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 la dentosophie

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AMBRE

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MessageSujet: la dentosophie   la dentosophie Icon_minitimeLun 25 Juin 2007, 19:27


la dentosophie


Qu’est ce que la dentosophie ?

La dentosophie est une thérapeutique dentaire qui établit le lien entre la bouche et le reste du corps, physique, organique et psycho-affectif.
Elle est le résultat de recherches et observations cliniques menées depuis 1984 par des chirurgiens dentistes, les Docteurs Rodrigue Mathieu et Michel Montaud, rejoints plus tard par le Dr Jean-François Ardouin. Elle est une science expérimentale qui se base sur la constatation claire de phénomènes dont la répétitivité a pu être analysée comme probante.
Ces observations ont permis d’établir que l’équilibre buccal est l’expression de l’équilibre de l’être tout entier et plus largement de son environnement affectif, culturel, social...
Cette thérapeutique s’appuie sur des techniques fonctionnelles dentaires. Elle permet de traiter l’ensemble des dysmorphoses bucco-dentaires en évitant presque toujours l’extraction des dents et elle vise à rétablir l’équilibre buccal pour rétablir l’équilibre général (problèmes de posture et musculaires, mal de dos, maux de tête, pathologies ORL, asthme, difficulté de concentration, enfant nerveux, dépression...).
Elle permet au patient de s’investir dans son propre traitement. Le nom "dentosophie" provient de la conjonction des mots latin "dens", la dent, et grec "sophia", qui désigne la sagesse. Il signifie littéralement "la sagesse des dents".

« Les hypothèses scientifiques sont nécessaires à la marche même du progrès, elles sont le moteur essentiel de la recherche, qui n’est finalement que vérification et infirmation d’hypothèses. » (Claude BERNARD)
C’est dans ce cadre que s’inscrit la Dentosophie, comme démarche et résultante de vingt années d’observations.

La Dentosophie est une dynamique évolutive, résultat :
de l’assimilation des connaissances empruntées à nos prédécesseurs, systématiquement confrontées à notre expérience clinique,
et de la mise au point de nouveaux concepts et techniques dentaires visant à obtenir l’équilibre buccal.

Principe fondamental
Dès le début de la vie, la bouche est façonnée physiquement par les fonctions vitales -respiration, déglutition, succion-mastication, phonation, qui sont ainsi au cœur de la dynamique dentaire.

Nos constats
Les perturbations des fonctions vitales ou leur correction ont une incidence sur tous les plans : physique, organique, psychique, émotionnel, comportemental...
Systématiquement, nous constatons qu’une sollicitation adéquate de la bouche par des actes dentaires et des exercices appropriés (axés sur la rééducation des fonctions vitales) donne au patient la capacité de créer la forme buccale qui reflète son équilibre général. Et cela, quel que soit son âge ou son état dentaire.
Les observations et expérimentations faites depuis plus de vingt ans dans différents cabinets dentaires nous ont amenés à adopter ce double postulat comme base de travail : « le psychisme d’une personne s’imprime tout entier dans sa bouche » et réciproquement, « toute transformation de la région buccale a une incidence sur son psychisme ».

Logique dentaire et esprit de notre méthode
La Dentosophie est l’aboutissement théorique de notre méthode de soins qui continue de s’enrichir régulièrement de précisions sur la logique dentaire.
Suivant cette logique, tout événement bucco-dentaire (naturel, accidentel, thérapeutique...) a une répercution globale sur le patient, dans le sens de l’équilibre ou du déséquilibre.
En cas de déséquilibre, des compensations se mettent automatiquement en place, à tous les niveaux, pour rétablir un semblant d’équilibre. Cela crée des efforts (inconscients) permanents qui engendrent les maux les plus divers : musculaires, articulaires, osseux, organique, mental, émotionnel, comportemental etc...
Dans le cadre de cette méthode, tous les actes thérapeutiques concourent à l’émergence de l’équilibre buccal, ce qui entraîne la disparition des compensations et favorise l’harmonie sur tous les plans.

Equilibre buccal et maturité
Une bouche équilibrée transmet et reflète l’équilibre global du patient. Une bouche déséquilibrée présente des défauts de structure et d’une manière générale, un manque de développement dans les trois dimensions (antéro-postérieure, verticale, transversale).
Traiter l’aspect global et structurel de la bouche est primordial car cela permet aux autres critères de l’équilibre buccal de se mettre en place. La croissance des trois dimensions étant interdépendante, le travail est réalisé dans les trois plans de l’espace selon des concepts nouveaux développés dans nos formations. L’objectif est de permettre à la région buccale de parvenir, en fin de traitement, au développement harmonieux prévu par la nature, la disparition des tensions musculaires étant l’un des indicateurs de la progression de la thérapeutique.
Corriger et poursuivre le développement de la bouche interrompu dans sa croissance apporte des informations et des possibilités nouvelles sur tous les plans d’existence. Cela permet au patient de pallier un manque de maturité (physique, émotionnelle, psychologique, comportementale...). Ce processus est pédagogique : à travers lui, le patient peut accéder à l’autonomie.

La thérapeutique
Elle repose sur le fait que tout être humain possède un potentiel d’équilibre qu’il ne perd jamais car sa nature profonde est « Equilibre ». L’expression de cet équilibre est le plus souvent contrecarrée par les auto-limites inconscientes (psychiques et physiques) mises en place par le patient en réponse à son vécu. Le rôle essentiel du dentiste est de favoriser la levée de ces limitations en guidant le patient au terme de sa croissance buccale (ce qui permet le repositionnement des dents). Le praticien possède, dès le début du traitement, une vision claire du but à atteindre grâce aux règles universelles de l’équilibre du système stomatognatique*. Pour y parvenir, il dispose d’outils matériels (appareillages dentaires de rééducation fonctionnelle, prothèses si nécessaire...) et immatériels (attention, persévérance, structure, capacité d’adaptation, esprit de décisions et le courage de les mettre en pratique...). L’utilisation à bon escient de ces outils, dans le respect du rythme de chacun, permet au dentiste de libérer les capacités (naturelles) d’auto-guérison du patient. Ces dernières sont telles que nul ne peut être exclu du bénéfice total ou partiel de la méthode.

Dr Jean-François Ardouin (Chatellerault 86) Chirurgien-dentiste

Dr Rodrigue Mathieu (Montpellier 34) Chirurgien-dentiste

Dr Michel Montaud (Dieulefit 26) Chirurgien-dentiste

* Le système stomatognatique comprend les dents, les muscles (y compris la langue, les lèvres, les joues), les os : maxillaire, mandibule, ATM.

http://www.dentosophie.com/article.php3?id_article=1
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MessageSujet: Re: la dentosophie   la dentosophie Icon_minitimeJeu 15 Nov 2007, 14:37

Citation :
"Il faut apprendre aux gens que la santé se mérite et se construit par une vie,
une nourriture, et des pensées saines, un respect de la nature et des animaux.
Tout manquement à ces Lois Cosmiques porte en lui sa propre sanction".
Jacqueline Bousquet

Citation :
Votre corps doit être un bon système de support pour l'esprit et le mental.
Si vous en prenez bien soin, votre corps peut vous emmener là où vous voulez aller,
avec la puissance, la force, l'énergie et la vitalité dont vous aurez besoin pour y arriver".
Jim Rohn
extrait de
Hygiène de vie


Dans le concept de "santé optimale", entre évidemment :
l'énergétique,
l'alimentation - nutrition,
l'élimination
l'évitement des toxiques,
la géobiologie, et un certain nombre de mesures concernant le cadre de vie.


Mais il est un domaine très important où nous pouvons agir sans frais et souvent sans aide extérieure, c'est l'hygiène générale de vie. Voici quelques petits conseils et techniques que je vous conseille de considérer sérieusement et de vous efforcer de mettre en pratique dans votre vie de tous les jours.


Hygiène buccale

Sur des tablettes Assyrienne au 8ème siècle avant Jésus Christ, on peut lire :

"L'inflammation qui rend la tête et le cou de l'être humain malade,
qui tord les articulations de ses bras et de ses jambes,
provient surtout des dents. Ici se trouvent l'origine de toutes les douleurs..."



La santé commence dans la bouche, c'est une évidence. Mais l'importance de l'hygienne bucale et surtout de l'hygienne dentaire est très loin d'être bien comprise par la grande majorité des gens, et en règle générale, reste un "parent pauvre" dans une stratégie de prévention santé... Or une attention toute particulière devrait être donnée à la dentition, aux gencives, et à toute la machoire, et cela dès le plus jeune âge...





Des dents en mauvais état, les caries, des problèmes de malocclusion, les dents dévitalisées, les amalgames, l'interaction des différents métaux composant les "prothèses"... sont la source d'innombrables problèmes de santé, allant de la "simple" mauvaise haleine, à une intoxication complète de l'organisme, en passant par un nombre incroyable de dysfonctionnements musculaires, articulaires et autres...

Une mauvaise dentition, des dents manquantes, des dents sensibles, des gencives douloureuses ... sont également la cause d'une mauvaise mastication. Les aliments vont être rapidement avalés et la digestion et l'assimilation s'en trouveront perturbées. Dans de nombreux cas également, certains aliments vont être évités car "difficiles à mâcher".

La bouche, c'est aussi le premier niveau du tube digestif : Les aliments y sont broyés et la salive joue un rôle considérable.

La salive a également une importance particulière. Une bonne mastication ne sert pas seulement à réduire les aliments en "bouillie", mais également à les imprégner de salive (pH neutre = 7) qui est indispensable pour la première partie de la digestion de certains aliments (en particulier tous les féculents, glucides lents, hydrates de carbonne).

La quantité et la qualité de la salive sont importantes et doivent être surveillées.

Les analyses de salive sont parmi les tests qui fournissent le plus grand nombre d'informations sur l'état de santé en général, et en particulier sur la situation hormonale, l'état des "niveaux" en micronutriments, et l'état du vieillissement.

Des problèmes de salive, des dents sensibles au froid, à la chaleur, des gencives qui saignent, la présence fréquente dans la bouche d'aphtes ou de "blessures", la mauvaise haleine, sont des désagréments extrêment perturbants qui amènent des troubles du bien-être et, par suite, du comportement et du "relationnel". Ces "avertissements" doivent impérativement être pris très au sérieux, et amener la personne à consulter rapidement son dentiste, ou mieux, l'hygiéniste dentaire.






Les règles d’or de l’hygiène dentaire :
Les caries et les maladies des gencives sont responsables de pertes dentaires et de soins douloureux et onéreux, et peuvent être prévenues par une hygiène quotidienne relativement simple.
N’hésitez pas à demander conseil à votre dentiste ou à votre hygiéniste dentaire.
Même si nous sommes aujourd’hui plus respectueux de notre hygiène dentaire, quelques progrès sont encore possibles. Quels sont les règles indispensables à une bonne santé dentaire ?

La suite sur : http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/dents.htm

Amalgames et prothèses :
Une attention spéciale doit être apportée à toutes les "prothèses". On connait la nocivité du mercure contenu dans les amalgames (voir page "mercure"), mais il faut également surveiller la compatibilité des différents métaux composant les "couronnes" et autres "ponts"...

"Lorsque dans la cavité buccale, des alliages ou des amalgames de composition différentes sont en présence, il apparaît parfois des différences de potentiels électriques entre deux pièces métalliques.
La différence de potentiel peut perturber le système énergétique du patient . On voit ainsi apparaître des "blocages" thérapeutiques possibles. L'individu se perturbe énergétiquement et peut devenir rebelle à toute thérapeutique.

La galvanisation des métaux en bouche, résultat du mélange de plusieurs types de métaux, autant les non précieux entre eux que précieux et semi-précieux, n'est pas une vue de l'esprit.
Le mélange des différents métaux va provoquer l'interaction et l'apparition d'une nocivité. Par exemple, l'assemblage d'une couronne en or jaune, d'un amalgame et d'un pivot vissé va provoquer un courant galavanique qui va corroder l'élément interne qui est ici, électronégatif.
Son augmentation de volume aura pour effet de provoquer la fracture de la racine dans le sens de la longueur, avec perte de la dent bien entendu !" Un excellent site sur ce sujet : http://www.dentsvivantes.net

Les foyers infectieux :
Méconnus, trop souvent ignorés ou considérés comme peu importants, les "foyers d'infection" ou "granulômes" dentaires sont pourtant une cause extrêmement importante de problèmes de santé.
► voir la page Bechamp

De très nombreuses personnes présentent un ou plusieurs "foyers d'infection" dans leur dentition, et la plupart du temps, ils n'en sont pas conscients... Les foyers se développent surtout sur des dents dévitalisées, donc insensibilisées.
Des bactéries se développent et "s'enkystent" dans les "canaux", les porosités qui se trouvent dans les racines "mortes".
Ces foyers, souvent indolores donc, peuvent sembler inactifs pendant de nombreuses années, mais pourtant ils diffusent en permanence leurs toxines dans le reste de l'organisme, provoquant des douleurs, malaises et maladies dont l'origine n'est presque jamais vraiment détectée.

Mal-occlusions : Mal occlusion : Rapport défectueux ou irrégulier de l'occlusion dentaire.
Relation anormale entre les dents du maxillaire (haut) et les dents de la
mandibule (bas) lors de la fermeture intra maxillaire.

La "mal occlusion" concerne beaucoup d'entre nous.
Elle est malheureusement presque inconnue des médecins et peu traitée par les chirurgiens-dentistes !
Elle se traduit par de très nombreux symptômes susceptibles d'être diminués voire éradiqués par un traitement approprié : douleurs des muscles de la mâchoire, maux de tête, nuque et dos, insomnie, migraines tenaces, trouble de l'équilibre, trouble de la vision, tintements d'oreilles, craquements de mâchoires, sensation de rigidité musculaire du crâne et du cou et douleurs dans la poitrine ... la liste est infinie...

". . . Tous ces symptômes peuvent provenir d'un mauvais fonctionnement de l'articulation temporo-mandibulaire (celle de la mâchoire inférieure) lui-même entraîné par différentes affections de la bouche : absence d'une ou plusieurs dents, gencives saignant au brossage ou spontanément avec dents plus ou moins mobiles, prothèses dentaires (couronne, bridge, appareil mobile, partiel ou complet) anciennes ou usées, prothèses dentaires récentes mais peut-être de hauteur insuffisante, ou excessive, ou encore mal équilibrée, dents abrasées par le bruxisme (grincement de dents nocturne) ou les serrements de mâchoire dans la journée, dents usées (avec le temps !), dents en malposition sans contact suffisant entre celles du haut et celles du bas, traitements orthodontiques incorrects, même très lointains..."

► Quelques sites : http://perso.wanadoo.fr/santeglobale.monic/lamalocclusion.htm

http://users.skynet.be/danielgoidts/co.html

http://www.docteur-bernard-montain.com/home/Pleine_dents.htm
suite
http://www.ateliersante.ch/hygiene-de-vie.htm avec l autorisation de Christian Recking.
(mes dentifrices perso:Le Dentifrice en poudre au" Citron PerBlan" http://www.djfusion.fr/cosmetique-naturelle-soin-beaute/dentifrice/
et
Dentifrice au clou de girofle DABUR Inde http://www.le-comptoir-des-saveurs.com/boutique/fiche_produit.cfm?type=47&ref=DENT04&code_lg=lg_fr&pag=1&num=11 )
ainsi que
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MessageSujet: Vers la fin du mercure dentaire...   la dentosophie Icon_minitimeDim 02 Mar 2008, 20:00

Les "plombages "pour les dents contiennent jusqu'à 50% de mecure.Or ce dernier est exrêmement toxique et depuis de nombreuses années, des médecins s'étonnent qu'il soit interdit dans les fumées industrielles et autorisé dans nos bouches.

Au fur et à mesure des années, des alternatives, notamment à base de céramique ont été mises au point.

En 1999, en Suède, la sécurité sociale a annoncé la fin du remboursement des plombages au mercure provoquant un effondrement de sa pratique dans le pays;
Le premier janvier 2008, la Norvège, estimant que les alternatives sont valables, ainterdit l'usage du mercure dentaire.

L'allemagne, l'autriche, le Danemark et le Japon ont aussi pris des mesures
pour limiter son usage. La Suède et le Danemark ont annoncé l'interdiction totale pour le premier avril 2008.

En France pour le moment, RIEN.
Au niveau européen, des débats ont lieu... en particulier sur l'élimination du mercure déjà présent dans les dents : il y en aurait 1100 tonnes dans les mâchoires européennes et avec un tiers des morts qui sont incinérés, il est estimé que 280 kg d emercure sont libérés dans l'atmosphère chaque année.

Source: revue Silence mars 2008

karen :117:
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MessageSujet: DENTISTERIE HOLISTIQUE   la dentosophie Icon_minitimeVen 12 Mar 2010, 16:25

Voici des nouvelles:
Plombage au mercure: où en est-t-on ?
(21/01/2010)

http://www.holodent.com/article-plombages-au-mercure-amalgame-dentaire-toxicite-sante-43890177.html[/size]


Par la même occasion, j’en profite pour vous faire découvrir Estelle Vereeck et son travail sur le DECODAGE DENTAIRE – le LANGAGE DES DENTS dont elle est la pionnière - travail basé sur des recherches personelles de plus de vingts ans -. Docteur en chirurgie dentaire, elle est l’auteur de nombreux ouvrages sur la dentisterie holistique.


la dentosophie Dicoco10la dentosophie Esscou10la dentosophie V_book10la dentosophie H140-c10la dentosophie Haltoc10


http://www.holodent.com/ext/http://www.editionsluigicastelli.com/editionsluigicastelli/index.php?sp=page&c=1260

Grâce à ces ouvrages, non seulement nous nous reconnaissons et recevons les réponses á nos questionnements intérieurs mais découvrons également que dans notre bouche, le Temple de notre Ame se trouvent les axes FEMININS/MASCULINS, les dents PERE/MERE - Papa/Maman (nous apprenons que chaque dent a une fonction spirituelle bien précise), les POLARITÉS (et l’ Inversion des latéralités entre haut et bas) et bien d’autres choses encores.

Dénominations symboliques des dents
http://dentsymbolique.romandie.com/post/11942/95559

la dentosophie 612-0013

la dentosophie 612-0014

Point fondamental de décodage dentaire: le chiasma dentaire
http://dentsymbolique.romandie.com/post/11942/97116


la dentosophie 612-0012

la dentosophie 612-0313

Chiasma dentaire : exemple de problèmes sur l'axe masculin
http://dentsymbolique.romandie.com/post/11942/99085


la dentosophie 26271710


Le site étant adhérent de piratagir et les écrits de l’auteur étant soumis á Copyright, pour lire en détails les articles, je vous renvoie donc ici :
http://dentsymbolique.romandie.com/

SOMMAIRE DES ARTICLES :
http://dentsymbolique.romandie.com/category/11942/24873


Décodage dentaire : serrer n'est pas grincer
Symbolique des dents blanches : le mythe du sourire parfait
Décodage de la germectomie ou extraction précoce des dents de sagesse
Nos mâchoires amoureuses ou la loi de polarité dans notre bouche
Le sens des malpositions dentaires
Radio panoramique dentaire: porte ouverte sur l'inconscient
Les dents, miroir de l'âme
Décodage de la relation patient-dentiste: l’art dentaire, quel théâtre !
Décodage dentaire : le déchaussement à travers un exemple
Histoires d'implant
La dent, symbole universel
Décodage d'une douleur d'origine psychique ou psychogène
Dents et évolution personnelle: une thérapeute raconte son expérience
Chiasma dentaire : exemple de problèmes sur l'axe masculin
Point fondamental de décodage dentaire: le chiasma dentaire
L'agénésie dentaire, phénomène mystérieux
Dénominations symboliques des dents
Les dents, antennes psychiques
Le clavier de l'inconscient

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- Décodage de la relation patient-dentiste: l’art dentaire, quel théâtre !
- Point fondamental de décodage dentaire : le chiasma dentaire
- Décodage dentaire : le déchaussement à travers un exemple



LA DENTISTERIE HOLISTIQUE
Estelle Vereeck


La dentisterie globale

La dentisterie holistique, encore appelée à tort dentisterie énergétique (cette dernière n'en est qu'un aspect), est à la mode. Mais au fait, de quoi s’agit-il ?

Le terme holistique vient du grec holos qui signifie « tout ». La dentisterie holistique est donc une pratique qui tient compte du patient dans sa globalité, sa totalité.

L’être humain est doté de trois corps : un corps physique, un corps énergétique et un corps psychique. La dent résonne avec ces trois plans de l’être et le dentiste holistique se doit de les prendre en compte. Ces trois corps étant plus ou moins des concepts, plutôt que des réalités tangibles, on parle également de plans, niveaux, voire dimensions (voir Dentisterie holistique et conscience).

Le niveau physique

Le niveau physique est celui du corporel, du palpable, du mécanique. Organe le plus dense de tout le corps, la dent assure avant tout une fonction mécanique de broyage et aussi de calage des mâchoires. Cette dernière fonction la place en interaction directe avec le reste du corps par le biais de la posture.

Le dentiste holistique doit être conscient de l’incidence occlusale sur l’équilibre postural de la plus petite obturation qu’il pose dans la bouche de son patient.

Le niveau énergétique

Le niveau énergétique est plus subtil. Il ne se voit pas mais s’appréhende à travers des tests et des mesures (par des appareils spécifiques) dont le but est de s’assurer de la bio-compatibilité des actes effectués en bouche.

À ce niveau, le dentiste holistique est conscient de l’interaction de la dent avec la vitalité du corps. De nombreux circuits énergétiques relient dents et organes. Ces liens mettent en jeu le caractère hautement réflexogène du trijumeau, nerf crânien qui innerve le système dentaire.

Ils mettent également en jeu des liens de nature plus subtile par le biais des méridiens d’acupuncture, vaisseaux qui passeraient par les dents ou du moins seraient influencés par elles.

Cette partie de la dentisterie holistique qu’est l’énergétique dentaire a été popularisée par les nombreux débats et controverses sur la toxicité de l’amalgame dentaire (plombage).

Pour beaucoup de personnes, la dentisterie holistique se limite à retirer des amalgames et à les remplacer par des résines.

Le niveau psychique

Néanmoins, une pratique ne peut prétendre à la globalité si elle n’inclut pas le niveau psychique ou émotionnel. Le patient qui s’installe sur le fauteuil du dentiste est porteur d’une histoire, d’un vécu.

Pour une grande part c’est ce vécu, ce passif le plus souvent inconscient, qui conditionne la réaction du patient à un traitement donné. D’autant plus que la dent, organe cristallin, engramme le vécu, le mémorise dans sa structure. Chaque dent est un résonateur puissant du psychisme.

Traiter une dent, c’est appuyer sur une touche du clavier de l’inconscient avec des réactions variables (et parfois surprenantes) d’un patient à l’autre. On entre ici dans le domaine passionnant de la subjectivité humaine et la notion de personnalisation du soin prend tout son sens. Le dentiste holistique humaniste trouvera là un champ d’exploration sans fin de la nature humaine et un renouvellement toujours plus enrichissant de sa pratique.

Dès lors qu’on aborde ce plan, la notion de protocole de traitement perd son sens. C’est le patient et ses réactions qui conduisent le traitement et non plus une technique, une méthode ou une pratique préétablie. Il n’y a alors plus d’autre impératif que l’écoute du patient et des réactions de son corps, pour peu que lui aussi accepte de s’écouter et de s’impliquer activement dans le soin.

Il n’y a plus alors un thérapeute omnipotent et omniscient, le dentiste, d’un côté, et un patient soumis de l’autre, mais deux personnes qui collaborent activement, chacune dans son domaine respectif.

La synergie des trois plans

Ces trois plans sont intimement liés. Ils interagissent les uns avec les autres et ils n’est pas possible de les aborder séparément. Par exemple, les déposes d’amalgame pour être efficaces doivent prendre en compte le psychisme et le niveau émotionnel. Des études ont montré l’importance des facteurs psychiques dans la détoxination des métaux lourds. Un blocage émotionnel empêche le processus de détoxination de s’accomplir.

Le sens de chaque dent, porteuse d’une mémoire spécifique liée à l’histoire de la personne, est une clé incontournable pour que le corps puisse se débarrasser de ses poisons. Le poison physique (le mercure) est le reflet du poison psychique (l’émotion bloquée).

À savoir : le dentiste holistique n’est pas un psychothérapeute. La dimension psychologique doit être prise en charge par le patient lui-même ou par un accompagnateur spécifique.

Vers une dentisterie véritablement holistique

L’approche globale ou holistique implique bien plus que d’éviter l’amalgame de mercure. Outre employer un matériau compatible avec la santé, l’approche holistique doit prendre en compte la dent à tous les niveaux : du plus concret (fonction mécanique, restauration de l’occlusion) au plus subtil (sens et fonction symbolique de chaque dent en lien avec l’histoire de la personne).

Quand le dentiste intègre à sa pratique ces différents niveaux, alors il peut véritablement être qualifié d’holistique car les soins qu’il prodigue se font dans le respect de l’individu. Le temps où le praticien se contentait de reboucher une dent sans se poser de questions est révolu. Désormais, le dentiste veille à intégrer le soin dans l’équilibre global de la personne en tenant compte de l’occlusion, en choisissant des matériaux compatibles avec l’écologie individuelle et en étant à l’écoute des réactions émotionnelles de son patient. « Qu’est-ce que je touche chez cette personne en touchant cette dent ? » est la question à se poser sur les trois plans de l’être : physique, énergétique, émotionnel.

Les dentistes qui prennent en compte ces trois dimensions sont encore trop rares. Gageons pourtant que c’est une voie d’avenir pour la profession. En dentisterie comme en médecine, il est impossible de séparer l’âme du corps. Prendre en compte tous les plans de l’être est la clé de la guérison véritable.

Le patient holistique

Pratiquer une dentisterie holistique suppose une transformation profonde des habitudes de soins et des mentalités. Sans le savoir, ce sont les patients eux-mêmes qui freinent parfois le développement de cette nouvelle approche.

Ainsi le patient qui attend du dentiste qu’il prenne en charge l’intégralité du traitement jusque dans sa dimension psychologique fait porter au praticien une charge qu’il ne peut assumer. Son attente démesurée et irréaliste confine le patient dans une passivité qui n’est pas compatible avec la démarche holistique. La confiance nécessaire en l'homme de l'art ne doit pas se substituer à la conscience du patient.

En dentisterie comme dans toute pratique de guérison, le praticien n’est qu’un catalyseur. Il appartient au patient de prendre en charge la dimension psychique en faisant par lui-même (éventuellement assisté d’un thérapeute) le travail de libération émotionnelle lié à la ou les dents en soin. Un fauteuil de dentiste, fut-il holistique, n’est pas un divan de psy, ne l’oublions pas.

Ce n’est pas au dentiste de faire l’analyse symbolique de la bouche de son patient. Ce qui se produit sur le fauteuil, le petit plus de l’ordre de l’ineffable qui rend la guérison possible appartient d’abord et avant tout au patient. Ce « plus » se produit lorsque le patient s’associe consciemment et intentionnellement au soin que le dentiste pratique dans sa bouche. C’est au patient de se préparer par des lectures, des réflexions, des méditations, des séances chez un psychothérapeute, etc.

À cette condition, les séances chez le dentiste peuvent porter tous leurs fruits. La dentisterie holistique sonne le glas de la passivité du patient. Il est demandé à ce dernier de s’investir à touts les niveaux : temps, argent, énergie, conscience. Il ne serait ni juste ni réaliste d’en demander plus au dentiste sans rémunérer le temps supplémentaire passé avec le patient. Les équipements, les matériaux biocompatibles, les formations ont un coût. Une dentisterie holistique entièrement remboursée par la Sécurité Sociale est malheureusement une utopie dans le contexte économique actuel.

Le problème d’argent cache un problème de choix. Est-on prêt à investir pour sa santé, pour ses dents comme on le fait pour une voiture, une télé ou un produit de consommation ? La prise de conscience de la dimension sacrée du temple qu’est la bouche permet de faire un choix éclairé.


]http://www.holodent.com/ext/http://www.editionsluigicastelli.com/editionsluigicastelli/index.php?sp=page&c=1260
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MessageSujet: Re: la dentosophie   la dentosophie Icon_minitimeMar 11 Oct 2011, 01:47

Les pommes, plus mauvaises pour les dents que les boissons gazeuses ?

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Selon une récente étude britannique, manger une pomme pourrait abimer jusqu'à quatre fois plus les dents que de consommer une boisson gazeuse. C'est la haute acidité du fruit qui s'attaquerait à la dentine, substance située sous l'émail dentaire.

Peu calorique et source de fibres, la pomme présente un grand nombre de bienfaits régulièrement mis en évidence par les médecins et les spécialistes. Réduction du risque de maladie cardiovasculaire, du cholestérol sanguin, prévention de certains cancers : au vu de tels effets, il est difficile à croire que le fruit puisse d'une quelconque manière nuire à notre organisme, et pourtant. D'après une étude menée par l'Institut dentaire du King's College de Londres au Royaume-Uni, les personnes qui mangent des pommes ont 3,7 fois plus de chance de présenter des dommages aux dents que les consommateurs de boissons gazeuses et ce, en raison de la haute acidité du fruit.

Pour arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont suivi plus de 1.000 femmes et hommes âgés de 18 à 30 ans, chez qui ils ont tenté d'établir un lien entre l'usure des dents et le régime alimentaire. Au cours des travaux, ils ont ainsi recherché dans les dents des participants des dommages dans les deux millimètres d'émail et dans la dentine, la substance majoritaire qui présente dans les dents sous l'émail. Puis ils ont comparé ces observations avec le régime alimentaire des sujets. C'est ainsi qu'ils ont conclu un lien entre autres, entre la consommation de pomme et l'érosion des dents.

"Les médecins disent à juste titre que manger des pommes est bon pour la santé, mais si vous les mangez trop lentement les hauts niveaux d'acidité peuvent endommager vos dents. Les boissons plus souvent associées à l'érosion diététique, notamment le Coca-cola, n'ont montré aucune augmentation du risque", explique le professeur David Bartlett qui a dirigé l'étude. Cité par le Daily Mail, il souligne ainsi : "Ce n'est pas seulement ce que nous mangeons, mais la manière dont nous le mangeons".

Des précautions pour réduire l'acidité

Certaines pommes contiennent jusqu'à quatre cuillères à café de sucre qui contribue à élever le taux d'acidité dans la bouche. Un phénomène particulièrement marqué quand la pomme est mangée crue et lentement. Néanmoins, les jus de fruit, le vin ou encore la bière augmentent également le risque de dommages, contrairement au raisin ou aux oignons marinés. Mais ces aliments ne s'attaquent pas tous aux mêmes structures. Alors que les jus de fruit augmentent de quatre fois les dégâts au niveau de l'émail vers la gencive, la bière, elle, triple le risque de dommages à la dentine.

"Les fruits peuvent être acides et contiennent clairement du sucre, mais je ne voudrais décourager personne de consommer des fruits ou des jus de fruit", commente le docteur Glenys Jones, nutritionniste à l'unité du Human Nutrition Research du Medical Research Council. Au vu de ces résultats, les chercheurs ont donc émis quelques recommandations. Pour limiter les dégâts, ils conseillent par exemple de boire du lait ou de manger un morceau de fromage en même temps que la pomme, des aliments qui contiennent du calcium capable de neutraliser l'acide.

Boire de l'eau juste après est également un bon moyen de rincer les effets négatifs du fruit. De son côté, le docteur Jones ajoute : "Boire les jus de fruit ou les smoothies à la paille est une façon de protéger les dents. Se brosser les dents avant de manger des aliments acides peut aussi aider, car cela fournit une barrière entre la nourriture et les dents", rapporte le Daily Mail.

http://www.maxisciences.com/pomme/les-pommes-plus-mauvaises-pour-les-dents-que-les-boissons-gazeuses_art17602.html
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MessageSujet: Fibryomyalgie:et si les dents et l'occlusion avaient un rôle   la dentosophie Icon_minitimeMer 14 Nov 2012, 23:55

Fibryomyalgie : et si les dents et l'occlusion avaient un rôle ?


Un américain sur dix en est atteint. Officiellement, la fibromyalgie n’a pas de cause démontrée. Des facteurs de nature immunochimique et environnementaux sont invoqués. On estime aujourd’hui que ce n’est pas une maladie psychosomatique, ce qu’on pensait jusqu’alors. La voie allopathique explorée par la médecine classique semble pouvoir déboucher sur un médicament vers 2009. Mais a-t-on fait le tour du problème ? Certes non.

Négligés (et même pas cités dans la récente chronique de France Info), les facteurs occlusaux pourraient bien jouer un rôle déterminant dans la génèse de la fibryomyalgie, du moins dans sa forme de fatigue chronique.

La dysfonction occlusale ou malocclusion cause une vrille de la posture qui se traduit par des contractures musculaires à l’origine de l’épuisement et des multiples points douloureux dont se plaignent les personnes atteintes. De plus, la dysfonction de l’articulation des mâchoires, conséquence directe de la malocclusion, contribue à aggraver le syndrome dépressif dont souffrent les fibromyalgiques.

Des extractions non compensées, des prothèses inadaptées ou trop anciennes, des traitements d’orthodontie trop tardifs sont des causes directes de malocclusion et indirectes de fibromyalgie. On retrouve un traitement d’orthodontie dans les antécédents médicaux d’un grand nombre de personnes atteintes.

Aujourd’hui massivement touchés, les États-Unis ont été les premiers promoteurs dans les années soixante des traitements d’orthodontie avec bagues et extractions de dents saines, générateurs de tensions musculo-squelettiques. Difficile de ne pas y voir un rapport direct avec le développement des fibromyalgies.

En savoir plus : rubrique Occlusion du Pratikadent.

http://www.editionsluigicastelli.com/editionsluigicastelli/index.php?sp=page&c=2541


la dentosophie V_book10

PRATIKADENT version pdf (livre électronique)
Dictionnaire pratique et holistique des atteintes dentaires et de la biocompatibilité des soins:

http://www.editionsluigicastelli.com/editionsluigicastelli/index.php?sp=liv&livre_id=1434


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MessageSujet: Re: la dentosophie   la dentosophie Icon_minitimeVen 17 Oct 2014, 10:11

Citation :

Communiqué de presse (1er avril 2014)
– À quoi sert le rapport du SCHER sur le mercure dentaire ?


Le Comité Scientifique des Risques Sanitaires et Environnementaux (SCHER) a publié le 14 mars un avis intitulé Risques environnementaux et risques sanitaires indirects liés au mercure des amalgames dentaires [1].

Certes les experts y admettent que, « dans des conditions locales extrêmes (densité maximale de dentistes, utilisation maximale de mercure, absence de dispositifs de séparation dans le processus de traitement de l’eau) », il pourrait y avoir un risque pour les consommateurs de poisson.
Mais formulé autrement, le problème se résume ainsi : « Là où de bons contrôles environnementaux sont mis en place, le risque est absent ou négligeable. » En somme, il ne serait pas nécessaire de renoncer au mercure dentaire, il faudrait simplement « contrôler » son usage pour que le danger se volatilise.

Pourtant, on sait aujourd’hui que :
- Le mercure est une substance extrêmement toxique, pour laquelle il n’est pas possible de définir un seuil qui serait sans danger [2] ;
- Le mercure dentaire représentait en 2007 le quart de la consommation de mercure en Europe [3] : cette part relative augmente sans cesse, de sorte qu’il serait absurde de continuer à réglementer le mercure en faisant une exception de tolérance pour les amalgames dentaires ;
- Le mercure dentaire est la première source d’exposition directe au mercure de la population européenne [4] ;
- Le mercure dentaire est remplaçable dans toutes les situations : c’est donc une exposition qui peut être facilement supprimée [5] ;
- Le SCHER lui-même est obligé de d’admettre que pour une proportion considérable d’enfants européens les limites de sécurité d’exposition au mercure fixées par l’OMS ou les États-Unis sont dépassées. Comment justifier, alors, que l’on persiste à augmenter inutilement leur exposition ?

Les institutions – européennes ou françaises – ignorent ces faits pourtant bien établis, qui imposent une réponse évidente pour toute instance réellement soucieuse de santé publique et d’environnement. Elles préfèrent découper les problèmes en tranches si fines qu’on regarde au travers sans apercevoir le moindre danger. Ainsi le SCHER fait-il valoir qu’il n’est compétent ni pour parler des dangers du mercure en général, ni pour évaluer les effets cocktails, ni pour considérer l’implication du mercure dentaire dans les phénomènes d’antibiorésistances, ni pour s’intéresser à l’exposition professionnelle, ni pour proposer des recommandations relatives à l’amalgame, etc.

Ces question sont traitées par d’autres agences, ou bien, plus souvent, ne le sont pas du tout. Personne ne considère le problème d’un bout à l’autre et n’agit en conséquence.

Alors à quoi sert le rapport du SCHER ? Manifestement, à rien, sinon à complaire aux instances dentaires en repoussant l’interdiction, pourtant inévitable à terme, des amalgames. En somme, le SCHER nourrit la stratégie du doute mise au point par les leaders d’opinion sur les amalgames [6], au détriment de la santé et de l’environnement des Européens.
[1]. http://ec.europa.eu/health/scientific_committees/consultations/public_consultations/scher_cons_06_en.htm
[2]. OMS, Mercure et soins de santé, Document d’orientation stratégique, 2005.
[3]. http://real.ehesp.fr/pluginfile.php/4701/mod_resource/content/11/modulenc/co/m6_2_2_UE_1.html
[4]. Cette augmentation relative tient au fait que les autres usages du mercure en Europe sont progressivement interdits ou sévèrement réglementés.
[5]. Selon le dernier rapport de l’ANSM, non publié pour l’indigence de sa bibliographie sur le mercure dentaire.
[6]. http://reseau-environnement-sante.fr/2014/03/20/dossiers-par-themes/communique-de-presse-20-mars-2014-mercure-dentaire-la-nouvelle-strategie-du-doute/
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MessageSujet: Les dents Temple de l'Âme   la dentosophie Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 23:58

Douceur a écrit:
(...) j’en profite pour vous faire découvrir Estelle Vereeck et son travail sur le DECODAGE DENTAIRE – le LANGAGE DES DENTS dont elle est la pionnière - travail basé sur des recherches personelles de plus de vingts ans -. Docteur en chirurgie dentaire, elle est l’auteur de nombreux ouvrages sur la dentisterie holistique.

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http://www.holodent.com/ext/http://www.editionsluigicastelli.com/editionsluigicastelli/index.php?sp=page&c=1260

Grâce à ces ouvrages, non seulement nous nous reconnaissons et recevons les réponses á nos questionnements intérieurs mais découvrons également que dans notre bouche, le Temple de notre Ame se trouvent les axes FEMININS/MASCULINS, les dents PERE/MERE - Papa/Maman (nous apprenons que chaque dent a une fonction spirituelle bien précise), les POLARITÉS (et l’ Inversion des latéralités entre haut et bas) et bien d’autres choses encores.


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MessageSujet: Pense à ton dentiste !   la dentosophie Icon_minitimeVen 16 Jan 2015, 00:02

Bonne année 2015 !

« Les Français se noient dans le pessimisme », a titré le magazine Le Point pour le Nouvel An 2015.

Selon un sondage BVA, aucun peuple du monde ne se sent aussi malheureux, n'anticipe autant de catastrophes. Pour une grande majorité de Français (94 %), l'année 2015 sera une année de « difficultés économiques » au moins égales à celles de 2014. Seuls 6 % prédisent une année de prospérité.

À cela s'ajoutent les angoisses sur les guerres, le terrorisme, la destruction de l'environnement…

Est-ce raisonnable ? Exagéré ?

Difficile à dire. Et qui sommes-nous pour en juger ? Nous n'avons pas de boule de cristal !

Mais depuis que le monde est monde, il y a de bonnes raisons d'être inquiet. Famines, épidémies, sauterelles, guerres, pillages… nos ancêtres souffraient-ils moins que nous ? Pas sûr.

C'est pourquoi j'aime à me rappeler cette phrase d'un ami : « Quand tu angoisses sur la vie présente, pense à ton dentiste ! »

Comme il a raison ! Est-il possible que nous ayons déjà oublié la chance que nous avons de pouvoir nous faire soigner les dents avec un minimum de douleur ? S'il n'y avait que cela, ne serait-ce pas déjà une énorme raison de se réjouir d'être en 2015 ? Il aurait pu dire aussi « pense à ton chirurgien ».

Alors, pour mes bons vœux 2015, j'ai décidé de vous envoyer ce morceau d'anthologie de la littérature « médicale ».

Il a été écrit en 1884, à Paris, par un auteur qui revient un peu à la mode en ce moment, JK Huysmans. Cela raconte la visite chez le dentiste de Jean des Esseintes, le héros du roman « À rebours ».

Je vous souhaite une bonne année 2015, et accrochez-vous bien à votre fauteuil !

   « Jean des Esseintes fut pris, au milieu d’une nuit, d’une abominable rage de dents. Il se tamponnait la joue, butait contre les meubles, arpentait, semblable à un fou, sa chambre.

   C’était une molaire déjà plombée ; aucune guérison n’était possible ; la clef seule des dentistes pouvait remédier au mal. Il attendait, tout enfiévré, le jour, résolu à supporter les plus atroces des opérations, pourvu qu’elles missent fin à ses souffrances.

   Tout en se tenant la mâchoire, il se demandait comment faire. Les dentistes qui le soignaient étaient de riches négociants qu’on ne voyait point à sa guise ; il fallait convenir avec eux de visites, d’heures de rendez-vous. C’est inacceptable, je ne puis différer plus longtemps, disait-il ; il se décida à aller chez le premier venu, à courir chez un quenottier du peuple, un de ces gens à poigne de fer qui, s’ils ignorent l’art bien inutile d’ailleurs de panser les caries et d’obturer les trous, savent extirper, avec une rapidité sans pareille, les chicots les plus tenaces ; chez ceux-là, c’est ouvert au petit jour et l’on n’attend pas. Sept heures sonnèrent enfin. Il se précipita hors de chez lui, et se rappelant le nom connu d’un mécanicien qui s’intitulait dentiste populaire et logeait au coin d’un quai, il s’élança dans les rues en mordant son mouchoir, en renfonçant ses larmes.

   Arrivé devant la maison, reconnaissable à un immense écriteau de bois noir où le nom de « Gatonax » s’étalait en d’énormes lettres couleur de potiron, et en deux petites armoires vitrées où des dents de pâte étaient soigneusement alignées dans des gencives de cire rose, reliées entre elles par des ressorts mécaniques de laiton, il haleta, la sueur aux tempes ; une transe horrible lui vint, un frisson lui glissa sur la peau, un apaisement eut lieu, la souffrance s’arrêta, la dent se tut.

   Il restait, stupide, sur le trottoir ; il s’était enfin roidi contre l’angoisse, avait escaladé un escalier obscur, grimpé quatre à quatre jusqu’au troisième étage. Là, il s’était trouvé devant une porte où une plaque d’émail répétait, inscrit avec des lettres d’un bleu céleste, le nom de l’enseigne. Il avait tiré la sonnette, puis, épouvanté par les larges crachats rouges qu’il apercevait collés sur les marches, il fit volte-face, résolu à souffrir des dents, toute sa vie, quand un cri déchirant perça les cloisons, emplit la cage de l’escalier, le cloua d’horreur, sur place, en même temps qu’une porte s’ouvrit et qu’une vieille femme le pria d’entrer.

   La honte l’avait emporté sur la peur ; il avait été introduit dans une salle à manger ; une autre porte avait claqué, donnant passage à un terrible grenadier, vêtu d’une redingote et d’un pantalon noirs, ; des Esseintes le suivit dans une autre pièce.

   Ses sensations devenaient, dès ce moment, confuses. Vaguement il se souvenait de s’être affaissé, en face d’une fenêtre, dans un fauteuil, d’avoir balbutié, en mettant un doigt sur sa dent : « elle a déjà été plombée ; j’ai peur qu’il n’y ait rien à faire. »

   L’homme avait immédiatement supprimé ces explications, en lui enfonçant un index énorme dans la bouche ; puis, tout en grommelant sous ses moustaches vernies, en crocs, il avait pris un instrument sur une table.

   Alors la grande scène avait commencé. Cramponné aux bras du fauteuil, des Esseintes avait senti, dans la joue, du froid, puis ses yeux avaient vu trente-six chandelles et il s’était mis, souffrant des douleurs inouïes, à battre des pieds et à bêler ainsi qu’une bête qu’on assassine.

   Un craquement s’était fait entendre, la molaire se cassait, en venant ; il lui avait alors semblé qu’on lui arrachait la tête, qu’on lui fracassait le crâne ; il avait perdu la raison, avait hurlé de toutes ses forces, s’était furieusement défendu contre l’homme qui se ruait de nouveau sur lui comme s’il voulait lui entrer son bras jusqu’au fond du ventre, s’était brusquement reculé d’un pas, et levant le corps attaché à la mâchoire, l’avait laissé brutalement retomber, sur le derrière, dans le fauteuil, tandis que, debout, emplissant la fenêtre, il soufflait, brandissant au bout de son davier, une dent bleue où pendait du rouge !

   Anéanti, des Esseintes avait dégobillé du sang plein une cuvette, refusé, d’un geste, à la vieille femme qui rentrait, l’offrande de son chicot qu’elle s’apprêtait à envelopper dans un journal et il avait fui, payant deux francs, lançant, à son tour, des crachats sanglants sur les marches, et il s’était retrouvé, dans la rue, joyeux, rajeuni de dix ans, s’intéressant aux moindres choses. »

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

(La Lettre Santé Nature Innovation)
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MessageSujet: La dentisterie holistique   la dentosophie Icon_minitimeMar 28 Juin 2016, 11:25


LE DICTIONNAIRE DU LANGAGE DE VOS DENTS
SIGNIFICATION PRÉCISE DES MAUX DE LA BOUCHE ET DES DENTS
par ESTELLE VEREECK


la dentosophie Book_1438

Lauréate de la faculté de médecine de Nancy
Docteur en chiru rgie dentaire
Éd i tions Luigi Ca s te lli
Collection Autonomie Santé
Le site de la dentisterie holistique par Estelle Vereeck

La dentisterie holistique considère le patient dans sa globalité. La dentisterie holistique est par conséquent une approche très vaste puisqu'elle englobe à la fois les soins et traitements de la dent en tant qu'organe physique, énergétique et prend également en compte les aspects psychologiques liés à la dimension émotionnelle.

Le site holodent.fr propose une approche aussi complète que possible de la dent, des mâchoires et des structures associées sur ces trois plans : physique, énergétique et psycho-émotionnel.

Le dictionnaire est un outil de lecture fiable et précis de
la signification des maux de la bouche et des dents : il est
une pierre fondatrice dans un domaine jusqu’à présent
quasi désert. Il propose des clés, point de départ du
chemin personnel. Sa consultation aide à découvrir le
vécu associé au problème et à le verbaliser. L’ o u v r a g e
invite chacun à se dire sa vérité profonde afin de se
soigner en pleine conscience, base de toute guérison.


Le livre ne se substitue pas à un acte médical. Un diagnostic
par un professionnel est essentiel. La prise de conscience des
facteurs psychiques d’un problème ne remplace pas un soin.
Hormis de rares lésions, les atteintes dentaires sont
irréversibles.
La démarche proposée est d’aller chez le dentiste dans un esprit
de réconciliation avec soi-même (sans lui demander d’aide
psychologique, ce n’est pas son métier). Allier soin et prise de
conscience donne à l’acte dentaire une autre dimension. Le
soin est facilité, les récidives réduites ou éliminées. Si l’acte de
soigner le physique est insuffisant, à l’inverse prétendre guérir
par la seule prise de conscience est une erreur dont les
conséquences sur les dents peuvent être grave s .
Son incapacité à se régénérer seule fait de la dent un orga n e
fragile, en dépit de sa dureté. En prendre soin demande une vision
globale. Puisse le lecteur s’en convaincre et faire sien le dicton:

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« il faut estimer une dent mille fois plus qu’un diamant ».


INTRODUCTION
Dans ce dictionnaire, vous allez découvrir comment les dents
expriment nos manques ou nos difficultés dans un domaine
particulier. De la banale carie à la spectaculaire « chique » qui
déforme la joue, chaque atteinte témoigne avec précision de
l’émotion qui nous habite, du conflit non résolu qui nous
ronge ou du vécu qui demande à être exprimé.
Les dents sont les trente-deux lettres de l’alphabet personnel
que l’inconscient utilise pour transmettre ses messages. Six de
plus que notre véritable alphabet! La variété des atteintes
(fracture, usure, dent dév i t a l i s é e , etc.) est un langage d’une
richesse dont la précision vous étonnera. Chaque dent est une
facette de la personnalité, représente un domaine particulier de
notre vie (aff e c t ive, sociale, fa m i l i a l e , etc.). La dent touchée est
une partie que nous refusons d’habiter. Pourquoi un tel rejet ?
La finalité d’une maladie est de soulager une souffrance
psychique. Qu’il touche la dent, l’os qui la soutient ou la chair
qui l’entoure, le mal tente à sa façon de vous aider. Confronté
à la souffrance, le corps propose sa solution: détruire la dent
a fin d’éliminer la mémoire qu’elle porte. Au regard de
l’inconscient, l’important est d’évacuer la charge psychique
pour soulager la personne, quitte à générer une douleur
physique. L’inconscient ne résout rien. Il sacrifie la dent pour
préserver l’individu. Les caries, maladies parodontales et
autres atteintes obéissent à cette logique. Une logique qu’il
vaut mieux ne pas ignorer.

La dent, structure minéralisée, est constituée de cristaux. Le
cristal fixe le vécu, le « cristallise ». Mémoriser est une
propriété commune au système nerveux et à l’organe dentaire.
Rien d’étonnant, puisque dent et cerveau ont la même origine
embryologique. Durant la période de formation de la dent, le
germe dentaire enfoui dans l’os se comporte comme une cire
vierge où s’imprime l’intériorité (ou vécu réel) de l’enfant. La
période qui entoure la phase d’éruption de la dent est
également propice à l’inscription de vécus négatifs. Tout au
long de la vie, les cristaux dentaires continuent d’enregistrer
les perturbations psychiques qu’ils reçoivent.
Les acides produits par les bactéries à partir des sucres de
l’alimentation dissolvent le cristal dentaire. En libérant les
souffrances figées dans la dent, ils délivrent l’individu d’un
poison psychique. La carie est le court-circuit spontané qui
détruit les cristaux porteurs de souffrance.
Contrairement aux idées reçues, la dissolution de la dent au
contact des acides issus des sucres n’est pas automatique.
Manger sucré ne génère pas nécessairement des caries. La
dent est un organe qui vit et respire à sa manière ; à l’état
p hysiologique (dent saine), elle est parcourue par un flux qui
va du centre (ou nerf) vers la périphérie. Ce flux dentinaire l a
reminéralise et la protège en permanence. Une dent saine est
imperméable aux acides. L’immunité contre les caries est
naturelle. Des expériences scientifiques ont démontré qu’un
stress prolongé annule et même inverse le flux. La dent
d evient alors perméable aux acides, une carie se forme.
L’élément déterminant dans la genèse d’une lésion dentaire
n’est pas l’alimentation mais le niveau de stress ou de
s o u ffrance psychique de la personne.
Ce n’est pas la carie qui choisit la dent mais la dent qui choisit
la carie. Les bactéries sont des agents nettoyeurs au service de
l’inconscient. Simples exécutantes et non causes de la carie,
elles soulagent un système qui n’en peut plus de souff r a n c e s
accumulées. Par leurs acides, les bactéries opèrent à leur
façon la transformation ou digestion d’un vécu douloureux
que la personne n’a pas faite et libèrent le corps d’une charg e
intolérable. Les bactéries nettoyeuses ont pour finalité de
soulager la personne, même si le prix à payer est une rage de
dent, par exemple. Dans le cas de l’abcès, le processus est
analogue. La surinfection bactérienne permet d’évacuer le
trop-plein enkysté. De même, la modification de la flo r e
bactérienne au niveau de l’os et de la gencive conduit à
l’élimination de la dent par le déchaussement. Carie, abcès ou
autre, toute lésion présente deux phases. Dans la phase
d’accumulation, la dent semble saine mais la charge néga t ive
augmente peu à peu. Le seuil de saturation atteint, la mémoire
de l’ordinateur dentaire explose, vient alors la phase de
libération. La carie apparaît, l’abcès jusque-là silencieux se
r éveille, etc.
La phase d’accumulation peut durer des années ou une vie
entière. Quant à la phase de libération, elle survient parfois au
moment où la personne pensait avoir résolu le problème, après
un travail sur soi par exemple. La dent montre la résistance
profonde de la personne qui s’est approchée d’une souffrance
sans pouvoir la reconnaître. Le fait est là : une partie d’ellemême
refuse de creuser plus loin. La carie le fait à sa place et
achève le travail de libération.
Le processus de guérison ne peut se limiter à l’indispensable
élimination des bactéries (antibiotiques, nettoyage de
l’infection). Le travail de fond qui devrait accompagner tout
soin dentaire est la transformation et la libération du vécu
négatif accumulé dans la dent. Si la guérison profonde n’est
pas faite, le processus carieux ou infectieux reprend. C’est la
traditionnelle récidive de carie, souvent imputée au travail
incomplet du praticien qui n’a pas tout nettoyé. Mais la cause
première est un travail de nettoyage intérieur non accompli par
le patient lui-même.
L’acide produit par les bactéries joue le rôle d’un révélateur
photographique. Par réaction chimique, il fait apparaître la
cartographie de l’inconscient. Il dessine la réalité de notre
paysage dentaire avec ses zones résistantes et ses zones
fragiles. Outre révéler les failles et les manques, le langage des
atteintes des dents et de la bouche oriente vers la guérison. La
lésion indique avec précision le type de travail à accomplir,
dans quel domaine et par rapport à qui. Par exemple, un abcès
sur l’incisive latérale supérieure gauche indique une colère
ancienne liée à l’impossibilité de communiquer avec le père.
Le travail consiste à vider son sac en exprimant ce qu’on
n’avait jamais osé dire, puis à pardonner. Le déchaussement
traduit une capitulation, l’aphte une ulcération, une fracture
exprime le sentiment d’être brisé, etc...

Note : émanations directes de l’inconscient, les dents
expriment la vérité du corps, qui peut différer de celle
qu’on imagine. Avant de conclure, il est bon de laisser le
temps à l’information de suivre son chemin. Une vérité
difficile à entendre semble parfois une évidence quelques
jours plus tard. L’un de vos amis ne s’est-il jamais
« braqué » lors d’une attaque de front avant de tomber
d’accord avec vous par la suite?


le livre en pdf est ici
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MessageSujet: LA DENTISTERIE HOLISTIQUE   la dentosophie Icon_minitimeJeu 30 Juin 2016, 12:01

Merci Ambre pour le lien en pdf ! Je ne manquerai pas de le lire.



Pour que toutes les informations du même registre soient regroupées :

Citation :
(...) j’en profite pour vous faire découvrir Estelle Vereeck et son travail sur le DECODAGE DENTAIRE – le LANGAGE DES DENTS dont elle est la pionnière - travail basé sur des recherches personnelles de plus de vingts ans -. Docteur en chirurgie dentaire, elle est l’auteur de nombreux ouvrages sur la dentisterie holistique.

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http://www.holodent.com/ext/http://www.editionsluigicastelli.com/editionsluigicastelli/index.php?sp=page&c=1260

Grâce à ces ouvrages, non seulement nous nous reconnaissons et recevons les réponses á nos questionnements intérieurs mais découvrons également que dans notre bouche, le Temple de notre Ame se trouvent les axes FEMININS/MASCULINS, les dents PERE/MERE - Papa/Maman (nous apprenons que chaque dent a une fonction spirituelle bien précise), les POLARITÉS (et l’ Inversion des latéralités entre haut et bas) et bien d’autres choses encores.


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https://antahkarana.forumactif.com/t1310-vers-la-fin-du-mercure-dentaire?highlight=mercure+dentition


LA DENTISTERIE HOLISTIQUE
Estelle Vereeck


La dentisterie globale

La dentisterie holistique, encore appelée à tort dentisterie énergétique (cette dernière n'en est qu'un aspect), est à la mode. Mais au fait, de quoi s’agit-il ?

Le terme holistique vient du grec holos qui signifie « tout ». La dentisterie holistique est donc une pratique qui tient compte du patient dans sa globalité, sa totalité.

L’être humain est doté de trois corps : un corps physique, un corps énergétique et un corps psychique. La dent résonne avec ces trois plans de l’être et le dentiste holistique se doit de les prendre en compte. Ces trois corps étant plus ou moins des concepts, plutôt que des réalités tangibles, on parle également de plans, niveaux, voire dimensions (voir Dentisterie holistique et conscience).

Le niveau physique

Le niveau physique est celui du corporel, du palpable, du mécanique. Organe le plus dense de tout le corps, la dent assure avant tout une fonction mécanique de broyage et aussi de calage des mâchoires. Cette dernière fonction la place en interaction directe avec le reste du corps par le biais de la posture.

Le dentiste holistique doit être conscient de l’incidence occlusale sur l’équilibre postural de la plus petite obturation qu’il pose dans la bouche de son patient.

Le niveau énergétique

Le niveau énergétique est plus subtil. Il ne se voit pas mais s’appréhende à travers des tests et des mesures (par des appareils spécifiques) dont le but est de s’assurer de la bio-compatibilité des actes effectués en bouche.

À ce niveau, le dentiste holistique est conscient de l’interaction de la dent avec la vitalité du corps. De nombreux circuits énergétiques relient dents et organes. Ces liens mettent en jeu le caractère hautement réflexogène du trijumeau, nerf crânien qui innerve le système dentaire.

Ils mettent également en jeu des liens de nature plus subtile par le biais des méridiens d’acupuncture, vaisseaux qui passeraient par les dents ou du moins seraient influencés par elles.

Cette partie de la dentisterie holistique qu’est l’énergétique dentaire a été popularisée par les nombreux débats et controverses sur la toxicité de l’amalgame dentaire (plombage).

Pour beaucoup de personnes, la dentisterie holistique se limite à retirer des amalgames et à les remplacer par des résines.

Le niveau psychique

Néanmoins, une pratique ne peut prétendre à la globalité si elle n’inclut pas le niveau psychique ou émotionnel. Le patient qui s’installe sur le fauteuil du dentiste est porteur d’une histoire, d’un vécu.

Pour une grande part c’est ce vécu, ce passif le plus souvent inconscient, qui conditionne la réaction du patient à un traitement donné. D’autant plus que la dent, organe cristallin, engramme le vécu, le mémorise dans sa structure. Chaque dent est un résonateur puissant du psychisme.

Traiter une dent, c’est appuyer sur une touche du clavier de l’inconscient avec des réactions variables (et parfois surprenantes) d’un patient à l’autre. On entre ici dans le domaine passionnant de la subjectivité humaine et la notion de personnalisation du soin prend tout son sens. Le dentiste holistique humaniste trouvera là un champ d’exploration sans fin de la nature humaine et un renouvellement toujours plus enrichissant de sa pratique.

Dès lors qu’on aborde ce plan, la notion de protocole de traitement perd son sens. C’est le patient et ses réactions qui conduisent le traitement et non plus une technique, une méthode ou une pratique préétablie. Il n’y a alors plus d’autre impératif que l’écoute du patient et des réactions de son corps, pour peu que lui aussi accepte de s’écouter et de s’impliquer activement dans le soin.

Il n’y a plus alors un thérapeute omnipotent et omniscient, le dentiste, d’un côté, et un patient soumis de l’autre, mais deux personnes qui collaborent activement, chacune dans son domaine respectif.

La synergie des trois plans

Ces trois plans sont intimement liés. Ils interagissent les uns avec les autres et ils n’est pas possible de les aborder séparément. Par exemple, les déposes d’amalgame pour être efficaces doivent prendre en compte le psychisme et le niveau émotionnel. Des études ont montré l’importance des facteurs psychiques dans la détoxination des métaux lourds. Un blocage émotionnel empêche le processus de détoxination de s’accomplir.

Le sens de chaque dent, porteuse d’une mémoire spécifique liée à l’histoire de la personne, est une clé incontournable pour que le corps puisse se débarrasser de ses poisons. Le poison physique (le mercure) est le reflet du poison psychique (l’émotion bloquée).

À savoir : le dentiste holistique n’est pas un psychothérapeute. La dimension psychologique doit être prise en charge par le patient lui-même ou par un accompagnateur spécifique.

Vers une dentisterie véritablement holistique

L’approche globale ou holistique implique bien plus que d’éviter l’amalgame de mercure. Outre employer un matériau compatible avec la santé, l’approche holistique doit prendre en compte la dent à tous les niveaux : du plus concret (fonction mécanique, restauration de l’occlusion) au plus subtil (sens et fonction symbolique de chaque dent en lien avec l’histoire de la personne).

Quand le dentiste intègre à sa pratique ces différents niveaux, alors il peut véritablement être qualifié d’holistique car les soins qu’il prodigue se font dans le respect de l’individu. Le temps où le praticien se contentait de reboucher une dent sans se poser de questions est révolu. Désormais, le dentiste veille à intégrer le soin dans l’équilibre global de la personne en tenant compte de l’occlusion, en choisissant des matériaux compatibles avec l’écologie individuelle et en étant à l’écoute des réactions émotionnelles de son patient. « Qu’est-ce que je touche chez cette personne en touchant cette dent ? » est la question à se poser sur les trois plans de l’être : physique, énergétique, émotionnel.

Les dentistes qui prennent en compte ces trois dimensions sont encore trop rares. Gageons pourtant que c’est une voie d’avenir pour la profession. En dentisterie comme en médecine, il est impossible de séparer l’âme du corps. Prendre en compte tous les plans de l’être est la clé de la guérison véritable.

Le patient holistique

Pratiquer une dentisterie holistique suppose une transformation profonde des habitudes de soins et des mentalités. Sans le savoir, ce sont les patients eux-mêmes qui freinent parfois le développement de cette nouvelle approche.

Ainsi le patient qui attend du dentiste qu’il prenne en charge l’intégralité du traitement jusque dans sa dimension psychologique fait porter au praticien une charge qu’il ne peut assumer. Son attente démesurée et irréaliste confine le patient dans une passivité qui n’est pas compatible avec la démarche holistique. La confiance nécessaire en l'homme de l'art ne doit pas se substituer à la conscience du patient.

En dentisterie comme dans toute pratique de guérison, le praticien n’est qu’un catalyseur. Il appartient au patient de prendre en charge la dimension psychique en faisant par lui-même (éventuellement assisté d’un thérapeute) le travail de libération émotionnelle lié à la ou les dents en soin. Un fauteuil de dentiste, fut-il holistique, n’est pas un divan de psy, ne l’oublions pas.

Ce n’est pas au dentiste de faire l’analyse symbolique de la bouche de son patient. Ce qui se produit sur le fauteuil, le petit plus de l’ordre de l’ineffable qui rend la guérison possible appartient d’abord et avant tout au patient. Ce « plus » se produit lorsque le patient s’associe consciemment et intentionnellement au soin que le dentiste pratique dans sa bouche. C’est au patient de se préparer par des lectures, des réflexions, des méditations, des séances chez un psychothérapeute, etc.

À cette condition, les séances chez le dentiste peuvent porter tous leurs fruits. La dentisterie holistique sonne le glas de la passivité du patient. Il est demandé à ce dernier de s’investir à touts les niveaux : temps, argent, énergie, conscience. Il ne serait ni juste ni réaliste d’en demander plus au dentiste sans rémunérer le temps supplémentaire passé avec le patient. Les équipements, les matériaux biocompatibles, les formations ont un coût. Une dentisterie holistique entièrement remboursée par la Sécurité Sociale est malheureusement une utopie dans le contexte économique actuel.

Le problème d’argent cache un problème de choix. Est-on prêt à investir pour sa santé, pour ses dents comme on le fait pour une voiture, une télé ou un produit de consommation ? La prise de conscience de la dimension sacrée du temple qu’est la bouche permet de faire un choix éclairé.


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MessageSujet: Re: la dentosophie   la dentosophie Icon_minitimeDim 30 Oct 2016, 16:52

http://www.20minutes.fr/sante/1951807-20161029-troubles-cardiaques-dents-mauvaise-sante-dentaire-accentue-risque-avc a écrit:
Troubles cardiaques et dents: «Une mauvaise santé dentaire accentue le risque d’AVC»
SANTE A l'occasion ce samedi de la Journée mondiale de l'AVC, le Pr Francis Hartmann, professeur d'odontologie et de neurophysiologie, fait la lumière sur l'origine dentaire de certains troubles cardiaques...



Sur le papier, cela n’a absolument rien à voir. Pourtant, les troubles cardiaques pourraient en partie être causés par… les dents. Comme le battement d’ailes d’un papillon au Brésil peut provoquer une tornade au Texas, bruxisme, édentation ou encore prolifération bactérienne dans la bouche peuvent causer mille maux au reste du corps, et impacter la santé cardiaque. A l’occasion ce samedi de la Journée mondiale de l’AVC, les chirurgiens-dentistes de l’Union française pour la santé bucco-dentaire tirent la sonnette d’alarme. Le Pr Francis Hartmann, professeur d’odontologie et de neurophysiologie et auteur de Mal de dos, Fatigue, Migraine… Si vous serrez les dents (éd. Kawa), fait la lumière sur l’origine dentaire sous-estimée de certains troubles cardiaques.

Quel lien y a-t-il entre les dents et d’éventuels troubles cardiaques ?
Si vous appuyez sur vos yeux fermés, votre rythme cardiaque ralentira (bradycardie), car ce simple geste envoie une information de modération cardiaque au nerf vague : c’est ce qu’on appelle le réflexe oculo-cardiaque. Or, la cornée et les dents du haut et du bas sont innervées par le même nerf, le nerf trijumeau. Il modère le rythme cardiaque via l’œil et l’augmente via le contact dentaire. Donc si vous souffrez de bruxisme, le serrage involontaire mais soutenu des dents peut entraîner une augmentation du rythme cardiaque (tachycardie).
Mes travaux de recherche ont permis de comprendre la raison pour laquelle les patients atteints de bruxisme souffraient parfois de palpitations cardiaques de cause dentaire.

Le bruxisme peut-il avoir d’autres conséquences sur la santé ?

Il en a de très nombreuses ! Le bruxisme appartient aux dysfonctions de l’articulation temporo-mandibulaire (DTM) et ces DTM peuvent avoir des conséquences sur tout le corps et provoquer destroubles cardiaques donc, mais aussi des troubles auditifs (acouphènes), des vertiges, des troubles du comportement alimentaire, des migraines ou encore des douleurs au cou et au dos. Des cas de fibromyalgie et de syndrome de fatigue extrême pourraient aussi avoir des causes dentaires. Ces affections touchent particulièrement les femmes, or les nerfs des dents sont particulièrement sensibles aux œstrogènes.

L’Union française pour la santé bucco-dentaire insiste sur le lien entre mauvaise hygiène dentaire et risque d’accident vasculaire cérébral (AVC). Comment des problèmes dentaires peuvent potentiellement causer un AVC ?
Une mauvaise hygiène bucco-dentaire accentue le risque d’AVC. Une personne qui souffre de gingivites non soignées finira, avec l’âge, par développer une parodontite, une maladie infectieuse. C’est-à-dire que l’inflammation qui, au départ, touchait seulement la gencive va gagner tout le tissu, y compris osseux, autour de la dent. Lorsqu’elle est chronique, la parodontite est associée à une inflammation prolongée, dont les effets négatifs affectent tout l’organisme et qui peut se traduire par une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires.
Par ailleurs, la parodontite peut à terme entraîner la perte de dents. Or une étude menée par des neurologues coréens a mis en lumière les graves conséquences de l’édentation sur la santé. En étudiant le cerveau de patients sains et de patients souffrant de graves problèmes dentaires. A partir de sept dents manquantes, ils ont observé une transformation totale de la substance blanche du cerveau, ainsi que des infarctus cérébraux à répétition.

Mais peu de médecins français sont au fait de ces travaux sur les retentissements des problèmes dentaires sur le reste du corps, ils ne veulent pas reconnaître que les dents puissent être responsables d’affections si graves et variées. La santé dentaire est pourtant essentielle.
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