une idée de son contenu : « N'est pas mort ce qui à jamais dort, Et au cours des siècles peut mourir même la Mort. »
Lovecraft ne faisait lui-même pas mystère que le Necronomicon n’est qu’invention. Il ne pensait d'ailleurs pas que ses lecteurs seraient dupes. Et pourtant, aujourd’hui encore, beaucoup de personnes croient en l'existence du sinistre ouvrage. Selon les fans les plus tenaces, les derniers exemplaires dormiraient, évidemment, dans les caves du Vatican!
La vraisemblance du Necronomicon tient aux détails véridiques ou historiques que l’auteur emploie pour le rendre crédible. Il affirme par exemple que l’un des derniers exemplaires aurait été brûlé lors des fameux procès de Salem, aux États-Unis, où des gens furent effectivement jugés pour sorcellerie à la fin du XVIIème siècle... En datant précisément sa rédaction et en la localisation dans une ville qui existe bel et bien, Lovecraft a assuré à son livre d'invention une troublante crédibilité.
Borges : Pierre Ménard, auteur du Quichotte
Jorge Luis Borges (1899-1986) a cette habitude de décrire des livres qui n’ont jamais existé. A l’instar de Lovecraft, il les mêle souvent à de véritables œuvres pour que son lecteur y croie. Dans la nouvelle Pierre Ménard, auteur du Quichotte, Borges imagine un auteur français du début du 20ème siècle qui réécrit, de mémoire, deux chapitres du Don Quichotte de Cervantès... en les améliorant !
Ce « livre » de Ménard est typique d’un exercice auquel Borges aime à s’adonner : il invente un livre, le décrit, explique ses défauts et comment le parfaire, sans jamais que nous puissions le lire. Il explique d’ailleurs dans la préface du recueil Fictions (d'où est extrait Pierre Ménard, auteur du Quichotte) qu’il n’est pas utile de faire un livre de 500 pages pour décrire une idée que l’on peut résumer à l’oral en 5 minutes. L’exemple de Pierre Ménard est tellement célèbre qu’en 2008 est sorti le roman "borgésien" de Michel Lafon, Une vie de Pierre Ménard.
Tolkien : Le Livre rouge de Bilbon
La célèbre trilogie de J. R. R. Tolkien, le Seigneur des Anneaux, ne serait en fait qu’une partie du Livre rouge de la Marche de l’Ouest ou Livre rouge de Bilbon. Cet ouvrage, rédigé par les Hobbits Bilbon et Frodon Saquet, comprend donc Le Seigneur des anneaux, ainsi que l’aventure qu’a vécue Bilbon, plusieurs années auparavant. Aventure lors de laquelle il récupère le fameux Anneau Unique, forgé par Sauron, le seigneur des Ténèbres. Pour ceux qui ont vu les adaptations au cinéma de Peter Jackson, il s’agit du livre que Bilbon finit d’écrire au début du premier acte et que Frodon entame à la fin du dernier. L’histoire que nous livre Tolkien n’est donc que « son adaptation » de cet ouvrage qu’il a lui-même imaginé.
Adams : Le Guide du voyageur galactique
En 1978, la BBC diffuse la série radiophonique humoristique The Hitchhiker's Guide to the Galaxy, ou Guide du voyageur galactique, de Douglas Adams qui sera adapté en roman et au cinéma. Ce guide, sur la couverture duquel on peut lire « Pas de panique », contient tout ce qu’il y a à savoir sur l’univers. A part peut-être la réponse à « La grande question sur la vie, l'univers et le reste ». Il ne s’agit d'ailleurs pas d’un « livre » à proprement parler mais plutôt d’une sorte de tablette numérique ou de liseuse électronique. Il aurait sûrement plus sa place dans une rubrique intitulée « … et tous ces livres que vous lirez peut-être, dans très longtemps, au prix d’un travail titanesque ».
Conan Doyle : La Dynamique d’un astéroïde
Sherlock Holmes est peut-être l’esprit le plus puissant jamais imaginé. Le personnage d’Arthur Conan Doyle est un véritable génie, et un expert en de nombreux domaines. Il rédige au début du XXème siècle un traité sur l’apiculture dont le titre original est Practical Handbook of Bee Culture, with some Observations upon the Segregation of the Queen. Il n’est qu’évoqué, et peu de détails existent à ce sujet.
Au cerveau le plus vif, il fallait bien opposer le méchant le plus habile. Génie des mathématiques, le professeur Moriarty a, lui aussi, rédigé son propre ouvrage scientifique. La Dynamique d’un astéroïde, dont Holmes lui-même reconnaît qu’il ne souffre d’aucune réfutation possible. Parole d'expert.
Le Necronomicon1 est un ouvrage fictif inventé par l'écrivain américain H.P. Lovecraft, vraisemblablement à l'occasion de la rédaction de la nouvelle « La Cité sans nom», achevée en 1921.
(...) Histoire fictive
Après diverses références dans ses nouvelles au Necronomicon, Lovecraft décida en 1927 de mettre au clair, au moins pour lui au départ, l'histoire du livre afin d'éviter toutes incohérences futures. Il semblerait que Lovecraft se soit inspiré des histoires des grimoires évoquées par Arthur Edward Waite dans son Book of Black Magic and of Pacts de 1898. Ce texte n'eut d'abord que cette fonction de cohérence fictionnelle. Il l'envoya cependant à ses amis qui le lui demandaient. Finalement, le texte fut publié sous forme de nouvelle (« Histoire du Necronomicon ») après sa mort2,3.
Selon les divers textes de Lovecraft évoquant l'ouvrage, le Necronomicon, originellement nommé Kitab al Azif (littéralement « Livre du musicien ») aurait été écrit vers 730 à Damas par le poète Abdul al-Hazred, souvent surnommé « l'Arabe dément » par l'auteur. En arabe, al azif fait référence au bruit que produisent les insectes la nuit, ce qui dans cette culture se rapporte aux cris des djinns. Le manuscrit original en arabe aurait disparu.
Théodore Philetas de Constantinople aurait par la suite traduit l'ouvrage en grec ancien vers 950, et c'est lui qui attribua à l'œuvre le titre par lequel elle est la plus connue : Necronomicon. Le patriarche de Constantinople Michel Cérulaire fit brûler toutes les copies grecques en 1050 mais quelques exemplaires auraient échappé aux flammes.
Il aurait été traduit en espagnol par Jean de Seville.
Olaus Wormius en rédigea une traduction en latin en 1228. Les versions grecque et latine furent interdites par le pape Grégoire IX en 1232. Wormius fut mis au bûcher par l'inquisition avec tous les exemplaires. Seules quelques copies auraient subsisté, peut-être parce que l'ouvrage avait été mis à l’Index Librorum Prohibitorum selon une autre version de l'histoire par Lovecraft, notamment dans les archives secrètes du Vatican. Une version en caractères gothiques apparut en Allemagne vers 1440, et le texte grec ressurgit en Italie au cours de la première moitié du xvie siècle, suivi d'une traduction en espagnol vers 1600. Entre temps, en 1583, John Dee et Edward Kelley, deux occultistes britanniques qui travaillaient pour le compte de l'empereur Rodolphe II, (qui auparavant avaient déjà été employés par la reine Elisabeth Ire), se seraient procuré un exemplaire du livre. John Dee en publia une version anglaise, au préalable cryptée, en 1586, dont il ne subsite que des fragments. Le dernier exemplaire de l'édition italienne du xvie siècle aurait été brûlé à l'issue des procès de Salem en 1692.
Sources et création du Necronomicon
Au début de sa carrière, Lovecraft n'avait que peu de connaissances concernant la magie. En 1925, il le confessait lui-même dans une lettre à son ami Clark Ashton Smith : sa principale source d'inspiration était l'article « Magie » de l’Encyclopedia Britannica. Il demandait dans la lettre s'il existait de bonnes traductions d'ouvrages de nécromanciens médiévaux qui décriraient comment invoquer les esprits ou le Diable.
(...) Le travail de romancier de Lovecraft pour donner une véracité au Necronomicon mêlait le vrai au faux. Ainsi, dans la nouvelle « Le Festival » de 1925, son narrateur et personnage principal décrit les ouvrages se trouvant sur une table dans la maison familiale : le Marvells of Science de Morryster, le Saducismus Triumphatus de Joseph Glanvill (1681), le Daemonolatreia de Remigius (publié en 1595 à Lyon) et le « pire de tous, l'innommable Necronomicon dans sa traduction latine interdite par Olaus Wormius ». Deux de ces ouvrages existent réellement : celui de Glanvill et celui de Remigius. Leurs auteurs étaient des chasseurs de sorcières, le Necronomicon pourrait donc être un ouvrage de sorcellerie. Par contre, l'ouvrage de Morryster est fictif. Il avait été inventé par le romancier Ambrose Bierce. Dans son histoire mythique de l'ouvrage, si Al Azred est fictif, le Pape Grégoire IX, John Dee ou Wormius (un médecin danois du xviie siècle8) sont réels2,3.
Le titre et le contenu supposé du Necronomicon auraient en fait été inspirés à Lovecraft par Sonia Greene, qui fut sa femme pendant deux ans lorsqu'il vivait à New York. Sonia Greene aurait elle-même obtenu des informations d'Aleister Crowley, célèbre occultiste qui vivait aussi à New York à la même époque.
Lovecraft disait que le titre lui serait venu en rêve, comme beaucoup de ses nouvelles. Selon George T. Wetzel, le titre serait tiré du poème astronomique inachevé Astronomica (ou Astronomicon) datant du ier siècle et attribué à Marcus Manilius. On sait que Lovecraft l'avait lu dès 1915 puisqu'il y faisait référence dans un article d'astronomie qu'il écrivit pour l’Ashville Gazette News.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Necronomicon
AMBRE
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Dim 09 Déc 2012, 21:02
Merci Douceur! J'ai lu Le Nécronomicon de Lovercraft...et je n en ai pas garder un très bon souvenir...
Ceci par contre est assez symbolique: extrait de "Dark Crystal"
"Deux redeviendrons Un et Un sera entier..."
[/youtube]
AMBRE
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Ven 11 Jan 2013, 10:12
« Nos croyances ne nous appartiennent pas. Depuis les entrailles jusqu’à la tombe, nous sommes liés aux autres. »
« Des croyances comme la peur ou l’amour sont des forces à comprendre comme nous comprenons la théorie de la relativité et les principes de l’incertitude. Un phénomène qui détermine le cours de nos vies. Hier, ma vie avait pris une direction. Aujourd’hui, elle en prend une autre. Hier, je n’aurais jamais cru pouvoir faire ce que je fais aujourd’hui. Ces forces qui souvent refondent le temps et l’espace, et qui altèrent ceux que nous imaginons être, commencent bien avant notre la naissance et continuent après notre mort. Nos vies et nos décisions sont écoutées à chaque instant, à chaque point d’intersection et à chaque rencontre, elles suggèrent potentiellement une nouvelle direction. »
« A ce moment de ma vie, tout ce que je sais, c’est que ce monde est bouleversé par les mêmes forces invisibles qui troublent nos coeurs. »
(c 'est le film que j 'attend avec le plus d 'impatience cette année et proposé ici plus haut ce 26 octobre)
Citation :
« - Dans tes Révélations tu as mentionné que les conséquences de la vie d’un individu se répètent dans l’éternité. Cela veut-il dire que tu crois en une vie après la mort ? Et non au Paradis ou à l’Enfer ? - Je crois qu’ici, n’est qu’une porte. Lorsqu’elle se ferme, une autre s’ouvre. Si je devais imaginer le Paradis, je le verrai comme une porte. »
« Si j’étais restée invisible, la vérité aurait été occultée. »
« Je comprends maintenant, que ces limites, entre le son et le bruit sont des conventions. Toutes les limites sont des conventions, qui attendent d’être transcendées. Chacun peut dépasser n’importe quelle convention, si d’abord, on peut concevoir soi-même de le faire. Dans de tes instants, je peux sentir ton coeur battre aussi clairement que s’il s’agissait du mien. Et je sais que cette séparation est une illusion. Ma vie s’étend bien au-delà de mes propres limites. »
« J’essaye de comprendre quelque chose. Pourquoi commettons-nous toujours les mêmes erreurs, encore et encore ? »
« L’industrie des génomes a besoin d’une grande quantité de bio-matières pour les élevages de vers. Et le plus important, pour nourrir la force de travail manipulée. Les clones recyclés sont une source de protéines qui coûte peu… De la soupe. Ils sont nos propres aliments. (…) Les systèmes qui l’ont construit doivent être éteints. Peu importe si nous naissons dans un vivier ou sous la forme de ver, nous sommes tous Sang-pur. Nous devons tous lutter. Et s’il le faut, mourir. Pour montrer aux gens… La vérité. »
« - Adam, écoute-moi… si ce n’est pour toi, fais-le pour mon petit-fils… Il y a un ordre naturel dans ce monde, et ceuix qui veulent le modifier ne finissent pas bien. Ce mouvement ne survivre jamais. Si tu les rejoins vous serez rejeté toute ta famille et toi. Au mieux, ton existence sera celle d’un paria, sur lequel on crache et que l’on frappe. Au pire, tu seras lynché et crucifié. Et pourquoi ? Pourquoi ? Quoi que tu fasses, ne jamais parvenir à n’être autre chose qu’une seule goutte dans l’océan sans limite. - Mais qu’est-ce qu’un océan, si ce n’est une multitude de gouttes ? »
Le film, qui cite d’ailleurs Castaneda et Soljenitsyne, est basé sur le roman La Cartographie des Nuages.
proposé aussi par JSF
Cartographie des nuages (Cloud Atlas) est le troisième roman du Britannique David Mitchell, paru pour la première fois en 2004.
Dernière édition par AMBRE le Dim 10 Mar 2013, 10:58, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Film : Calibre 9 - Toulouse Mar 15 Jan 2013, 13:56
Calibre 9, un film anti-oligarchie
Voiçi la nouvelle bande annonce de Calibre 9 ou l'histoire d'un urbaniste manipulé par une arme à feu. Un film de Jean-Christian TASSY
Synopsis
« Dans une ville française gangrenée par la corruption, Yann Moreau est un jeune urbaniste frustré par son travail. Sa vie ne se résume qu’à peu de choses : magouiller, profiter du système et obéir à son patron, le Maire de la ville.
Mais, l’intrusion dans sa vie d’un étrange pistolet va entraîner Yann dans une terrible descente aux confins de la folie. Sarah, un Calibre 9 possédé par l’âme d’une ex-prostituée, dévoile au jeune urbaniste le revers de ses actes crapuleux. Manipulé par celle-ci, Yann se retrouve malgré lui dans la peau d’un justicier et abat froidement l’un des plus grands pontes et gangsters de la ville Frédéric Pontamousseau.
Recherché par Richard Wolfhound un vieux flic dérangé, aux méthodes peu recommandables, Yann MOREAU n’aura plus aucune alternative pour sauver sa peau, il devra s’associer coûte que coûte avec Sarah, le Calibre 9. »
Site de Calibre 9 http://darkfactory.wix.com/calibre9#!__videos
« Certaines vies valent la peine d'être supprimées. »
Vers la fin du film, quand les justiciers du peuple (l'urbaniste Yann Moreau et le policier cancéreux Richard Wolfhound) massacrent l'organisation oligarchique ainsi que le préfet corrompu qui contrôlent la cité, une voix off déclare :
« ...Personne ne t'a jamais dit quelque chose d'aussi importante, d'aussi vraie, d'aussi vitale :
J'ai laissé les clés du monde à ceux qui le gouvernent aujourd'hui parce qu'on a permis à cette bande de salopards de rester les maîtres du monde pour ça, pour l'argent, pour le pouvoir, pour le territoire. Il faut le reprendre ce territoire, il est à nous. Et aujourd'hui, on va le faire. On peut le faire avec ça (le pistolet animé par l'âme d'une femme)...
On remet les compteurs à zéro : • Les politiciens qui ne servent que leurs intérêts : peine de mort ! • Les industriels qui pourrissent la planète : peine de mort ! • Les chefs religieux, la grande distribution : peine de mort ! • Les groupes pharmaceutiques : peine de mort ! »
Le taux d’hémoglobine du film dépasse largement la moyenne. Mais derrière la caricature, le réalisateur de « Calibre 9 », Jean-Christian Tassy, exprime la violence des sentiments d'une partie de la population à l'égard de l'oligarchie.
Toulouse est une ville qui m’a réservé bien des surprises…
Je n’ai pas encore eu le temps de visionner ce film. Mais le voici en entier :
Origine du film : Français Distributeur : Aucune information ... Réalisateur : Jean-Christian Tassy Acteurs : Laurent Collombert Genre : Thriller, Action
AMBRE
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Dim 20 Jan 2013, 10:05
ParWalnier Alexandre (Clidre)
Citation :
Le seigneur des anneaux est une métaphore du renoncement à l'abus de pouvoir et montre tout le chemin que cela implique (confrontation, chute, initiations, remontées, alliances, nettoyages, réintégration, transfiguration, cristal-isation - l'individu laisse passer la lumière à travers lui). La communauté se fait autour d'êtres vivants comme des enfants, vivants candidement, d"hommes, de nains (forces des pierres intérieurs), elfes (végétales), aigles, chevaux (animales) en vue d'incarner des archétypes bien terrestres (roi, guerrier, magicien et amant représentant les portes émotionnelles à incarner en soi et dans sa vie - joie, colère, peur, tristesse). Aragorn couronné est la métaphore de l'individu qui retrouve son centre, son étoile.
AMBRE
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Jeu 31 Jan 2013, 10:35
Citation :
'Prometheus'' : un film sur les Néphilim extra-terrestres et l'illumination ésotérique
Le film de science-fiction ''Prometheus'' explore des théories sur les origines de l'humanité et ses relations avec des visiteurs extra-terrestres. Alors que la plupart des gens pourraient trouver cette hypothèse très ''fictive'', de nombreux aspects du film reflètent en fait de manière symbolique des croyances et philosophies de l'élite occulte. Nous allons approfondir la signification ésotérique du film ''Prometheus''. "On ne risque pas de manquer de films contenant des extra-terrestres en colère ces temps-ci et nous pouvons sans contestation ajouter Prometheus à la liste. Bien que la plupart des films avec extra-terrestres tournent autour du massacre de leurs horribles faces avant qu'ils ne détruisent la Terre, Prometheus contient un récit évoquant des questions éternelles qui interpellent l'humanité comme ''D'où venons-nous ?'' et ''Pourquoi sommes-nous ici ?''...plus une bonne dose de tueries de vilaines faces d'extra-terrestres.
Réalisé par Ridley Scott, ce long métrage avait l'intention au départ de devenir l'avant-film du classique ''Alien'' de 1979, mais le produit final n'a que peu de rapport avec. Le film raconte l'histoire de scientifiques qui découvrent d'anciens artefacts montrant des visiteurs d'une autre planète. Pour enquêter sur cette découverte, les scientifiques obtiennent l'appui d'une grosse société et s'embarquent pour une mission spatiale pour découvrir la planète d'où proviennent les extra-terrestres et leur poser d'importantes questions. Le postulat est basé sur la théorie des anciens astronautes, stipulant qu'il y a des milliers d'années, les premiers humains étaient en contact avec une race extra-terrestre supérieure.
Comme le suggère le nom du film, Prometheus contient aussi des références mythologiques et un symbolisme qui donne au film une signification ésotérique sous-jacente. Alors que le film parle, à première vue, d'humains qui vont dans l'espace pour trouver leurs créateurs extra-terrestres, Prometheus peut aussi être vu comme la métaphore d'une illumination spirituelle comme décrite par les sociétés occultes secrètes. Jetons un œil sur les concepts explorés dans le film. "
Traduit par Hélios du BBB.
J'ajoute les liens donnés en commentaire par Ambre sur le décodage du film, qui donneront une vision supplémentaire :
La suite demain... http://bistrobarblog.blogspot.be/2013/01/decodage-du-film-prometheus-12.html
Invité Invité
Sujet: Prometheus : Hemonus contra Humanus ? Dim 03 Fév 2013, 23:56
Bonsoir à tous,
Après lecture des liens indiqués ci-dessus, je constate qu’aux cours de ces analyses, aucune distinction n'a pas été faite entre « Terriens » et « Humains » : tous deux sont supposés être de même Nature.
Cet amalgame engendre une grande confusion en plus, d’entretenir un obscurantisme (déjà) bien opaque sur cette question pourtant « cruciale ».
Puisque le film « Prometheus » promulgue une vision mettant tous les deux, les premiers comme les second « dans le même panier » (mais à quel titre ?), il devient capital de voir que Prométhée à l’origine Prometheus (avec « us » pour « usage », du latin usus, l'une des trois composantes du droit de propriété) déité « masculine SANS polarité » ne peut avoir engendré la Vie. Il a, en fait, apporté la Mort.
Ne saviez-vous pas que le Titan Prométhée, voleur du « Feu », a donné son nom au « prométhium » (ou Pm, de numéro atomique 61), élément radioactif luminescent obtenu à partir de barres de combustibles nucléaires (cf. les vases dans le film) et qui n’est présent sur la terre « qu’à l’état de trace » ?
Comment cet élément NON bio-chimique et toxique pour le corps humain, en plus d’être quasi absent de notre environnement, pourrait avoir un rapport avec la Vie alors même que Prométhée « subit » une dégradation et augmentation continuelle du foie (organe vital constitué, constituant le fer*), indiquant une exposition continue à cette radioactivité ? Qu’a donc « enseigné » ce géant aux habitants de la terre, en tant qu'Educateur/Créateur ? Pourquoi ces derniers auraient-ils eu besoin de connaissances destructrices ?
Qui plus est, ne sont-ce pas des Femmes, des Dames comme Ninhursag (ou Nindigir/NinTur) en Mésopotamie, à l’époque d’Ur ou encore NüWa, compagne de FuXi, et pas des divinités masculines qui sont dites avoir donner Naissance aux « Hommes » à l’aide d’ « argile mélangée à de l’eau c’est-à-dire à du placenta hémochorial » ?
Et de quoi donc est exactement composé « l’argile » des « hemonus* » (hem = lié au sang (de la femme)) par rapport à l’argile des « humanus* » (hum = lié au sol, au sable, à la terre) des écritures, voilà ce qui donnerait un réel éclairage sur la Création de l’Humain.
Les Néphilims que la Bible décrit et dont Prométhée est l’un des représentant mythique, n’ont pu fabriqué que des « terriens » Primates-Hominidés tels l’homme de Néanderthalutilisés comme « mains d’oeuvre » pour l’excavation de minerais (essentiellement de l’or mais également du fer, du cuivre, etc.). Le Déluge fut engendré pour anéantir tous ces hybrides animaux-humains créées. Cette vérité nous est encore cachée...
Les terriens « fabriqués » comme les (nombreux) non-terriens mais à forme pourtant humanoïde, habitant la terre au même titre que les Humains, ne sont « ici, que des hôtes ». Ni les premiers, ni les deuxièmes, ni les troisièmes ne sont les « habitants primordiaux » de cette Planète d’Accueil qu’est la Terre. Mais si les Humains se sont, ici incarnés, s’est essentiellement comme « Gardiens ».
Contre quel(s) envahisseur(s)/destructeurs le gardiennage a-t-il été requis ? Voici une question qui mérite vraiment que l’on s’y attarde... car « Appel à l’Aide » a bien été lancé par la Terre et ses véritables occupants/habitants qui sont les entités que nos contes décrivent comme les « Elémentaux » (cf. les elfes et cie).
Libre aux anthropologues de faire descendre l’Humain et son mode d'évolution, de culture, de nutrition, etc. de l’homme primate néanderthalien et à nos musées et livres de véhiculer la (fausse) image de l’Hemonus descendant du singe. Mes expériences ne convergent pas avec leurs conclusions « actuelles ».
Comment faire la différence entre les entités « extra » terrestres avec bonnes intentions et celles intrusives qui usent et abusent de nos corps, de nos cerveaux, nous tiennent (à tous prix) endormi, nous induisent en erreur, etc. ? Voilà une question qui m’a déjà été posé à différentes reprises.
Aujourd’hui, de nombreuses prises de consciences, des expériences personnelles ainsi que des recherches/lectures/études partagées, ici sur le forum, me font dire que « Humains et Terriens » ne sont pas synonymes et qu’ils ne proviennent pas « du même endroit ».
Si par définition, nous pouvons dire que les terriens (vaste famille hétéroclite, du mot etroclite « étrange » et de heteroclitos « irrégulier; (subst.) qui a une flexion irrégulière » - des hybrides pour ma part -) proviennent de la terre (qui donne humus en latin : sol, matière), peut-on être certain qu’il en soit de même des Humains ?
Si nous étudions l’étymologie du mot « humain » nous réalisons qu’en latin, il s’écrit humanus et est décomposé simplement (pourquoi donc ?) en homo (homme) qui vient du grec homoios, homos [homéo-, homo-], semblable (mais á qui ?) avec le suffixe -anus alors qu’humain faisait archaïquementhemonus.
Et que nous apprennnent les suffixes -anus et -onus ?
Citation :
-anus : 1. Suffixe adjectival locatif indiquant la provenance, l’origine, l’appartenance. • Roma > romanus. • pagus > paganus.
2. Il se forme sur le radical du mot fléchi : • mons, montis > montanus.
3. Pour les noms de personnes, le sens originel semble être aussi locatif : « de la maison de César », d’où la construction à partir du génitif. • Caesar, Caesari > Caesărĭānus. • Christus, Christi > christianus.
Autrement dit, si « hum-anus » dans sa définition littérale donne « provient, originaire de hum » (pour moi, de quelque part d’autre, d'un autre sol, d'une autre terre/planète/matière que la terre bleue sur laquelle nous vivons actuellement), le terme latin « hemonus » nous apprend que le Travail, qui va de pair avec cette « Ascendance/Descendance », n’est pas entreprise facile.
En effet, hem (hém(o) relatif au sang mais aussi interjection : voilà, hélas, aïe, ha) et -onus (əʊnəs) signifie charge, fardeau (de la preuve), poids mais aussi tâche pénible, chose difficile, embarras, souci, peine, gêne, incommodité :
Rien d’étonnant au fait donc, qu’il soit dit que les Humains Primordiaux sont à l’origine les « Gardiens de la Terre », tâche ho combien « grande et délicate à la fois ». Et en tant que Gardiens ne serait-ce pas logique qu’ils/humains viennent justement d’ « en dehors de cette terre » ? (cf. l’exogenèse et panspermie).
Et si les Humains sont des extra-terrestres, comment dénommer les autres entités intrusives ? Des ufologues, pour les (nous) différencier, appellent ces derniers les « ULTRA-terrestres ».
Citation :
Revoir toutes nos conceptions des intrusions dans notre environnement :
« Passeport to Magonia », de Jacques Vallée, a pour de nombreux ufologues (dont nous sommes), ouvert une fenêtre sur d’autres dimensions. C’est le cas de John A. Keel, un journaliste new-yorkais, disciple de Charles Fort qui développa un nouveau courant de pensée sur les OVNI. Après avoir mené de très nombreuses enquêtes sur le terrain, il est arrivé à la conclusion que les terriens n’ont pas affaires à des extraterrestres mais à des « ultra terrestres ». Ces derniers seraient des formes intelligentes particulièrement mal intentionnées provenant d’une autre réalité ou dimensions capables de manipuler la matière et donc de pouvoir prendre les formes qu'ils désirent, au gré des contextes. Cette intelligence se manifeste parmi nous depuis toujours, sous des formes différentes, adaptées aux croyances et contexte de l’époque.
Nous verrons plus loin que depuis l’aube du monde, toutes les civilisations ont subi l’action de ces autres Puissances.
Le diable et les démons peuvent selon la littérature démonologique, se manifester sous n’importe quel aspect et peuvent imiter physiquement n’importe quelle forme vivante, de l’ange au monstre. Ils sont capables de se matérialiser et de se dématérialiser, comme les OVNI et leurs occupants, traverser les murs et accomplir des miracles surnaturels.
Suite : http://lesarchivesdusavoirperdu.over-blog.com/article-revoir-toutes-nos-conceptions-des-intrusions-dans-notre-environnement-99955554.html
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Sujet: Alice au Pays des Merveilles Mer 20 Fév 2013, 23:40
Citation :
Au Pays des merveilles, le temps est déréglé, au point qu’il n’y en a pas assez, comme pour le Lapin Blanc toujours pressé, ou comme le Chapelier fou, qui est condamné à vivre éternellement à l'heure du thé.
L'intrigue
Alice s'ennuie auprès de sa sœur qui lit un livre (« sans images, ni dialogues ») tandis qu'elle ne fait rien. « À quoi bon un livre sans images, ni dialogues ? », se demande Alice. Mais voilà qu'un lapin blanc aux yeux roses vêtu d'une redingote rouge passe près d'elle en courant. Cela ne l'étonne pas le moins du monde. Pourtant, lorsqu'elle le voit sortir une montre de sa poche et s'écrier : « Je suis en retard ! En retard ! En retard ! », elle se dit que décidément ce lapin a quelque chose de spécial. En entrant derrière lui dans son terrier, elle fait une chute presque interminable qui l'emmène dans un monde aux antipodes du sien. Elle va rencontrer une galerie de personnages retors et se trouver confrontée au paradoxe, à l'absurde et au bizarre…
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Dim 10 Mar 2013, 10:59
sujet remonté;à ne pas rater cette semaine au cinéma!
« Nos croyances ne nous appartiennent pas. Depuis les entrailles jusqu’à la tombe, nous sommes liés aux autres. »
« Des croyances comme la peur ou l’amour sont des forces à comprendre comme nous comprenons la théorie de la relativité et les principes de l’incertitude. Un phénomène qui détermine le cours de nos vies. Hier, ma vie avait pris une direction. Aujourd’hui, elle en prend une autre. Hier, je n’aurais jamais cru pouvoir faire ce que je fais aujourd’hui. Ces forces qui souvent refondent le temps et l’espace, et qui altèrent ceux que nous imaginons être, commencent bien avant notre la naissance et continuent après notre mort. Nos vies et nos décisions sont écoutées à chaque instant, à chaque point d’intersection et à chaque rencontre, elles suggèrent potentiellement une nouvelle direction. »
« A ce moment de ma vie, tout ce que je sais, c’est que ce monde est bouleversé par les mêmes forces invisibles qui troublent nos coeurs. »
(c 'est le film que j 'attend avec le plus d 'impatience cette année et proposé ici plus haut ce 26 octobre)
Citation :
« - Dans tes Révélations tu as mentionné que les conséquences de la vie d’un individu se répètent dans l’éternité. Cela veut-il dire que tu crois en une vie après la mort ? Et non au Paradis ou à l’Enfer ? - Je crois qu’ici, n’est qu’une porte. Lorsqu’elle se ferme, une autre s’ouvre. Si je devais imaginer le Paradis, je le verrai comme une porte. »
« Si j’étais restée invisible, la vérité aurait été occultée. »
« Je comprends maintenant, que ces limites, entre le son et le bruit sont des conventions. Toutes les limites sont des conventions, qui attendent d’être transcendées. Chacun peut dépasser n’importe quelle convention, si d’abord, on peut concevoir soi-même de le faire. Dans de tes instants, je peux sentir ton coeur battre aussi clairement que s’il s’agissait du mien. Et je sais que cette séparation est une illusion. Ma vie s’étend bien au-delà de mes propres limites. »
« J’essaye de comprendre quelque chose. Pourquoi commettons-nous toujours les mêmes erreurs, encore et encore ? »
« L’industrie des génomes a besoin d’une grande quantité de bio-matières pour les élevages de vers. Et le plus important, pour nourrir la force de travail manipulée. Les clones recyclés sont une source de protéines qui coûte peu… De la soupe. Ils sont nos propres aliments. (…) Les systèmes qui l’ont construit doivent être éteints. Peu importe si nous naissons dans un vivier ou sous la forme de ver, nous sommes tous Sang-pur. Nous devons tous lutter. Et s’il le faut, mourir. Pour montrer aux gens… La vérité. »
« - Adam, écoute-moi… si ce n’est pour toi, fais-le pour mon petit-fils… Il y a un ordre naturel dans ce monde, et ceuix qui veulent le modifier ne finissent pas bien. Ce mouvement ne survivre jamais. Si tu les rejoins vous serez rejeté toute ta famille et toi. Au mieux, ton existence sera celle d’un paria, sur lequel on crache et que l’on frappe. Au pire, tu seras lynché et crucifié. Et pourquoi ? Pourquoi ? Quoi que tu fasses, ne jamais parvenir à n’être autre chose qu’une seule goutte dans l’océan sans limite. - Mais qu’est-ce qu’un océan, si ce n’est une multitude de gouttes ? »
Le film, qui cite d’ailleurs Castaneda et Soljenitsyne, est basé sur le roman La Cartographie des Nuages.
proposé aussi par JSF
Cartographie des nuages (Cloud Atlas) est le troisième roman du Britannique David Mitchell, paru pour la première fois en 2004.
Invité Invité
Sujet: Jack, le Chasseur de Géants Mar 12 Mar 2013, 22:59
Jack le Chasseur de Géants Bande Annonce VF (2013)
Citation :
Jack, un jeune ouvrier agricole [qui va libérer une princesse], ouvre malencontreusement un passage entre notre monde et celui d'une terrifiante race de géants. Débarquant sur la Terre pour la première fois depuis des siècles et des siècles, les géants n'ont qu'un objectif : reprendre le territoire qu'ils ont jadis perdu...
Jack le chasseur de géants - Bande-annonce 2 VF
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Sujet: L'ésotérisme des contes Mer 13 Mar 2013, 20:17
L'ésotérisme des contes
Une fois n’est pas coutume, c’est dans l’univers des contes que je vous inviterai, cette fois-ci, à approfondir les mystères de l’Initiation. Ce fut autrefois, comme vous le savez, un des moyens qu’utilisèrent les anciens initiés pour transmettre et infuser leurs connaissances dans les différentes traditions populaires aux quatre coins du monde, en particulier pour les soustraire à la malveillance de l’Inquisition lorsqu’elle entreprit de museler les porteurs de l’ancien savoir occulte. En voici un exemple, parmi bien d’autres, extrait des contes de Grimm (KHM 133) :
« Il était une fois un roi qui avait douze filles, plus belles les unes que les autres. Elles dormaient ensemble dans une salle où leurs lits se trouvaient alignés l'un à côté de l'autre, et chaque soir, dès qu'elles étaient couchées, le roi refermait la porte et poussait le verrou. Chaque matin cependant quand il ouvrait la porte, il constatait que leurs souliers avaient été usés par la danse et personne n'était capable d'élucider le mystère. Le roi fit alors proclamer que celui qui trouverait où dansaient les princesses toutes les nuits, pourrait choisir une de ses filles pour épouse et deviendrait roi après sa mort. Mais le prétendant qui, au bout de trois jours et trois nuits, n'aurait rien découvert, perdrait la vie. »
Il est évident que nous avons à faire ici d’entrée à un appel aux forces de clairvoyance. Imaginer qu'il puisse s'agir là de pure fantaisie en s'efforçant laborieusement d'en faire une psychanalyse à la mode actuelle c'est tout simplement ne rien connaître à ce qui se trouve ici transmis. D’autre part je n’apprendrai rien à personne en soulignant en préambule que les jeunes filles sont douze à l’image des douze signes du zodiaque, et qu’il s’agit, par conséquent en ce cas d’une initiation aux mystères de l’Espace, à ceux de la Voie décrite en ce blog comme celle d’En haut donc, et non à celle, inverse, conduisant aux mystères du septénaire et du Temps. En d’autres termes,celui qui parviendrait à élucider ce mystère des mondes supérieurs pourrait, selon le conte, se choisir celle d’entre les filles du roi qui lui plairait. Il faut considérer, en effet, que l’âme est elle-même toujours d’essence féminine en ésotérisme, en tant qu’image de la vie intérieure en regard de l’activité sur elle des forces émanant du monde extérieur. Ceci étant une constante invariable en toutes les traditions (1). Quant au délai requis, c'est au grand mystère des trois jours de l'initiation antique qu'il est fait allusion, et partant à l'investigation des arcanes de la mort. L'exécution des princes en découle directement. Mais poursuivons:
Bientôt, un prince se présenta qui demanda à courir le risque. Il fut très bien accueilli, et le soir on le conduisit dans la chambre contiguë au dortoir des filles royales. On lui prépara son lit d'où il devait faire attention à l'endroit où elles se rendraient pour danser, et pour qu'elles ne puissent rien faire en secret, la porte de la salle demeura ouverte. Mais un sommeil de plomb s'empara bientôt du prince et lorsqu'il se réveilla le matin, il ne put que constater que les princesses avaient été au bal et avaient dansé toutes les douze, les semelles de leurs souliers rangés sous leurs lits étant toutes percées. Les deuxième et troisième soirs il n'en fut pas autrement et il fut décapité sans miséricorde. Beaucoup se présentèrent ensuite qui tous y laissèrent la vie. Il se trouva pourtant un jour qu'un pauvre soldat qui avait eu une blessure et ne pouvait plus servir dans l'armée, entra dans la ville où régnait le roi. En chemin, il rencontra une vieille femme qui lui demanda où il se rendait.
- Je ne le sais pas vraiment moi-même, répondit-il, mais j'aurais bien aimé découvrir où toutes ces princesses dansent la nuit et devenir roi ! - Ce n'est pas si difficile, dit la vieille femme, il faudrait que tu ne boives pas le vin que l’une d’entre elles te servira le soir et que tu fasses semblant d'être profondément endormi. Puis, elle lui tendit une cape et lui dit : - Si tu mets cette cape, tu deviendras invisible et tu pourras ainsi les suivre toutes les douze.
Cette vieille femme est analogue à celles que Steiner nomme "Femmes sages" et que nous rencontrons en maintscontes, en particulier dans les contes serbes, où elles travestissent les envoyés du Destin. Quant à la caped’invisibilité elle est une faculté que seul un initié de haut rang peut acquérir ou transmettre. Rudolf Steiner y faitallusion à plusieurs reprises et le Maître Philippe de Lyon était accoutumé de s’en servir au grand ébahissement deceux qui l’approchaient (2).
Fort de ce conseil qui lui parut sérieux, il prit son courage à deux mains et se présenta devant le roi en tant que prétendant. Il fut aussi bien reçu que les autres et revêtu d'un habit princier. Le soir venu, lorsqu'il fut l'heure de dormir, il fut conduit dans l'antichambre des filles royales et alors qu'il s'apprêtait à se coucher, la princesse aînée lui apporta un gobelet de vin qu’il renversa discrètement. Il se coucha, puis il attendit un peu avant de se mettre à ronfler comme s'il dormait profondément.
Qu’est-ce à dire ? Nous touchons là au point central, au cœur de l’Initiation, laquelle consiste précisément à pénétrer dans les états de rêve, puis de sommeil profond, sans aucunement perdre conscience, mais en toute lucidité comme en autant de mondes suprasensibles : en l’occurrence les mondes astral et spirituel où l’âme se répand pendant le sommeil. Ne pas sombrer dans l’inconscience, ou même seulement dans le rêve, en plongeant dans le sommeil telle était la clef première de l’antique Initiation ainsi que le décrivait déjà voici près de 5000 ans l'épopée de Gilgamesh. La suite du conte le démontre amplement :
Dès que les princesses l'entendirent, elles se mirent à rire et l'aînée dit :
- Celui-là aussi aurait pu s’épargner la vie !
Là dessus elles se levèrent, ouvrirent les armoires et les coffres, en sortirent des robes magnifiques et se parèrent devant le miroir, sautillant ici et là, se réjouissant par avance de la danse. Seule la plus jeune s'inquiéta :
-Je ne sais pas, vous vous réjouissez, mais moi j'aicomme un pressentiment qu'un malheur nous attend. - Tu n'es qu'une oie blanche qui a peur de tout, fit l'aînée. As-tu déjà oublié combien de princes nous ont déjà épiées en vain ? Quant au soldat, je n'aurais même pas eu besoin de lui donner un somnifère pour l'endormir : il ne se serait même pas réveillé ! Quand elles eurent toutes fini de s'habiller, elles allèrent jeter un coup d'œil sur celui-ci, mais il avait les yeux fermés, ne bougeait ni ne s'agitait ; elles en conclurent qu'il n'y avait rien à craindre. L'aînée s'approcha de son propre lit et frappa. Aussitôt celui-ci s'enfonça sous terre dévoilant une trappe et les douze sœurs descendirent l'une derrière l'autre par cette ouverture, l'aînée la première. Le soldat, qui avait tout vu, n'hésita pas longtemps : il s'enveloppa dans sa cape et descendit derrière la cadette.Au milieu de l'escalier, il marcha un peu sur sa robe ; la jeune princesse eut peur et s'écria :
- Qu'est-ce que c'est ? Qui est-ce qui tient ma robe ? - Ne soit pas sotte, fit l'aînée, tu as dû juste t'accrocher à un clou.
Elles descendirent tout en bas et se retrouvèrent dans une allée merveilleuse. Toutes les feuilles des arbres y étaient d'argent qui brillaient et scintillaient.
Le monde lunaire
Ce qui s’ouvre alors au regard intérieur de l’initié c’est le monde lunaire des âmes – car il s’agit bien désormais du regard de l’âme, et non plus du corps, ce dernier demeurant avec le corps éthérique dans le lit, tandis que le corps astral et le Moi s’en évacuent pour plonger dans ce qu’on nomme en ésotérisme le plan astral où se déploie la féerie du monde imaginal et le jeu permanent des métamorphoses. Rien en ce monde n’étant figé, fixe, mais mobilis in mobile, libre de forme et semblable à la fluidité d’un océan de vie. En l'occurrence le monde des âmes.C'est ce qui correspond chez le profane à la conscience de rêve.
- Il faut que je garde une preuve, se dit le soldat. Il cassa une ramille d'un arbre qui fit un grand craquement. De nouveau la cadette s'effraya : - Il se passe quelque chose s'écria-t-elle, anxieuse, avez-vous entendu ce bruit ?! Mais l'aînée la tranquillisa : - Ce sont des salves de joie parce que nous allons bientôt délivrer nos princes.
Le monde solaire
Le monde imaginal lunaire se fusionne ensuite ici avec la sonorité de ce que les Anciens nommaient le plan du Sonprimordial propre au monde solaire dont l’or est le symbole. Le corps astral s'élève et se dilate, en effet, durant le sommeil, au travers des trois mondes. Si seulement vous pouviez rester conscients lorsque vous plongez dans le sommeil c'est cela que vous découvririez et que le conte s'efforce de décrire en mots tout simples :
Elles arrivèrent ensuite dans une autre allée où les feuilles étaient en or, et finalement dans une troisième où les arbres étaient de pur diamant.
Le monde stellaire
Symbole cette fois de la sphère des étoiles fixes où l’homme a son origine et sa vraie patrie, son Etoile et le lieu de son Moi supérieur…
Dans chacune le soldat brisa une petite ramille d'où retentissait à chaque fois un grand craquement qui faisait tressaillir la cadette, mais l'aînée persistait à dire qu'il s'agissait bien de coups de canon en leur honneur. Elles continuèrent leur chemin et parvinrent à une grande étendue d'eau ;sur elle voguaient douze nacelles et dans chacune un beau prince, chacun dans l'attente de sa princesse. Le soldat prit place auprès de la plus jeune. - Je ne comprends pas, s'étonna le prince, la barque me semble aujourd'hui plus lourde qued'habitude. je dois ramer de toutes mes forces pour avancer. - D'ou cela peut-il provenir sinon de la chaleur d'orage ? je me sens, moi aussi, mal à l'aise. Sur l'autre rive brillait un palais magnifique tout illuminé d'où s'échappait une joyeuse musique de timbales et de trompettes. Les princes et les princesses accostèrent, entrèrent dans le palais, puis chaque prince invita la princesse de son choix à danser.
C’est là, dans l'harmonie de ce que Platon décrit comme la Musique des sphères, que l’âme rencontre enfin celle que les anciens Germains nommaient la Valkyrie (3), sa conscience supérieure à laquelle il se fusionne chaque nuit– mais sans le savoir – et qui l’accueille lorsqu’il se dépouille de son corps physique à la mort. C’est en ce lieu sublime qu’elle se mêle à la ronde infinie des planètes et dans l’immense accord de ce que les Anciens nommaient le chœur des étoiles. C’est cette félicité de l’âme à ce stade que l’ésotérisme nomme "hiérogamie", l'union de l'âme et de l'esprit réalisant alors la plénitude de l'être.
Le soldat, toujours invisible, dansa avec eux, et chaque fois qu'une princesse prenait une coupe dans la main, il buvait le vin qu'elle contenait avant qu'elle n'ait pu approcher la coupe de ses lèvres. La plus jeune princesse en était toute troublée mais l'aînée était toujours là pour la rassurer.Ils dansèrent ainsi jusqu'à trois heures du matin, les semelles des souliers des princesses étant usées à jour elles durent s'arrêter. Les princes les reconduisirent sur l'autre rive, le soldat, cette fois, en avant à côté de l'aînée. Les princesses firent leurs adieux aux princes et promirent de revenir la nuit suivante. Sur le retour, le soldat les devança, s'élança dans l'escalier et sauta dans son lit.
Les phases se déroulant maintenant à rebours, les âmes retrouvent le plan physique, réintègrent leurs corps endormis en lesquels viennent s’enclore les "robes", autrement dit les auras de leurs enveloppes suprasensibles.Que l'on songe seulement aux "robes" – couleur de lune, de soleil et d'étoile – des innombrables princesses des contes, toutes à l'image de la métamorphose de l'aura humaine au cours de son initiation au travers des trois mondes : d'argent, d'or et de cristal, jusqu'à ce que l'on désignait autrefois comme le "ciel de cristal" précisément (4).
Et lorsque les douze princesses fatiguées arrivèrent en haut à petits pas, dans la chambre un ronflement très fort résonnait déjà. Les princesses l'ayant entendu, se dirent :
- Avec celui-là, il n'y a rien à craindre.
Alors elles ôtèrent leurs robes et rangèrent leurs souliers usés sous les lits puis elles se couchèrent.Le lendemain matin, le soldat décida de ne rien dire. Il avait envie d'aller au moins une fois encore avec elles pour être témoin de cette merveille. Il suivit donc les princesses la deuxième et la troisième nuit et tout se passa exactement comme la première fois ; les princesses dansèrent jusqu'à ce que leurs souliers soient usés jusqu'à la corde. La troisième nuit, le soldat emporta une coupe comme preuve.
La coupe de mémoire que l’initié ne reçoit qu’au terme de son initiation...
Lorsque l'instant fut venu où le soldat dut donner la réponse au roi, il prit dans sa poche les trois petites branches ainsi que la coupe, et il se présenta devant le trône. Les douze princesses se tenaient derrière la porte pour écouter ce qu'il allait dire. Lorsque le roi eut demandé : - Où mes douze filles ont-elles usé leurs souliers à la danse ?
Il répondit : - Avec douze princes dans un palais souterrain, puis rapporta ce qui s'était passé et mit sous lesyeux du roi les preuves. Le roi fit venir ses filles et leur demanda si le soldat avait dit la vérité. Celles-ci, voyant que leursecret était découvert et qu'il ne servait à rien de nier, durent, bon gré mal gré, reconnaître lesfaits. Lorsqu'elles eurent avoué, le roi demanda au soldat laquelle des douze princesses il souhaitaitépouser. - Je ne suis plus un jeune homme, dit le soldat, donnez-moi votre fille aînée. Les noces eurent lieu le jour même et le roi promit au soldat qu'après sa mort il deviendrait lui-même roi.
Et pour que les choses soient bien claires, le conte se clôt sur une parole de première importance signant définitivement l’origine initiatique de l’ensemble, en ce sens qu’il se trouve précisé en une simple phrase lumineuse le nombre d’années exact que l’âme doit passer dans le monde astral après sa mort, en ce que la tradition occidentale nomme Purgatoire donc : autant de temps que de nuits qu’elle aura passées sur terre dans l’inconscience de ce qu’elle y aura vécu, soit approximativement 1/3 de sa vie :
Mais les princes furent de nouveau ensorcelés autant de jours qu'ils avaient dansé de nuits avec les douze.»
Vous savez donc maintenant ce qui vous attend. Bonne nuit... WH.
1. « L'Eternel Féminin toujours plus haut nous attire. » (Goethe, Faust II, chœur final) 2. Cf. Vie & Paroles du Me Philippe (Anecdotes) en lien sur ce blog. 3. La Béatrice de Dante lors de sa traversée des trois mondes de sa Divine Comédie. 4. Les contes russes d'Afanasjev, et bien d'autres, obéissent à la même symbolique. Il ne saurait en être autrement.
Pour le simple plaisir enfin cette vidéo en allemand d'une adaptation cinématographique récente sur ce thème qui permettra de mesurer l'entropie matérialiste de l'expression par rapport à la force imaginativedu conte original :
Vidéo : Les chaussures usés - quatre en une seule fois, 2011
http://www.veoh.com/watch/v26484595aZ2yFCqn ou http://www.veoh.com/watch/v26484595aZ2yFCqn?h1=Die+zertanzten+Schuhe++-+Vier+auf+einen+Streich+2011
http://spfc441.blogspot.hu/
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Mar 16 Avr 2013, 23:24
Avec Timothy Hutton, Joely Richardson, Rainn Wilson, Rhiannon Leigh Wryn, Chris O'Neil, Kathryn Hahn, Michael Clarke Duncan
Noah et sa soeur Emma ouvrent l'étrange boîte qu'ils ont trouvé sur la plage, et découvrent quelques bizarreries et un lapin en peluche, que la petite fille baptise Mimzy. D'ou viennent CES objets, et à quoi peuvent-ILS servir ? Les enfants commencent à développer d’extraordinaires capacités. Emma possède d'inexplicables pouvoirs psychiques et Noah, qui n'a jamais été fort à l'école, devient un génie scientifique. Il est même capable de déplacer des objets par sa seule volonté. Larry, le professeur de Noah, comprend que les enfants sont en train d'être transformés dans le but d'accomplir quelque chose qui les dépasse... Face aux adultes, face au FBI et aux scientifiques qui s'intéressent à eux et à leurs mystérieux jouets, Emma et Noah vont devoir s'en sortir seuls et protéger leur trésor car, ils le sentent, le destin de l’humanité est en jeu, et Mimzy est la clef…
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Sujet: L'Or de Cinabre Jeu 21 Nov 2013, 19:54
L'Or de Cinabre
Il y avait jadis un royaume sublime à la surface du Soleil. Ainsi les hommes de ce temps-là habitaient-ils l'astre du jour. Oh bien sûr ! Ils ne nous ressemblaient guère, avec leurs yeux de flammes et leurs corps de lumière. La brûlante atmosphère des lieux leur était aussi douce qu'une brise légère qui vous caresse le visage en été.
Au centre du Soleil se tenait la cour d'un Roi fort bon et fort sage, qui gouvernait avec tendresse la multitude joyeuse de ses sujets. Parmi eux, on distinguait un petit alchimiste nommé Cinabre, dont la mission était de concentrer la lumière du Soleil pour en faire de l'or. Puis on lançait cet or dans le vide afin d'illuminer les ténèbres, comme le font les étoiles dans la Nuit.
Souvent, le Roi visitait l'atelier de Cinabre et se réjouissait du travail accompli. Une fois, il arriva que la pépite d'or était si grosse qu'elle força l'admiration de tous. Beaucoup ne croyaient pas qu'il fût possible de surpasser une telle création. Quand la pierre d'or fut lancée dans le ciel, la splendeur solaire fut plus manifeste que jamais et les enfants de lumière, ravis, contemplèrent le prodige qui dévorait la Nuit.
Cinabre, satisfait du résultat, se remit bientôt à la tâche. Il entreprit de fusionner une pépite plus grosse encore. Avec patience et précision, il capta longuement la lumière naissante jusqu'à l'accomplissement de son projet. L'œuvre achevée, il l'offrit avec un serrement de cœur à son Roi. Celui-ci le remercia grandement et lorsqu'on projeta ce nouveau point d'or aux frontières des ténèbres, il sembla défier le Soleil lui-même, tant il brillait fort et loin, inondant de sa chaude présence la ronde des sept sphères. La gloire de Cinabre était sans pareille et le Roi lui promit en mariage Lucie, sa propre fille.
Tandis que l'on préparait les noces, Cinabre retourna dans son atelier, et désirant offrir à sa bien-aimée un présent digne de sa royale condition, il décida de fondre une pierre d'or dont la qualité dépasserait celle de toutes les pépites déjà fabriquées jusqu'à lors. Sa tâche fut terrible et pourtant exaltante, car il gardait l'image de Lucie présente devant ses yeux, tout le temps qu'il œuvrait à ses fourneaux.
Enfin, la pierre fut achevée ; elle avait de fort modestes dimensions et tenait aisément dans la main, comme un petit pépin de pomme. Mais sa lumière était si intense que même les yeux de flammes ardentes de Cinabre furent aveuglés par son éclat. Quand il vit cette pierre, il ne vit plus rien d'autre, et se perdit dans sa contemplation, oubliant Lucie et le royaume du Soleil.
Lucie s'inquiéta de l'absence de Cinabre ; elle s'en vint frapper à la Porte de son atelier. Entendant la douce voix qui l'appelait, l'alchimiste sursauta, puis, craignant de devoir maintenant céder une si pure merveille, il avala le grain d'or avant d'ouvrir à la fille du Roi. Celle-ci remarqua l'intensité extraordinaire de la flamme qui brillait dans les yeux de son fiancé, mais elle prit cela pour une marque d'amour et accepta ses paroles qui se voulaient rassurantes.
De nouveau seul, Cinabre essaya mais en vain de recracher son trésor ; le feu de la pierre brûlait de plus en plus fort à l'intérieur de son corps, si bien qu'il dut sortir au dehors, et, appelant un aigle de feu, atteignit grâce à lui la périphérie du royaume. Il espérait rendre la chaleur de son corps plus tolérable loin du Soleil. Mais cela ne suffit pas, et il dut appeler un grand dragon de lumière, capable de le porter juqu'aux Marches de la Nuit. Le dragon le déposa aux Portes du Chaos et s'en retourna vers le royaume. Cinabre demeura un instant hésitant, dans sa solitude grise, puis n'y tenant plus, il franchit la frontière pour calmer la fournaise de son corps. Il vagabondait dans le noir glacial absolu, abandonnant tout espoir de retrouver la Porte du Soleil, car une fois franchie les Portes du Chaos, nul repère n'était plus perceptible. Hélas, dans les ténèbres, sa peine ne fut pas amoindrie ; le feu de l'or brûlait toujours autant à l'intérieur, tandis que le froid du néant le glaçait au dehors.
Alarmés par l'absence prolongée de l'alchimiste, le Roi et sa fille ne tardèrent pas à comprendre ce qui s'était passé. En voyant l'atelier abandonné, grand ouvert, les fourneaux encore allumés, ils s'enquirent auprès des aigles et des dragons ailés de l'itinéraire de Cinabre. Puis le Roi demanda à ses chevaliers de partir à la recherche de l'alchimiste, égaré dans les méandres de la Nuit. Nombreux furent ceux qui, spontanément, acceptèrent cette quête, en souvenir de toutes les belles choses qu'avait créées Cinabre ; et c'est plein d'espoir que toute une armée de lumière alla rejoindre les Portes du Chaos. Là, les plus courageux se relièrent les uns aux autres avec un fil d'or tressé dans les cheveux de Lucie, puis ils accrochèrent une extrémité du fil aux Portes du Chaos, afin de retrouver l'issue, une fois franchi le gouffre de l'abîme. La guilde des alchimistes offrit à chacun des aventuriers une petite pépite dor afin qu'ils puissent être éclairés même dans la Nuit la plus complète. Ainsi prémunis, douze valeureux chevaliers pénétrèrent dans le Chaos. S'étant assurés de la solidité du fil d'or et de la luminosité de leurs pierres, ils appelèrent Cinabre de tout leur cœur, mais nul écho ne revint des profondeurs du néant. Ils désespéraient de retrouver leur ami, lorsqu'ils remarquèrent que leurs pépites brillaient davantage dès qu'ils s'orientaient dans un certain sens. Cédant à cette indication, ils finirent ainsi par découvrir Cinabre, qui se tenait immobile, le corps informe, tel une ombre vague qui se confondait presque avec la couleur de la Nuit. Ayant senti l'approche des chevaliers, l'alchimiste ouvrit les yeux, et deux flammes rouges et fumantes jaillirent, épouvantant les douze sauveurs ; les yeux rouges évoquaient la plus atroce des douleurs. Cinabre, en voyant les pierres d'or, crut dans sa folie être de retour au royaume du Soleil, et craignant sa chaleur, s'enfuit comme une bête sauvage, esquivant la main tendue des douze compagnons. Constatant leur échec, ceux-ci décidèrent de retourner informer le Roi de la situation.
Après avoir longuement médité, le Monarque réunit les douze plus grands artistes du royaume. Ces derniers reçurent pour mission de créer dans le néant l'espace d'un sanctuaire qui ne serait fait ni de ténèbre ni de lumière, et d'y amener l'alchimiste pour qu'il y apaise ses souffrances à la fois torrides et glacées. Avec tout l'amour de leur Art, et la compassion qu'ils gardaient pour Cinabre, les Douze parvinrent à nouer l'ombre de la lumière et l'éclat de la Nuit, façonnant un jardin qui soit un lieu de repos pour l'exilé. Quand ce lieu fut achevé, les artistes demeurèrent à la limite de leur création, pour surveiller et entretenir ce délicat chef-d'œuvre. Ainsi faisant, ils chantaient une mélopée si prenante que, malgré l'inertie du vide, ce chant finit par attirer Cinabre dans les parages. D'abord méfiant, l'alchimiste se laissa convaincre, et s'introduisit dans le monde créé pour lui. Alors, pour la première fois depuis longtemps, sa douleur s'apaisa ; il put jouir d'un répit relatif, et peu à peu, la folie régressa.
Quand Cinabre fut assez calmé, un messager du Roi pénétra dans le jardin et lui rappela sa vraie mission d'alchimiste, au royaume du Soleil. Cinabre l'écouta attentivement, et se souvint des merveilles que jadis il pouvait créer. Il voulut à nouveau reprendre son travail, mais comme il craignait la chaleur du Soleil et qu'il ne croyait pas qu'il fût possible de recracher la maudite pierre d'or qui consumait son corps inexorablement, il décida, à l'aide de souvenirs confus, de fabriquer un nouvel atelier au sein même de son jardin. Cependant, il ne disposait plus de la vraie lumière, et cet or n'était que la part de l'ombre, tandis que son or intérieur le poussait encore et encore à renouveler ses expériences. Cinabre déclarait volontiers qu'il était satisfait de ses oeuvres, qui éclairaient telles des lumignons les arbres et les buissons du jardin. "Cette lumière-là, au moins, se plaisait-il à penser, ne risque pas de me brûler." Ainsi il allait, seul et affairé, prisonnier satisfait de son sort... Un jour, il advint que, voulant concentrer à l'excès l'énergie du jardin pour en faire jaillir un petit soleil dans son ciel taciturne, Cinabre ne put contrôler l'échauffement de son fourneau et une explosion s'ensuivit. Tout le jardin s'embrasa et le corps dégénéré de l'alchimiste ne fut pas insensible aux flammes de l'ombre : il se consuma à son tour.
Les douze artistes, désolés de leur échec, revinrent au royaume annoncer la triste nouvelle au Roi. Celui-ci ne s'attarda pas dans l'affiction mais renvoya douze paysans pour mettre de l'ordre dans ce qui restait du jardin calciné. Les paysans recueillirent les cendres et en firent des montagnes ou des collines. Puis ils redressèrent les arbres et nettoyèrent le centre du jardin afin d'y replanter des graines de fleurs qui poussent sur le Soleil. Bien sûr en ce lieu maudit, les fleurs ne pouvaient éclore, mais ces graines permettaient, par leur seule présence, de revivifier le sol. Enfin, prenant le corps brûlé de Cinabre, qui gisait inerte dans les décombres, ils surent qu'il vivait encore car deux braises ardentes rougeoyaient au fond de ses yeux. On fit venir un tisserand qui fabriqua pour l'infortuné une tunique de peau, faite de cendre et d'ombre. Peu à peu, l'alchimiste reprit conscience. Parce qu'il avait oublié bien des choses de sa vie passée, il s'habitua facilement à son nouvel environnement, et il trouva toute naturelle la vie laborieuse qu'il devait mener pour survivre sur la terre sombre. Une végétation avait repoussé, fragile et opaque, lui permettant juste de nourrir son nouveau corps. Le tisserand profitait des heures de sommeil pour réparer l'usure et les accrocs de la tunique de peau. On discernait à peine la scintillance d'une étincelle au fond des yeux de l'exilé, qui regardait parfois, dans un songe interrogateur, le firmament obscur de son petit univers. Mais les chaînes de l'inconscience lui faisaient bientôt baisser la tête, qu'il enfouissait alors dans un tas de cendres, avant de se rendormir, oublieux de son origine.
Le bon Roi savait tout cela, et des larmes vinrent à couler sur ses joues. Quand Lucie vit son père pleurer, elle lui demanda la permission de recueillir ses larmes dans une coupe de cristal. Le Roi, sanglotant de plus bel, céda à l'étrange caprice de sa fille et la serra contre son cœur. Or Lucie, toute émue, ayant rempli sa coupe de larmes royales, prit à son tour le chemin qui mène aux Portes du Chaos. Des gardiens voulurent la dissuader de tenter l'aventure, mais elle franchit résolument la frontière de la Nuit, tout en n'oubliant pas de s'encorder au fil d'or demeuré noué aux Portes fatales. Malgré les souffles putrides qui environnaient le jardin, malgré la gangue épaisse qui en interdisait l'accès, Lucie trouva l'entrée où résidait le tisserand. Ce dernier se proposa de lui fabriquer une tunique de peau, afin qu'elle s'en vêtisse comme d'un voile, pour ne pas effrayer l'hôte du jardin par sa trop lumineuse présence. Lucie, d'abord dégoûtée par la tunique si terne, accepta, par amour pour Cinabre, de l'endosser. Munie de sa coupe, elle retrouva donc l'alchimiste qui s'apprêtait à s'endormir. Malgré la tunique opaque, Cinabre fut subjugué par la nouvelle venue. Le regard de la belle était clair, joyeux et limpide comme l'eau vive d'une source. La fille du Roi prit la parole ; les accents de sa voix réveillaient dans le coeur de son fiancé d'étranges images, comme l'écho fortement assourdi d'une gloire enfuie. Quand la visiteuse lui proposa de boire à la coupe, Cinabre accepta volontiers, le visage éclairé par la douce aura qui émanait du cristal. Ayant bu, un grand trouble parcourut son corps, car les larmes du Roi cheminaient vers son âme et suscitaient le remords. Enfin, Cinabre pleura à son tour et dans un hoquet ultime recracha la pierre d'or, qui retomba dans la coupe. Instantanément, le jardin s'illumina, les graines enfouies germèrent, et bientôt les fleurs de Soleil s'épanouirent dans la lumière de la pierre d'or libérée. Comme s'il émergeait d'un très long sommeil, Cinabre regarda Lucie et parut enfin comprendre. Alors la Fille du Roi lui montra la sortie du jardin et, emportant la coupe et la pierre, ils abandonnèrent sans regrets leurs tuniques de peau.
Progressivement, le corps glorieux de Cinabre se régénérait, tandis qu'il tenait la coupe dans la main droite pour éclairer son chemin. Le couple aventuré se hâta vers la Porte du Soleil. Quand Lucie et Cinabre se présentèrent au Palais du Roi, ils étaient suivis d'une foule innombrable qui chantait, pleurait et riait d'allégresse. Le Roi, considérant l'ampleur du miracle, fit sonner toutes les cloches du Royaume pour accueillir le retour des enfants prodigues. Ainsi, dans la jubilation générale, on célébra le mariage de la Princesse et de l'Alchimiste, renouvelant de la plus belle manière l'éternelle alliance de la Lumière et du Feu.
Arianil
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Invité Invité
Sujet: Le cerf et la magicienne Jeu 19 Déc 2013, 20:42
Le cerf et la magicienne
Près d’une montagne construite par la main de l’homme, et célébrant les ancêtres venus des étoiles, un cerf solitaire avait défini son sanctuaire. Les forestiers qui parcouraient la forêt l’avaient souvent croisé et tous pouvaient témoigner de la majesté de l’animal qui sans peur les regardait passer. Parfois il sembla qu’à certains, il les regardait en les scrutant du regard et en leur lançant un avertissement dès qu’ils s’approchaient du temple des anciens. Des générations de forestiers témoignaient aussi de la présence du même cerf majestueux et il était devenu un dieu de la forêt car immuablement attaché à cette terre de magie primaire Au fur et à mesure que les années passaient, une légende fut créée. Celle de l’amour impossible entre une divinité et un animal aussi imposant que ce cerf. Pourtant, en dehors des forestiers, il y avait quelqu’un d’autre qui suivait les vies de la forêt. Un ermite du peuple des hommes habitait au sommet de la montagne et personne ne le savait. Il connaissait le pouvoir des runes, ouvrant les portes des plans, et ainsi il consignait pour les dieux, l’histoire du monde des hommes.
Un jour de passage entre le printemps et l’été, la forêt fut parcourue par une onde de magie lunaire. La pleine lune rayonnait de son aura et le grand cerf dressant sa tête vers elle appelait de toutes ses forces la magie de Gaya; Une jeune fille du peuple des hommes semblait attendre depuis sa naissance l’appel indéfini perdu dans le temps. Elle vivait dans une contrée éloignée de la forêt du cerf. Mais toute son enfance avait été dédiée aux plantes et aux petits peuples féeriques qu’elle seule pouvait voir et entendre. Quand elle devint une jeune femme, son corps reçut les vibrations des forces telluriques poussées par la mer intérieure qui parcourait en profondeur les grottes cachées de la terre. Cette magie inonda ses sens et elle entendit l’appel de la crypte de lumière que les forestiers parfois osaient citer à demi mot car elle était une légende et les hommes ont peur des légendes.
Qu’importait cette peur pour cette jeune femme, elle avait la grâce des fleurs, la force de la nature sauvage, la réception de toutes les magies primaires et elle s’abreuvait sans mesure à celle-ci. Dans sa 15°année, sa magie se manifesta d’elle même, car sa maison et ses parents furent attaqués par des bandits rebelles et assassins. Elle était comme à son habitude sur un tertre qu’elle avait consacré à Gaya. Elle avait aligné en cercle, des pierres que son père qu’elle aimait tant avait taillées dans la falaise de granit. Bientôt se tertre serait consacré à la lune et elle savait que pour elle se serait la révélation de sa présence sur ce monde. A son retour au logis, elle entendit des cris horribles et se précipitant, elle vit sa maman s’écrouler sur le chemin de terre en lui disant, « ma fille je meurs prends moi dans tes bras » désemparée, elle sentit naître en elle une force magique et puissante, elle poussa un cri puissant et dans sa course pria Gaya de l’aider. Elle vit son père, puissant bûcheron se battre avec désespoir face à quatre soudards qui l’avaient déjà meurtri de leurs flèches et qui semblaient s’amuser face à sa souffrance A cette vision son corps sembla se métamorphoser en lumière, une énergie puissante couleur indigo fut projetée vers les bandits les réduisant en cendres. Elle se trouva immédiatement contre le corps de son père qui exténué s’était écroulé près du puits. Elle cria sa souffrance et prit sa tête dans ses bras. Elle embrassa son père et pria pour qu’il vive, ne voulant pas demeurer seule au monde. Il lui sembla que très loin, le brame d’un cerf répondait à son cri.
Un miracle eut lieu, son père fut inondé dans une lumière bleue et les blessures disparurent. Il s’endormit. Pourtant la jeune femme semblait révéler au monde une puissance magique nouvelle et des portes s’ouvrirent dans la nature libérant le monde féerique qui venait saluer la révélation de la magicienne des plans endormis. Signe inscrit dans les annales des livres de la grande bibliothèque du monde englouti des anciens rois. La magicienne naquit dans le corps d’une jeune femme et pour elle arrivait le temps de l’initiation des sources d’Avalon. Elle demanda aux Elfes présents de prendre son père et de veiller sur son sommeil qui le placerait en protection dans le pays des brumes du monde de Saudeverne. Elle demanda aux nymphes de l’amour de retrouver sa mère et de préserver son âme dans le creuset du temps, son corps serait alors confié à Gaya dans le paradis de l’oubli. La magicienne prit son envol depuis ce jour de deuil et d’émoi. Elle regarda une dernière fois sa demeure d’enfant puis en saisissant les runes du destin, elle les jeta sur le chemin, elle conserva les quatre runes disposées aux quatre directions. Elle les déposa sur une flûte en roseau et souffla dedans. Les runes prirent alors la forme d’une porte de lumière mauve et blanche. Et la porte s’ouvrit laissant passer les mères d’Avalon, grandes druidesses de la connaissance. Elles la prirent dans leurs bras et elle s’abandonna à leur amour en s’affaissant de fatigue. Ainsi prit fin la naissance de la magicienne et le ressenti du cerf qui n’était autre que l’ermite de la montagne, celui qui dans les temps passés fut nommé Le Voyageur, moi-même.
A cet endroit, aussi, quand les glaciers commencèrent à étendre leur force de plus en plus loin, s’arrêta une petite migration d’un peuple du grand nord. Voici son histoire retenez là car sous les sept pierres dressées sommeille cette légende.
Ballesio Jean Marc
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Sujet: LE BERGER ET LA FILLE DU SOLEIL Mer 22 Jan 2014, 16:31
LE BERGER ET LA FILLE DU SOLEIL de « Les Incas du Pérou » par Sir Clements Markham, London, Smith, Elder & Co., 1910. pp. 408-415.
(NB : Traduction Google du texte)
Dans la Cordillère neigeuse au-dessus de la vallée de Yucay, appelé Pitu-Siray, un berger regardait le troupeau de lamas blancs destiné à l'Inca pour sacrifier au Soleil. Il était originaire de Laris, nommé Acoya-napa, un jeune très bien disposé et doux. Il se promenait derrière son troupeau, et commenca à jouer sur sa flûte très doucement et gentiment, sans avoir jamais rien ressenti des désirs amoureux de la jeunesse, ni rien savoir de ceux-ci. Il était en train de jouer négligemment de la flûte, le jour où deux filles du Soleil vinrent vers lui. Elles pouvaient se promener dans toutes les directions par les prairies verdoyantes, et ne jamais réussir à trouver une de leurs maisons pendant la nuit, où les gardiens et les portiers cherchaient á ce que rien n’entre qui pourrait leur faire du mal. Eh bien! les deux filles arrivèrent à l'endroit où le berger reposait tout à fait à son aise, et elles lui posèrent des questions sur ses lamas.
Le berger, qui ne les avait pas vu jusqu'à ce qu'elles parlent, fut surpris, et tomba sur ses genoux, pensant qu'elles étaient les modes de réalisation de deux des quatre fontaines cristallines qui étaient très célèbre dans ces régions. Donc, il n’osa pas leur répondre. Elles répétérent leurs questions sur le troupeau, et lui dirent de ne pas avoir peur, car elles étaient les enfants du Soleil, qui était maître de toute la terre, et pour lui donner confiance elles le prirent par le bras. Ensuite, le berger se leva et embrassa les mains. Après avoir parlé ensemble pendant un certain temps, le berger dit qu'il était temps pour lui de recueillir son troupeau, et demanda leur permission. La princesse aînée, nommée Chuqui-llantu, fut frappée par la grâce et la bonne disposition du berger. Elle lui demanda son nom et de quel endroit il était originaire. Il répondit que sa maison était à Laris et que son nom était Acoya-napa. Pendant qu'il parlait Chuqui-llantu jeta les yeux sur une plaque d'argent que le berger portait sur son front, et qui brillait et scintillait très joliment. Regardant de plus près, elle vit sur elle deux personnages, très subtilement combinés, qui étaient en train de manger un coeur. Chuqui-llantu demanda au berger le nom de cet ornement d'argent, et il dit que cela s’appelait Utusi. La princesse se retourna vers le berger, et prit congé de lui, emportant ainsi dans sa mémoire le nom de l'ornement et les personnages, pensant avec quelle délicatesse ils avaient été dessinés, semblant presque être, pour elle, vivants. Elle parla de cela avec sa sœur jusqu'à ce qu'elles arrivent à leur palais. En entrant, les portiers regardérent pour voir si elles avaient apporté avec elles ce qui pourrait faire du mal, car il a souvent été constaté que les femmes avaient apporté avec elles, caché dans leurs vêtements, des choses telles que des filets et des colliers. Après avoir bien regardé, les portier les laissérent passer, et elles allèrent trouver les femmes du Soleil en train de cuire et préparer les aliments. Chuqui-llantu dit qu'elle était très fatiguée de la marche, et qu'elle ne voulait pas de souper. Tous les autres soupérent avec sa sœur, qui pensait que Acoya-napa n'était pas celui qui pourrait causer des inquiétudes. Mais Chuqui-llantu était incapable de se reposer en raison du grand amour qu'elle ressentait pour le berger Acoya-napa, et elle regretta qu’il ne lui ait pas montré ce qui était en son cœur. Mais à la fin, elle s'endormit.
Dans le palais, il y avait de nombreux appartements richement meublés dans lesquels les femmes du Soleil habitaient. Ces vierges avaient été amenés des quatre provinces qui avaient été soumis á l'Inca, à savoir Chincha-suyu, Cunti-suyu, Anti-suyu et Colla-suyu. A l’intérieur, il y avait quatre fontaines qui coulaient vers les quatre provinces, et dans lesquelles les femmes se baignaient, chacune dans la fontaine de la province où elle était née. Ils ont appelé les fontaines de cette façon. Celle de Chincha-suyu s'appelait Chuclla-Puquio, celle de Cunti-suyu était connu comme Ocoruro-Puquio, Siclla-Puquio était la fontaine de l'Anti-suyu, et Llulucha-Puquio de Colla-suyu. Le plus bel enfant du Soleil, Chuqui-llantu, était enveloppé dans un profond sommeil. Elle avait un rêve. Elle crut voir un oiseau voler d'un arbre à l'autre, et chanter très doucement et gentiment. Après avoir chanté pendant un certain temps, l'oiseau descendit et regarda la princesse, en disant qu'elle ne devait sentir aucune douleur, car tout irait bien. La princesse dit qu'elle pleurait quelque chose pour lequel il ne pourrait y avoir aucun recours. L'oiseau chanteur répondit qu’un remède sera trouvé, et demanda à la princesse de lui dire la cause de son chagrin. Enfin Chuqui-llantu dit á l'oiseau le grand amour qu'elle éprouvait pour la jeune berger nommé Acoya-napa, qui gardait le troupeau blanc. Sa mort semblait inévitable. Elle ne pouvait avoir aucun remède, pour aller à celui qu'elle aimait tant, et si elle le faisait son père le Soleil ordonnerait de la tuer. La réponse de l'oiseau de chant, au nom de Checollo, était qu'elle devait se lever et s'asseoir entre les quatre fontaines. Elle était là pour chanter ce qu'elle avait le plus dans sa mémoire. Si les fontaines répétaient ses paroles, elle pourrait alors faire en toute sécurité ce qu'elle voulait. Disant cela l'oiseau s'envola, et la princesse se réveilla. Elle était terrifiée. Mais elle s'habilla très rapidement et se mit entre les quatre fontaines. Elle commença à répéter ce qu'elle se souvenait d'avoir vu des deux figures sur la plaque d'argent, en chantant :
" Micuc isutu cuyuc Utusi cucim"
Sous peu, toutes les fontaines commencérent à chanter le même verset. Voyant que toutes les sources étaient très favorables, la princesse alla se reposer pendant un petit moment, pendant toute la nuit elle conversa avec Checollo dans son rêve.
Quand le berger alla à sa maison, il se souvint de la grande beauté de Chuqui-llantu. Elle avait suscité son amour, mais il était attristé par la pensée que cet amour devait être sans espoir. Il prit sa flûte et joua cette musique déchirante qu'il lui fit verser beaucoup de larmes, et il se lamenta, en disant: « Ay ay ay pour le berger malchanceux et triste, abandonné et sans espoir, maintenant s’approche le jour de votre mort, car il n’y a pas de recours et pas d’espoir ». En disant cela, il alla dormir également.
La mère du berger vivait á Laris, et elle savait, par son pouvoir de divination, la cause de la douleur extrême dans laquelle son fils était plongé, et qu'il devait mourir, á moins qu’elle prenne disposition afin de fournir un remède. Alors elle partit pour les montagnes, et arriva à la cabane du berger au lever du soleil. Elle regarda et vit son fils moribond, avec son visage couvert de larmes. Elle entra et le réveilla. Quand il vit qui c'était, il commenca à lui dire la cause de son chagrin, et elle fit ce qu'elle pouvait pour le consoler. Elle lui dit de ne pas être le coeur brisé, parce qu'elle trouverait un remède dans quelques jours. En disant cela, elle s'en alla, et, passant entre les rochers, elle rassembla certaines herbes qui sont censées être des remèdes pour la douleur. Après en avoir recueilli une grande quantité elle commenca à les faire cuire, et la cuisine n'était pas terminé avant que les deux princesses apparaissent à l'entrée de la hutte. Pour Chuqui-llantu, quand elle était resté avec sa sœur pour une promenade sur les pentes verdoyantes des montagnes, en prenant la direction de la cabane. Son cœur tendre l'empêchait d'aller dans une autre direction. Quand elles arrivèrent, elles étaient fatiguées, et s'assirent à l'entrée. Voyant une vieille dame à l'intérieur elles la saluèrent, et lui demandérent si elle pouvait leur donner quelque chose à manger. La mère se mit à genoux et dit qu'elle n'avait rien, mais un plat d'herbes. Elle le leur apporta, et elles commencérent à manger avec bon appétit. Puis Chuqui-llantu fit le tour de la cabane sans trouver ce qu'elle cherchait, car la mère du berger avait fait s'allonger Acoya-napa á l’intérieur de la cabane, sous un manteau. Alors la princesse pensa qu'il était allé après son troupeau. Puis elle vu le manteau et dit à la mère que c'était un très joli manteau, demandant d'où il venait. La vieille femme lui dit que c'était un manteau qui, dans l'Antiquité, appartenait à une femme aimée par Pachacamac, une divinité très célèbre dans les vallées de la côte. Elle dit qu'il était venu á elle par héritage, mais la princesse, avec beaucoup de caresses, le mendia pour elle jusqu'à ce qu'enfin la mère consentit. Lorsque Chuqui-llantu le prit dans ses mains elle aima cela mieux qu'avant et, après être restée un court moment de plus dans la hutte, elle prit congé de la vieille femme, et marcha le long des prairies à la recherche dans l'espoir de le voir, chose qu’elle désirait. Nous ne parlerons pas davantage de la sœur, comme elle tombe maintenant hors de l'histoire, mais seulement de Chuqui-llantu. Elle était très triste et pensive quand elle ne vit aucun signe de son berger bien-aimée sur son chemin de retour au palais. Elle était dans une grande tristesse de ne pas l’avoir vu, et quand, comme d'habitude, les gardes regardérent ce qu'elle apportait, ils ne virent rien que le manteau. Un souper splendide fut donné, et quand tout le monde alla au lit la princesse pris le manteau et le placa à son chevet. Dès qu'elle fut seule, elle se mit à pleurer, en pensant au berger. Elle s'endormit enfin, mais il ne fallut pas longtemps avant que le manteau se changa en ce qu'il avait été avant. Il commenca à appeler Chuqui-llantu par son propre nom. Elle était terriblement effrayé, sortit de son lit, et vit le berger à genoux devant elle, en versant des larmes. Elle était satisfaite de le voir, et lui demanda comment il était venu à l'intérieur du palais. Il répondit que le manteau qu'elle portait avait organisé ce sujet. Alors Chuqui-llantu l'embrassa, et a mis ses manteaux finement travaillées sur lui, et ils couchérent ensemble. Quand ils voulurent se lever le matin, le berger était redevenu le manteau. La princesse dès que le soleil se leva, quitta le palais de son père avec le manteau, et quand elle atteignit un ravin dans les montagnes, elle se retrouva avec son berger bien-aimé, qui s’était changé en lui. Mais l'un des gardiens les avaient suivis, et quand il vu ce qui se passa, il donna l'alarme à grands cris. Les amants s’enfuirent dans les montagnes qui sont près de la ville de Calca. Fatigués après un long voyage, ils grimpérent au sommet d'un rocher et allérent dormir. Ils entendirent un grand bruit dans leur sommeil, ainsi ils se levérent. La princesse pris une chaussure à la main et garda l'autre á son pied. Puis, regardant vers la ville de Calca, tous deux furent transformés en pierre. A ce jour, les deux statues peuvent être observées entre Calca et Huayllapampa.
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Sujet: AVATAR suite... Dim 16 Fév 2014, 13:57
Extrait de KUNDALINI TALES :transcrit par Jurian,
Citation : (Source : Transcript du 19ème épisode de la saison 2 d’Avatar, le dernier maître de l’air, et Wikipédia)
Avatar se distingue par ses multiples emprunts aux mythes et aux arts asiatiques pour créer tout un univers fictif. Mis à part la conception graphique de ses personnages qui est très inspirée par le dessin animé japonais, Avatar est aussi un mélange de philosophie chinoise, japonaise, mongole, coréenne, indienne, et tibétaine, de religions, de langues, de vêtements, d’arts martiaux, et de cultures asiatiques. En outre, la tribu de l’eau de la série est fortement influencée par la culture Inuit. Parmi les influences explicites il y a l’histoire chinoise et l’art chinois, l’anime japonais, l’hindouisme, le taoisme, le bouddhisme, et le yoga. L’équipe de production emploie Edwin Zane, en tant que consultant culturel pour vérifier les scripts.
- Pour réussir à maîtriser l’état d’avatar, tu dois ouvrir tous tes chakras. Aang, dis-moi tout ce que tu sais sur les chakras ?
- Les chakras ? qu’est-ce que c’est ?
- Je vois oui… nous allons donc devoir commencer au tout début. L’eau circule dans ce cours d’eau comme l’énergie circule à l’intérieur de notre corps. Comme tu le vois, l’eau tourbillonne dans plusieurs sortes de bassins avant de descendre. Ces bassins ressemblent en tous points à nos chakras.
- Nos chakras sont des sortes de tourbillons d’énergie dans notre corps.
- Exactement. Si rien ne le contrariait, ce cours d’eau s’écoulerait, clair et pur. Mais en fait, la vie est difficile et des tas de choses tombent dans notre cours d’eau. Et qu’est-ce qui arrive ensuite ?
- Le cours d’eau ne s’écoule plus.
- Exact, mais si l’on ouvre le chemin entre les différents bassins…
- L’énergie circule !
- Il y a sept chakras le long de notre colonne vertébrale. Chacun de ces bassins d’énergie a sa raison d’être et peut être bloqué par les résidus d’émotions négatives particulières… Mais attention, ouvrir ses chakras est une expérience d’une extrême intensité. Et lorsque le processus a commencé, on ne peut plus l’arrêter tant que les sept chakras ne sont pas ouverts. Tu es prêt ?
- Je ferais tout pour y arriver.
- Nous devons d’abord ouvrir notre chakra de la terre, situé à la base de la colonne vertébrale. C’est le siège de la survie et c’est la peur qui le bloque. De quoi as-tu le plus peur ? Laisse toutes tes peurs faire surface… Aang, ce que tu vois n’est pas la réalité. Tu es préoccupée par ta survie, mais tu dois abandonner toutes ces peurs. Laisse ces peurs s’écouler dans l’eau du cours d’eau… ça y est ! tu as ouvert ton chakra de la terre.
Ensuite, il y a le chakra de l’eau. Ce chakra est le siège du plaisir, et c’est la culpabilité qui le bloque. Maintenant, regarde toute cette culpabilité qui te pèse tant… qu’est-ce que tu te reproches ?
- Je me suis enfuis… j’ai fait souffrir beaucoup de personnes…
- Accepte la réalité. Accepte que ces choses là soient arrivées… mais ne les laisse surtout pas polluer ni empoisonner ton énergie. Si tu dois avoir une énergie positive sur le monde, tu dois avant toute chose te pardonner.
Le troisième, c’est le chakra du feu. Il est situé dans l’estomac…
Ce chakra est le siège de la volonté, et c’est la honte qui le bloque. De quoi as-tu honte ? Quelles sont les choses qui t’ont le plus déçues chez toi ?
- Je n’essaierai plus jamais de maîtriser le feu, c’est impossible.
- Tu n’atteindras jamais l’équilibre si tu renies cette partie de toi-même (…)
Le quatrième chakra est situé dans le coeur. C’est le siège de l’amour, et c’est le chagrin qui le bloque. Visualise tout ce qui a pu te faire de la peine.
Tu as effectivement vécu une terrible perte… mais l’amour est une forme d’énergie qui tourbillonne tout autour de nous. L’amour que t’a porté les nomades de l’air n’a pas quitté ce monde, il vibre encore au fond de ton coeur, et il renaîtra sous la forme d’un nouvel amour. Laisse ta douleur s’en aller… très bien Aang…
Le cinquième de la série c’est le chakra du son. Il est situé dans la gorge. C’est le siège de la vérité, et il est bloqué par les mensonges qu’on se fait à soi-même. Tu ne peux pas te mentir à ta véritable nature. (…)
C’est très bien, tu viens d’ouvrir ton chakra de la vérité.
Le sixième bassin d’énergie, c’est le chakra de la lumière. Il est situé entre les deux sourcils. C’est le siège de l’intériorité et il est bloqué par l’illusion… La pus grande illusion de ce monde c’est l’illusion de la séparation. Les choses qui te semblent différentes et séparées sont en fait une seule et même chose (…)
- Nous sommes tous reliés, tout est en relation sur la terre.
- Très juste Aang, même la séparation des quatre éléments est une illusion. Si tu ouvres ton esprit, tu verras que les quatre éléments ne font en réalité qu’un. Ce sont les quatre parties d’une seule et même chose. Même le métal n’est jamais qu’un morceau de terre qui a été purifié et raffiné. (…)
- Le dernier chakra…
- Une fois que tu l’auras ouvert, tu pourras entrer et sortir de l’état d’avatar quand tu le voudras. Et lorsque tu seras dans cet état, tu pourras rester parfaitement conscient et contrôler tout ce que tu fais.
- Je suis prêt allons-y.
- Le chakra de l’esprit est situé sur le sommeil de la tête. C’est le siège de l’énergie cosmique pure, et ce sont les attachements terrestres qui le bloque. Médite sur tout ce qui t’attache à cette terre… Maintenant… laisse tous ces attachements s’en aller, laisse les descendre le long de la rivière…
- Apprends à la laisser s’en aller, ou bien tu ne pourras jamais aider l’énergie pure à se déverser dans l’univers.
- Pourquoi je choisirais l’énergie cosmique plutôt que Katara ? Pourquoi ce serait mal de ressentir de l’attachement pour elle ? A quelques chakras de là c’était plutôt bien…
Nombre de messages : 5418 Date de naissance : 14/08/1962 Age : 61 Localisation : Belgique Date d'inscription : 25/05/2007
Sujet: "Maléfique" avec Angelina Jolie Ven 25 Avr 2014, 16:43
"Maléfique" avec Angelina Jolie
The Walt Disney Company France vient de publier l'affiche française finale de Maléfique, version live de La Belle au bois dormant selon le point de vue de la "méchante" incarnée pour l'occasion par Angelina Jolie. Pour rappel, cette fable fantastique signée Robert Stromberg, chef décorateur d'Avatar et du Monde fantastique d'Oz, sortira dans les salles françaises le 28 mai prochain.
Maléfique est une belle jeune femme au coeur pur qui mène une vie idyllique au sein d’une paisible forêt dans un royaume où règnent le bonheur et l’harmonie. Un jour, une armée d’envahisseurs menace les frontières du pays et Maléfique, n’écoutant que son courage, s’élève en féroce protectrice de cette terre. Dans cette lutte acharnée, une personne en qui elle avait foi va la trahir, déclenchant en elle une souffrance à nulle autre pareille qui va petit à petit transformer son coeur pur en un coeur de pierre. Bien décidée à se venger, elle s’engage dans une bataille épique avec le successeur du roi, jetant une terrible malédiction sur sa fille qui vient de naître, Aurore. Mais lorsque l’enfant grandit, Maléfique se rend compte que la petite princesse détient la clé de la paix du royaume, et peut-être aussi celle de sa propre rédemption…
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AMBRE
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Lun 10 Nov 2014, 21:49
Vu hier : Stupéfiant!
Dans un futur proche, un groupe de scientifiques tente de concevoir le premier ordinateur doté d’une conscience et capable de réfléchir de manière autonome. Ils doivent faire face aux attaques de terroristes anti-technologies qui voient dans ce projet une menace pour l’espèce humaine. Lorsque le scientifique à la tête du projet est assassiné, sa femme se sert de l’avancée de ses travaux pour « transcender » l’esprit de son mari dans le premier super ordinateur de l’histoire. Pouvant désormais contrôler tous les réseaux liés à internet, il devient ainsi quasi omnipotent. Mais comment l’arrêter s’il perdait ce qui lui reste d’humanité ?
Sujet: Les robots selon Philippe Guillemant Mar 11 Nov 2014, 16:20
Conférence de Philippe Guillemant au congrès de Quantique Planète (REIMS 2013)
AMBRE
Nombre de messages : 5418 Date de naissance : 14/08/1962 Age : 61 Localisation : Belgique Date d'inscription : 25/05/2007
Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles Mer 10 Déc 2014, 16:44
je reprend le fil de cette discussion avec cette annonce:
Le Petit Prince :
première bande-annonce
Dans un dessin animé tantôt en images de synthèse et tantôt tourné en stop-motion, l'histoire du Petit Prince est adaptée sur les écrans par le réalisateur connu pour son succès avec Kung Fu Panda. La production de ce film d'animation, elle, est française. Dans le dessin animé, une petite fille livrée au monde des adultes va faire la rencontre d'un aviateur qui lui, n'est jamais vraiment sorti de l'enfance. Il va lui raconter sa rencontre avec Le Petit Prince.
Très belle page sur Saint-Exupery ici
Le Petit Prince est adapté pour la première fois en long métrage d’animation, par Mark Osborne (“Kung Fu Panda”), avec les voix de Marion Cotillard, Vincent Cassel, Florence Foresti, André Dussolier, Guillaume Gallienne et Vincent Lindon. Synopsis : C’est l’histoire d’une histoire. C’est l’histoire d’une petite fille, intrépide et curieuse, qui vit dans un monde d’adultes. C’est l’histoire d’un aviateur, excentrique et facétieux, qui n’a jamais vraiment grandi. C’est l’histoire du Petit Prince qui va les réunir dans une aventure extraordinaire. Sortie au cinéma le 7 octobre 2015. Source: http://www.actucine.com/bandes-annonces/le-petit-prince-premiere-bande-annonce-102575.html
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Sujet: Le Petit Prince Sam 28 Fév 2015, 22:45
Le Petit Prince
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Sujet: Re: Fiction romanesque et réalités spirituelles