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 Soins Naturels Alternatifs pour le cancer

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MessageSujet: Soins Naturels Alternatifs pour le cancer   Soins Naturels Alternatifs pour le cancer Icon_minitimeMar 04 Fév 2014, 20:31

Citation :

Soins Naturels Alternatifs pour le cancer 1896767_548360125270939_2047967630_n

Soins Naturels Alternatifs pour le cancer

"RUDOLPH BREUSS (1899-1990) fut un brillant thérapeute autrichien, adepte des médecines naturelles. Parmi les méthodes qu'il mit au point, la cure de jus de légumes biologiques, aujourd'hui nommée "La Cure Breuss", connaît un succès sans précédent.
Inspirée d'un manuscrit vieux de trois siècles, cette très énergétique diète permet de drainer l'organisme en profondeur et de rétablir la force vitale de l'être, favorisant tous les mécanismes d'autoguérison.
Cette technique exceptionnelle permet de lutter contre toutes les formes de toxémies internes qui favorisent les grandes maladies de civilisation.

Expérimentée par de nombreux malades, motivés, réalistes et prudents, elle améliore nombre de troubles chroniques, comme l'arthrite et les pathologies articulaires et un nombre incalculable d'affections.

Malgré un lectorat de plus d'un million de personnes - une somme de 45.000 témoignages attestent de ses facultés de guérison - il manquait à cette cure un ouvrage clair et simple d'utilisation, accessible au grand public.

Un livre choc qui redonne espoir et propose des solutions concrètes quand tout semble perdu.

Une méthode adaptée à chacun, aux carrefours de la prudence d'utilisation et d'un retour à la santé qui bouleverse toute forme de fatalisme."

http://cancer-soinsalternatifs.over-blog.net/article-article-sans-titre-51271849.html
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MessageSujet: Re: Soins Naturels Alternatifs pour le cancer   Soins Naturels Alternatifs pour le cancer Icon_minitimeSam 22 Fév 2014, 16:02



Soins Naturels Alternatifs pour le cancer 41a4ruQavuL._SS500_

Publiée le 20 févr. 2014
Le professeur Henri Joyeux ( dont je vous ai déjà proposé des articles au sujet de : L'Alimentation, ou la troisième médecine - Jean Seignalet ), cancérologue reconnu, est un des plus fervents défenseurs d'une politique de prévention active du cancer. Il a accepté de réaliser pour Alternative Santé une série d'interviews sur le thème : « Comment attraper un cancer du... ». Un message provoquant pour rappeler que notre alimentation et notre mode de vie sont souvent des facteurs déclenchants beaucoup plus puissants que l'hérédité. Cette semaine, Henri Joyeux s'intéresse au cancer du pancréas


son blog >>ici
et autres liens sur le forum>> sur Tout le monde en parle!
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MessageSujet: Prévenir le cancer du sein   Soins Naturels Alternatifs pour le cancer Icon_minitimeMar 18 Mar 2014, 10:38


La Lettre du Professeur Joyeux est un service d'information indépendant sur la santé, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles. Rendez-vous ici pour vous inscrire gratuitement ICI

Voici comment prévenir le cancer du sein

Soins Naturels Alternatifs pour le cancer 20070111.FIG000000017_5932_3
Chère lectrice, cher lecteur,

Prévenir n’importe quelle localisation cancéreuse n’est possible que si on en connaît toutes les causes. C’est vrai pour le cancer du sein. Cette localisation cancéreuse touchera en France, rien que cette année, près de 60 000 femmes en plus – malheureusement de plus en plus jeunes. Le cancer du sein est responsable de 11 500 décès par an.

Même si nous savons bien traiter et guérir le cancer du sein, mieux vaut l’éviter, car les traitements sont lourds. Il s’agit de la chirurgie totalement ou partiellement mutilante au niveau du sein, de la radiothérapie sur la paroi thoracique et souvent l’aisselle. Il y a aussi des chimiothérapies de première, puis deuxième, troisième et « énième » ligne, responsables d’alopécie (perte de cheveux) et de nombreuses autres complications : problèmes cutanés (peau) ou perte de sensibilité aux extrémités des membres. Ces complications peuvent persister définitivement, sans parler de la stérilité souvent irréversible même chez des femmes jeunes.

En plus, ce qu’on ne dit pas aux femmes, c’est que la guérison définitive du cancer du sein ne peut être signée que 27 ans après les premiers traitements. Entre temps, une récidive est toujours possible, mais elle est évitable si l’on élimine les causes premières, qu’il est donc capital d’identifier. Pour cela il faut bien les connaître, les reconnaître et les faire découvrir à chaque femme atteinte afin qu’elle en tienne le plus grand compte pour éviter au maximum une récidive.

Les causes du cancer du sein sont multiples et parfaitement identifiées. Elles se surajoutent et leur importance varie d’une femme à l’autre selon la durée d’exposition à telle ou telle cause.

Voici les principaux risques :

1. Risque génétique
Le risque génétique n’est présent que chez 5 à maximum 8 % des femmes atteintes de cancer du sein.

Deux gènes sont en cause : BRCA 1 et BRCA 2.

BR est le sigle qui signifie BREAST, en anglais SEIN ; CA est le sigle du mot CANCER. Le premier gène, BRCA 1, augmente de 80 % les risques d’avoir un cancer du sein entre 20 et 80 ans, d’autant plus que les autres risques sont associés, d’où l’importance de les connaître. BRCA 2 augmente les risques de cancer du sein de moitié par rapport au précédent et en plus augmente les risques de cancer des ovaires de façon significative [1].

2. Risque causé par les hormones artificielles
Le deuxième facteur de risque concerne la consommation d’hormones artificielles, parfois faussement dites « naturelles ». Ce facteur de risque concerne pratiquement toutes les femmes aujourd’hui. Les seules hormones naturelles sont celles fabriquées par les glandes hormonales, c'est-à-dire l’hypophyse, les ovaires, les surrénales, la thyroïde…

Les hormones de la pilule contraceptive, quelle que soit leur génération, comme les hormones des traitements hormonaux de la ménopause, qu'ils associent ou non des estrogènes et des progestatifs, sont reconnues officiellement comme cancérigènes. Mais les laboratoires pharmaceutiques – qui ont trop à y gagner – ne le disent pas et formatent les médecins, spécialistes comme généralistes, dans le but de les tranquilliser. Les risques sont minimes, leur disent-ils, comparés aux avantages. C’est faux, et cela d’autant plus qu’existent des alternatives à ces prises hormonales qui évidemment rapportent moins d’argent et sont de ce fait le plus souvent ridiculisées ou considérées comme inefficaces.

Les informations diffusées auprès du grand public sont encore plus mensongères. On lui dit et on lui répète sans cesse que la pilule contraceptive est sans danger. On lui parle même – suprême mensonge – de protection contre le cancer que craignent de plus en plus et à juste raison toutes les femmes. Plus les femmes ont peur, plus on les tranquillise en passant très largement par les journaux spécialisés, relayés fortement par les journaux pour le grand public.

Ces informations fausses atteignent le milieu scolaire. Les livres de Science de la Vie et de la Terre en sont remplis et ceux qui enseignent cette discipline, ainsi que les infirmières scolaires, répètent ce qu’on leur inculque en plus dans toutes les publicités en ville ou dans les magazines féminins. Professeurs, éducateurs, infirmières et même les parents – les mères évidemment – ne savent la vérité que lorsqu’elles ont été touchées elles-mêmes par cette localisation cancéreuse. Trop tard !

Ces informations fausses sont aussi largement diffusées dans les magazines people, ceux des jeunes, comme dans les centres de planning familial qui reçoivent en échantillons des laboratoires les boîtes de pilules qu’ils délivrent à la demande, sans le moindre questionnement, hors de tout avis parental, dès l’âge de 13 ans. L’objectif des laboratoires pharmaceutiques est que les jeunes filles commencent tôt et consomment longtemps. Leurs campagnes publicitaires marchent très bien, et sont reprises par les agences de l’Etat indirectement sponsorisées.

L’Education nationale ne se doute pas de ce qui lui tombera sur la tête quand des familles l’accuseront, à juste titre, d’être responsable de cancer du sein chez des jeunes filles à peine sorties du système scolaire. Il est à parier que les distributions de pilules ne sont pas notées dans les établissements scolaires, je parle du jour de délivrance, de la marque de pilule et du nom de la personne (jeune élève) qui la reçoit. Ces lacunes d'information seront évidemment utilisées pour débouter les plaignants, et garantir l'impunité aux coupables, le jour où éclatera le scandale. Les associations de parents d’élèves sont aveuglées sur ces sujets. Elles savent surtout que leurs filles sont ainsi protégées des grossesses précoces et donc des IVG qui s’ensuivent. Là est l’essentiel, on ne veut pas voir plus loin.

Les informations scientifiques sur ce sujet sont intégralement présentes dans notre livre « La pilule contraceptive – Dangers et Alternatives » écrit avec Dominique Vialard, journaliste scientifique de haut niveau. Il est à noter qu'aucun journal scientifique ou grand public à vocation médicale et de santé n’a osé parler de ce livre. Le sujet est trop dangereux. Ces journaux risqueraient de perdre de nombreuses pages de publicité, celles des laboratoires pharmaceutiques qui les font vivre, sans lesquelles ils mettraient la clé sous la porte. Avez-vous remarqué que la pilule Diane 35 a été d’abord retirée en France, face au scandale de santé et, quelques mois plus tard, elle revient avec l’accord de l’Europe ?!

Soulignons qu’autour et après la ménopause, ce sont les THS (Traitement Hormonal Substitutif) ou THM (Traitement Hormonal de la Ménopause) qui augmentent le plus les risques de cancer du sein – jusqu’à 30 % , surtout quand ils sont prescrits jusqu’à 60 ans. Au moins pendant 10 ans, dit la publicité et répètent certains confrères médecins, très liés directement ou plus astucieusement indirectement aux labos. Ils font croire à un rajeunissement rêvé par toutes les femmes et même à la protection ou à la détection précoce du cancer du sein pour un meilleur pronostic. L’argumentaire est très bien monté, mais il est faux.

Ces THS et/ou THM pourraient être remplacés, sans aggraver le trou gigantesque de la Sécurité sociale, par le changement des habitudes alimentaires et une simple phytothérapie bien adaptée au cas par cas.

3. Risque causé par les excès alimentaires
Le troisième facteur de risques concerne les excès alimentaires, responsables de surpoids et de gras qui se stocke dans les glandes mammaires. Le gras dans les seins est en effet authentiquement cancérigène. Ce gras provient des sucres en excès, du gras caché dans les viandes animales et les produits laitiers qui contiennent encore trop de facteurs de croissance [2].

4. Risque causé par le tabac et les drogues
Le quatrième facteur est lié directement au tabagisme et à toutes les drogues, de plus en plus consommées par les jeunes filles à l’âge scolaire.

Le tabagisme est catastrophique chez les femmes, qui ont une capacité respiratoire de 30 à 50 % inférieure à celle des hommes et fument autant qu’eux.

Le haschich qui se répand partout dans les lycées et jusque dans les collèges fait des ravages. Pas question de dire aux jeunes que la teneur en THC (TétraHydroCannabinol, la molécule toxique) est concentrée jusqu’à 20 à 30 % pour les rendre addicts plus vite. On leur laisse croire qu’il faut faire ses expériences et qu’il s’agit d’une plante verte, donc très écologique. Tabac et drogues ont toutes sans exception des effets immuno-dépresseurs qui ne peuvent que préparer le corps à des catastrophes ultérieures, quand elles vont s’associer aux autres facteurs de risques.

5. Risque causé par le stress chronique
Le cinquième concerne les stress chroniques, beaucoup plus importants à prendre en considération que les chocs psychologiques auxquels nous sommes tous plus ou moins soumis : perte d’un être cher, éclatement familial, traumatismes de toute nature, burn-out…

C'est un risque important, mais un risque parmi d'autres (le cinquième). Je le précise car nombre de psychologues peu compétents en cancérologie diffusent l’idée que les stress chroniques ou aigus sont quasiment seuls responsables des cancers du sein. Ces informations sont d’ailleurs régulièrement reprises, plutôt de manière indirecte, par les laboratoires pharmaceutiques, ce qui leur permet de se déculpabiliser à bon compte et de continuer d’inonder la planète de leur contraception chimique cancérigène. Si les femmes savaient [3] !

6. Autres risques
Les autres risques sont :

l’absence d’activité physique souvent associée au surpoids. La femme dit qu’elle marche pour aller au travail et aller chercher enfants ou petits-enfants à l’école, mais il ne s’agit en aucun cas d’une activité physique qui soit réductrice des risques de cancer du sein ;

la pollution atmosphérique, les pesticides, insecticides…, les souffrances sociales en tout genre : précarité, monoparentalité des femmes ne profitant pas des dépistages et suivis… [4]

Un test en ligne gratuit pour évaluer votre risque
Pour vous permettre d'évaluer précisément votre propre risque de cancer du sein, vous pouvez vous rendre sur la rubrique « Cancer-Risks » de notre blog www.professeur-joyeux.com. Vous pourrez, gratuitement, sans publicité, et sans être poussée à acheter quoi que ce soit, y évaluer votre risque. Ce test est conçu pour déterminer les risques de cancer du sein de n’importe quelle femme, quel que soit son âge. Nous avons présenté tous les risques les affectant d’un coefficient positif d’augmentation ou négatif de réduction de risques.

Remplir ce questionnaire demande moins de 10 minutes et permet à toute femme de savoir où elle en est et quels sont les efforts qu’elle doit réaliser pour réduire sans tarder ses propres risques. Ce test est évidemment renouvelable autant de fois que nécessaire et toujours gratuitement.

Faites profiter votre entourage de ce message
Vous avez lu, n’hésitez pas à relire, à diffuser à toutes vos amies. Vous pouvez aussi offrir cette lettre à votre gynécologue et à votre généraliste, même si je sais bien qu'elle a de grandes chances de finir rapidement à la poubelle, – avec une moue ou une explication du style « il est contre, ce n’est pas démontré » – sauf si votre gynécologue ou généraliste est homéopathe, ou si malheureusement elle sait elle-même en son corps de quoi il s’agit.

Mais elle contient tout ce que les femmes jeunes ou moins jeunes, toutes les mères de famille devraient savoir.

Bien à vous,

Professeur Henri Joyeux

PS : À noter que nous avons aussi publié un gros travail au CESE (Conseil Economique Social et Environnemental, dont je suis membre), en 2013, « Femmes et précarité » à la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité, réalisé avec notre collègue Evelyne Duhamel, où les risques santé sont analysés et même chiffrés. Ce rapport est disponible ici. http://www.lecese.fr/travaux-publies/femmes-et-precarite

www.professeur-joyeux.com.
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MessageSujet: Re: Soins Naturels Alternatifs pour le cancer   Soins Naturels Alternatifs pour le cancer Icon_minitimeDim 30 Nov 2014, 15:59

Yves Rasir a écrit:
Pas touche à mes cancers par Yves Rasir !
Oui, ne vous avisez surtout pas d’approcher de mes cancers ! Ils sont ma propriété et je ne demande à personne de les soigner ni de les dépister. Pour comprendre ce titre étrange, vous devriez avoir déjà lu mon éditorial de la revue Néosanté de décembre. Mais puisqu’elle n’est pas encore parue, je vous en évente le contenu : elle contient un extrait du dernier livre de Rachel Campergue (voir ma lettre hebdomadaire du 15 octobre) qui décrypte la propagande d’Octobre Rose en faveur de la mammographie sous couvert de sensibilisation au cancer du sein, ainsi qu’un article dévoilant que les autorités sanitaires canadiennes remettent officiellement en cause le dépistage du cancer de la prostate par dosage PSA.
Dans mon édito, je décris brièvement pourquoi la traque du cancer est une escroquerie doublée d’un traquenard, notamment à cause des examens faussement positifs et du phénomène de surdiagnostic. Ce terme éloquent désigne le fait désormais admis par la science que le cancer n’est pas une maladie qui progresse inéluctablement en l’absence de traitement. Il peut être asymptomatique, le rester très longtemps, voire régresser jusqu’à devenir indétectable, ce qui équivaut à une guérison spontanée. Rien ne dit que quelques cellules cancéreuses vont se multiplier et former une tumeur, ni qu’une éventuelle tumeur posera obligatoirement problème à son porteur. Au Canada, par exemple, des experts ont évalué que sept septuagénaires décédés sur dix sont « atteints » par un cancer prostatique non décelé avant leur trépas. Ils étaient malades, mais ils ne le savaient pas ! Cette déclaration étonnante m’a rappelé une étude dont je n’ai malheureusement pas retrouvé les références exactes. Effectuée par l’armée américaine sur des soldats morts pendant la guerre de Corée (ou du Vietnam, je ne sais plus), elle montrait que beaucoup de dépouilles autopsiées renfermaient des foyers cancéreux non repérés avant le combat fatal. Nombre de ces jeunes gens morts au front avaient un cancer, parfois plusieurs, sans même s’en être aperçus. Redouté comme un monstre maléfique, le crabe est en réalité une petite bête qui reste très souvent au stade larvaire et n’atteint que rarement une taille véritablement pathologique.
C’est pourquoi il importe de déboulonner le mythe du dépistage et de ses prétendus avantages. Sans même parler de leurs dangers intrinsèques, les mammographies, coloscopies, touchers rectaux et autres prises de sang conduisent à traiter inutilement de nombreux microcancers qui auraient pu rester embryonnaires ou se résorber naturellement. Pour le chercheur Bernard Junod, enseignant émérite à l’École de Santé Publique de Rennes, c’est carrément la définition classique de la maladie qui est fausse et qu’il faudrait changer d’urgence. Rien qu’en France, nous avait-il expliqué en juin 2012, le nombre estimé de surdiagnostics est de 36.000 par an pour le seul cancer du sein. Et parmi les victimes de cette détection excessive, une grande majorité sera donc irradiée, chimiquement agressée et/ou chirurgicalement mutilée sans réelle nécessité. Si vous voulez (re)lire les propos de Bernard Junod, sachez que cette interview décapante est accessible gratuitement en ligne en suivant ce lien. >> http://www.neosante.eu/bernard-junod-notre-definition-du-…/…
Dans pratiquement tous nos organes, y révèle-t-il encore, des cellules se divisent et s’organisent d’une telle manière qu’on peut les prendre pour des cancers alors que les tissus sont sains. Autrement dit, ce qu’on dépiste n’est même pas toujours un tout début de maladie silencieuse destinée à demeurer anodine. Certains des bien-portants convoités par les émules du Dr Knock ne sont donc même pas des malades qui s’ignorent !
Personnellement, je n’irai jamais me faire dépister de quoi que ce soit. Pour les raisons évoquées plus haut, mais aussi parce que ma vision du cancer a été complètement modifiée par la découverte de son sens biologique. Il y a 25 ans, lorsque j’ai vu le Dr Ryke Geerd Hamer réussir à diagnostiquer des cancers, à situer leur site d’apparition et à décrire leur stade d’évolution sur la seule base de scanners cérébraux, j’ai d’abord pris conscience que la maladie était un programme mis en route par le cerveau. Il y a bien sûr de nombreux facteurs de risques (tabac, alcool, pollution, malbouffe…) qui favorisent son développement, mais il ne fait guère de doute à mes yeux que le stress et les chocs émotionnels jouent un rôle causal prépondérant. En me familiarisant plus avant avec les travaux du médecin allemand, j’ai ensuite réalisé l’ampleur prodigieuse de sa découverte majeure, à savoir que les maladies ne sont pas des programmes mortifères, mais au contraire des solutions de survie. La somatisation est le moyen trouvé par la nature pour que les êtres vivants ne soient pas terrassés d’emblée par leurs conflits psycho-émotionnels. Loin d’être un processus anarchique et insensé, la cancérisation répond également à une logique vitale , celle de choisir un moindre mal en cas de menace potentiellement létale. Or, pour notre cerveau archaïque, le danger mortel est partout présent dans nos existences modernes. En réponse à ces interprétations anachroniques, nous faisons des cancers bien plus souvent que nous le pensons, peut-être même tous les jours que Dieu fait. Pour la plupart, les microtumeurs se résorbent naturellement ou n’atteignent jamais une dimension problématique. Par exemple, une étude vient de montrer que les ganglions de moins de 3 mm était généralement inoffensifs pour le côlon. C’est la manie de les dépister qui transforme ces minicancers bénins en signaux inutilement alarmants.
Comme tout le monde, je suis donc très probablement « malade » du cancer à l’heure où je vous parle. Nous sommes tous titulaires d’oncogènes et avons tous en permanence 300 à 400 cellules cancéreuses dans notre organisme. Avant-hier, j’ai ressenti une vive douleur à hauteur de la prostate. Hier, j’avais une « pointe » au poumon droit. Demain, j’aurai peut-être un reflux stomacal ou un petit saignement anal. Et alors, est-ce que je me tracasse ? Non. Mon cerveau inconscient me veut du bien et mon corps travaille pour moi. Il y a quelques années, il se passait des trucs plutôt inquiétants dans mon crâne, genre craquements sinistres et décharges électriques. Je n’ai pas consulté et c’est passé tout seul. À plusieurs reprises aussi, je me suis découvert de « petites boules » dans les testicules, et même une grosse bille bien dure. Je n’ai rien fait et elles se sont désagrégées progressivement. Une autre fois encore, un grain de beauté s’est mis à proliférer sur mon épaule, jusqu’à s’entendre sur plusieurs centimètres carré. Mélanome ? Je ne le saurai jamais et je m’en fiche puisque la plaque s’est évaporée malgré mon goût immodéré pour le soleil. Bref, je me fie tranquillement à mes capacités d’autoguérison et je banalise constamment ce qui m’arrive. Un des moyens que je préfère, c’est la dramatisation humoristique. Je banalise le cancer en le voyant partout au moindre symptôme. Petit mal de ventre ? Mon cancer intestinal. Une toux tenace ? C’est ma tumeur au poumon. Enrhumé ? Je fais un cancer du nez. Mes enfants sont habitués et ils rient aussi au second degré. Comme je n’ai pas de médecin traitant et ne prends quasi jamais de médicament , ils comprennent bien que je ne me moque pas du cancer déclaré, ni bien sûr des vrais cancéreux, mais que j’applique concrètement ma philosophie de l’insouciance. La néoplasie est une péripétie à ne pas prendre trop vite au sérieux, sous peine de mettre le doigt dans l’engrenage oncologique au détriment du bon sens biologique.
Pour moi, il est donc hors de question de me faire ausculter minutieusement ou de faire des « contrôles » à grand renfort de technologie médicale. Je jette à la poubelle toutes les invitations au dépistage adressés aux hommes de mon âge et le jour n’est pas encore venu où un proctologue me mettra le doigt dans le cul. Si j’ai un cancer, il est à moi et j’interdis à quiconque de le déranger. De toute façon, tout ce que je sais sur le sens biologique des maladies m’aiderait à ne pas prendre au tragique un diagnostic funeste, et même un pronostic pessimiste. Il y a aussi très peu de chances que je me fie à la médecine classique pour traiter une tumeur avérée. J’ai donc autre chose à faire que de me chercher des cancers. Et ne suis-je pas l’éditeur de Boris Sirbey ? Dans son ouvrage « La vérité sur le cancer que la médecine ne vous dit pas encore », ce jeune philosophe des sciences parisien raconte comment il a découvert les vraies raisons du décès prématuré de sa maman et comment les trouvailles du Dr Hamer ont pleinement étanché sa soif de comprendre le cancer. Ce bouquin explique lumineusement que, loin de se ramener à une simple affaire de génétique et de produits nocifs, cette maladie est toujours en relation étroite avec le vécu émotionnel. Si je vous en parle, c’est parce que je poursuis, comme promis, ma grande opération de déstockage. En cliquant ici (ce qui vous amènera sur le site de la revue http://www.neosante.eu/la-verite-sur-le-cancer-2/ ), vous pourrez obtenir le livre pour 16 € tout compris, sans frais de port dans tout pays européen. Bonne lecture à toutes celles et tous ceux qui vont profiter de cette occasion unique !
Yves Rasir
INFOS
Titre: La vérité sur le cancer
Auteur: Boris Syrbey
Collection: Héméra
Edition: Néosanté Edition
SYNOPSIS
Dans la société moderne, le cancer a pris les proportions d’un véritable fléau. La médecine promet régulièrement sa disparition imminente et investit des sommes colossales pour l’éradiquer, sans aucun résultat.
Or il existe des théories qui prouvent de façon rigoureuse que le cancer n’est pas un dysfonctionnement, mais une stratégie de défense de l’organisme, ce qui explique qu’il n’ait pas été éliminé par le jeu de la sélection naturelle.
Nous avons tous en permanence 300 à 400 cellules cancéreuses dans le corps. Pourquoi ne développons-nous pas tous un cancer ? Il existe des cas d’apparitions fulgurantes et de rémissions spontanées. Comment les expliquer ?
Ce livre contient une présentation générale des nouvelles théories psychosomatiques sur le cancer. Son but est de montrer que, loin de se ramener à une simple affaire de génétique et de produits nocifs, cette maladie est toujours en relation étroite avec le vécu personnel du patient.


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